Réforme économique

jusqu'à l'avènement de la monarchie absolue réalisée par le roi Louis XIV (1643-1715). - s/ plan religieux : Après les troubles des guerres de Religion, l'Église catholique essaie de susciter un regain de ferveur. Les jésuites mènent la Contre-Réforme catholique contre les protestants. Tous les arts sont mis au service de la propagation de la foi. Des architectes, comme le Bernin (1598-1680), construisent des églises somptueuses. - s/ plan intellectuel : se développe un courant de libre pensée

général et les différences par rapport à l’Eglise orthodoxe. Le Code canonique représente, dans la culture occidentale, la loi de l’Eglise Catholique et de l’Eglise Anglicane (« Church of England », l’Eglise chrétienne séparée de Rome pendant la Reforme protestante, en Angleterre, par la rupture entre le Roi Henri VIII et le pape de Rome). Pour les Eglises Orthodoxes Orientales, le concept de code canonique est similaire, mais pas identique à celui occidentale, qui est plus juridique et législatif

l’Autriche et une partie de l’Italie: c’est le grand royaume chrétien des temps d’alors ; pris entre ces deux feux, l’influence des papes décline et leur autorité s’amenuise. Partout, la réforme protestante gagne du terrain, et l’intraitable Luther sème la discorde dans les nations chrétiennes : les 95 thèses de la Réforme, placardées sur le château de Wittenberg, sonnent le glas de l’Europe unie sous la bannière papale. Bientôt, Rome est menacée : Léon l’Africain sera témoin de son saccage, en 1527, par

La réforme grégorienne est une politique menée durant le Moyen Âge sous l'impulsion de la papauté. Elle est accompagnée du chant grégorien et caractérisée par le contrôle des prêtres par un moine tous les mois. Si les historiens admettent que le pape Léon IX a commencé le redressement de l'Église, c'est pourtant le pape Grégoire VII qui a laissé son nom à la réforme. De plus, les efforts pour sortir l'Église catholique d'une crise généralisée depuis le Xe siècle se poursuivent bien après le pontificat

encouragent les catholiques à ne considérer comme référence que l'Ecriture sainte et l'Evangile, alors que la croyance établie à cette époque prend aussi en compte la tradition. C'est pourquoi il y a rapidement conflit entre les deux courants. La Réforme s'organise selon les concepts de Jean Calvin qui instaure un modèle d'austérité extrême. L'humanisme Les principes essentiels a. Une réaction contre un système inefficace L'enseignement dispensé au XVIe siècle est vivement critiqué

attaque Luther dans son De libero arbitrio (Essais sur le libre arbitre). 1526 : Luther répond à l’attaque d’Érasme par le De servo arbitrio. La polémique continue. 1528 : Publication du Cicéronien. 1529-1535 : Bâle étant tout entière passée à la Réforme, Érasme va s’installer à Fribourg-en-Brisgau. Dernier grand ouvrage : L’Ecclésiaste. 1535 : Retour à Bâle. Le pape lui offre le cardinalat qu’il refuse. 12 juillet 1536 : Érasme meurt à Bâle. Érasme, dit Érasme de Rotterdam, ou Gerritszoon, c’est-à-dire

La Réforme Protestante La Réforme est le résultat du rejet des orientations prises par le catholicisme pendant le Moyen Âge (et qui ont été définitivement réaffirmées par Rome au concile de Trente.) La Réforme et a été menée sous l'impulsion de théologiens tels que Martin Luther, Jean Calvin, Ulrich Zwingli parmi tant d'autres. Pierre Valdo, John Wyclif, Jan Hus, Lefèvre d'Etaples sont considérés comme des précurseurs de la Réforme. I/Naissance du Protestantisme Martin Luther (1483-1546) est un

chrétiens d’Orientet d’Occident amènent l’Église chrétienne à se scinderen deux : c’est le Grand Schisme d’Orient , qui voit lanaissance de l’ orthodoxie en Orient (qui conserve lesystème du patriarcat) et celle du catholicisme enOccident. La réforme grégorienne Cependant, en Occident, des pratiques déviantes duclergé « salissent » l’image de l’Église : concubinagedes prêtres (qui ont pourtant fait vœu de célibat) etcommerce des charges ecclésiastiques. À partir dumilieu du XI e siècle,

Le contexte religieux du XVIème siècle Le protestantisme et l’humanisme chrétien L’humanisme et la Réforme ont une origine commune. C’est la naissance de la volonté de revenir aux textes de « bases » et d’y réfléchir de manière critique pour pouvoir s’en faire sa propre idée. La Réforme est une crise religieuse qui entraine la fin de l’unicité du christianisme en France (dans une période où le christianisme était sans concurrence et, par conséquent, possédait un pouvoir absolu). Si le christianisme

a dit que le baroque monumental était un style que la papauté pouvait instrumentaliser, comme le firent les monarchies absolues, en imposant une voie d’expression à même de restaurer son prestige, au point de commencement symbolique de la Contre-Réforme catholique. Que ce fût ou non le cas, son développement eut du succès à RomeNote 4 où l’architecture baroque renouvela largement le centre-ville ; peut-être la plus importante rénovation urbanistique. Le terme « baroque » dans son sens actuel,