Reform movement

la clarté. Alors que le baroque est selon lui est construit en profondeur, l’unité du style baroque est une unité indivisible, il subordonne l’essence des personnages à leur relation. D’autres parts, le baroque est aussi l’expression de la Contre-Réforme triomphante et de l’absolutisme politique. Le baroque est donc caractérisé par l’oublie des fonctions, l’expansion du décor, l’ébranlement de l’espace. Le terme « baroque » n’a d’ailleurs jamais été utilisé au XVII ème siècle, le mot baroque vient

Amorcée dès le xve siècle et culminante au xvie siècle, la Réforme protestante est une volonté d'un retour aux sources du christianisme et aussi, par extension, un besoin de considérer la religion et la vie sociale d'une autre manière. Elle reflète l'angoisse des âmes1, par la question du salut, centrale dans la réflexion des réformateurs, qui dénoncent la corruption de toute la société engendrée par le commerce des indulgences. Les réformateurs profitent de l'essor de l'imprimerie pour faire circuler

l’économie et du social. La Renaissance créa une onde de choc dans les sphères du religieux et du politique. En amont ou en aval de ce mouvement culturel figurent les Grandes découvertes, l’invention de l’imprimerie par Gutenberg, la Réforme protestante, à laquelle fait écho la Réforme catholique, les guerres de Religion, … Ainsi un nouveau mouvement intellectuel apparaît et est dirigé par les humanistes. Ce sont des savants, des artistes, des religieux qui veulent rompre avec le Moyen Âge et sa manière de

accélérée. Le principal facteur pour la modernisation des changements dans tous les domaines de la société japonaise a été l'administration américaine, qui s’est efforce de mettre en oeuvre une politique cohérente de la démocratisation du pays. La réforme de l'économie japonaise dans l'après-guerre a été menée avec l'intervention active des États-Unis et sous le contrôle et l'administration du général Douglas MacArthur formellement. Ce dernier des les premiers mois apres l'occupation a décide que l'économie

actuellement ou ont mené un processus de décentralisation et de déconcentration. Aujourd'hui il semble qu'il y est donc un certain consensus sur leur nécessité et beaucoup veulent les développer encore à l'instar du ministre de la fonction publique et de la reforme de l'Etat, Michel Sapin, qui a dit dans un récent discours qu'une nouvelle étape de la déconcentration est nécessaire et que la décentralisation était un principe voulu par les Français. Mais cela n'a pas toujours été le cas comme nous le verrons

de l'univers ; il s'agit du Soleil. L'homme est décentré ; il existe un univers infini. L'univers est troué, et non plus bien délimité. L'univers est corruptible, comme le corps. Le courant baroque est apparu en Italie vers 1530 avec la Contre- Réforme catholique, sous l'influence du Concile de Trente (1545 à1563). Pendant près d'un siècle, de 1580 à1670, de la fin de la Renaissance jusqu'au triomphe du Classicisme, ce courant se répandit dans une Europe divisée par des conflits religieux et politiques

Thomas More (1478-1535) Philosophe anglais membre du mouvement humaniste. Né d'un père avocat, il étudie à l'université d'Oxford puis le droit à Lincoln's Inn. Il rencontre Érasme en 1499 qui le décrit comme quelqu’un de dithyrambique (élogieux excessif). Il choisit la vie politique à celle de moine ou de prêtre, puis entre au parlement en 1504. Il se marie en 1505 puis en 1511 après le décès de sa première femme. Depuis sa résistance aux levés de fond de Henri VII, celui-ci ne l’apprécie

jusqu'à l'avènement de la monarchie absolue réalisée par le roi Louis XIV (1643-1715). - s/ plan religieux : Après les troubles des guerres de Religion, l'Église catholique essaie de susciter un regain de ferveur. Les jésuites mènent la Contre-Réforme catholique contre les protestants. Tous les arts sont mis au service de la propagation de la foi. Des architectes, comme le Bernin (1598-1680), construisent des églises somptueuses. - s/ plan intellectuel : se développe un courant de libre pensée

général et les différences par rapport à l’Eglise orthodoxe. Le Code canonique représente, dans la culture occidentale, la loi de l’Eglise Catholique et de l’Eglise Anglicane (« Church of England », l’Eglise chrétienne séparée de Rome pendant la Reforme protestante, en Angleterre, par la rupture entre le Roi Henri VIII et le pape de Rome). Pour les Eglises Orthodoxes Orientales, le concept de code canonique est similaire, mais pas identique à celui occidentale, qui est plus juridique et législatif

l’Autriche et une partie de l’Italie: c’est le grand royaume chrétien des temps d’alors ; pris entre ces deux feux, l’influence des papes décline et leur autorité s’amenuise. Partout, la réforme protestante gagne du terrain, et l’intraitable Luther sème la discorde dans les nations chrétiennes : les 95 thèses de la Réforme, placardées sur le château de Wittenberg, sonnent le glas de l’Europe unie sous la bannière papale. Bientôt, Rome est menacée : Léon l’Africain sera témoin de son saccage, en 1527, par