Réforme économique

Ses idées exercèrent une grande influence sur la Réforme protestante, qui changea le cours de la civilisation occidentale. Après des études de droit, il devient moine puis prêtre en 1507. Un voyage à Rome en 1511 bouleverse sa confiance en la papauté. Le jour précédent la Toussaint 1517, le moine augustin Luther affiche sur la porte de la chapelle du château de Winttenberg les « 95 thèses sur la vertu des indulgences », point de départ de la Réforme. Indulgences : texte écrit par un évêque pour un

artistique allemande, il défend la Réforme de son siècle (XVI°s.) qui a d'ailleurs commencé dans son pays. C'est une réforme protestante, qui a pour volonté de retourner aux sources du christianisme et aussi, par extension, un besoin de considérer la religion et la vie sociale d'une autre manière. Elle est le symbole de l'angoisse des âmes, par rapport à la question du salut (libération définitive du mal et du péché et communion complète avec Dieu.) La Réforme se traduit donc à cette époque par

fait des études à paris. Il retourne ensuite au pays Bas où il fait la connaissance de Jean  Duvergier de Hauranne, futur Abbé de  Saint-Cyran. Ensemble, ils étudient la vie de Saint-Augustin et la vie d'autres Père de L'Église pour établir une réforme de L'Église. Il va ensuite à Louvain en 1617 où il est reçu comme docteur en théologie. Il se mêle à des controverses contre les protestants et les jésuites mais aussi contre  Richelieu dont il attaqua la politique contraire aux intérêts catholiques

nous pencherons enfin sur la genèse de cet ouvrage, les conditions d’écriture et d’édition, ce qui constitue un sine qua non pour le comprendre et l’analyser de manière optimale. 2.1 Contexte littéraire et religieux Après le lancement de la Réforme protestante qui gagna férocement du terrain au Nord de l’Europe comme en Allemagne ou en Suisse, l’Eglise catholique mit en place la ContreRéforme qui visait à combattre ces idées nouvelles. De cette opération, découla ce terrible conflit religieux

Verdun. 877 : Capitulaire de Quierzy-sur-Oise. 885-886 : Siège de Paris par les Normands. 962 : Restauration de l’Empire en Allemagne par Otton Ier. 987 : Election d’Hugues Capet comme roi des Francs. 1073-1085 : Pontificat de Grégoire VII (réforme grégorienne, querelle des investitures). 1095 : Début de la première croisade. 1099 : Prise de Jérusalem, royaumes francs de Palestine. 1140 : Décret de Gratien. 1147-1149 : Deuxième croisade. 1187 : Fin du royaume latin de Jérusalem. 1190 :

périodes : - la réforme protestante - la contre-réforme catholique La réforme protestante débute dès le XVe siècle et sera culminante au XVIe siècle. Elle exprime d’une part, une volonté de retour au christianisme dans la vie religieuse et d’autre part, un besoin de nouvelle considération de la vie religieuse en société. Cette réforme dénonce la corruption de toute la société engendrée par le commerce des indulgences, qui échange contre des pêchés pardonnés, des dons offerts à Dieu. La Réforme touche la

notamment en Angleterre et en Italie pour s’enrichir et développer sa conception humaniste de la chrétienté. Bien que ses idées et ses critiques à l’encontre du pape fussent proches de celles de Luther, il n’a jamais voulu adopter ni encourager la réforme protestante, ne souhaitant pas créer de schisme à l’intérieur de l’Église, fidèle par là à son idéal de paix et de concorde. Alors qu’il prépare le doctorat de théologie de la Sorbonne de 1495 à 1499, il gagne sa vie en travaillant comme précepteur

L’humanisme I. Contexte historique 1. Le commerce des indulgences et la Réforme L'affaire du commerce des indulgences fut le déclencheur de la Réforme protestante, à une époque où le développement de l'imprimerie permet une lecture directe de la Bible, dans toutes les langues, qui ouvre la voie à une critique des croyances catholiques et des pratiques de ses prêtres. Le moine Martin Luther rédige contre les indulgences ses 95 thèses qu'il affiche le 31 octobre 1517 sur la porte du château

extraordinaires avancées intellectuelles de l'époque créent une nouvelle confiance en la perfection de l'homme. Par rapport à la religion, l’humaniste ne croit pas être uniquement une créature de Dieu mais qu’il est aussi son propre créateur. La reforme protestante de Martin Luther est signe des principes de l’humanisme. L’humaniste, étant croyant, veut développer une relation directe avec Dieu, centre sur une lecture approfondie de la bible et la fois personnelle, non-impose par l’Eglise. L’utopie

de pouvoir en disposer à leur guise. C’est ainsi que le clergé, l’autorité ecclésiastique, commença à dégénérer et on parla d’une église ‘’tombé en main des Laïque’’. Ce fut à ce moment que parut le premier mouvement réformateur. * * La réforme grégorienne. * C’est un grand mouvement qui prend le nom du pape Grégoire XII (1973-1975), qui souhaite redéfinir les relations entre les dimensions spirituelles et temporelles du monde : le clerc, qui incarne les valeurs du spirituel et le Laïc