Réfugiés et exilés de la guerre d'Espagne

On parle d'antithèse, lorsque dans un énoncé (phrase, texte, paragraphe, discours), des notions s'opposent. Exemple : le passé, le présent et l'avenir, le bien et le mal, la vertu et le vice, la jeunesse et la vieillesse, l'amour et la haine, la guerre et la paix. -L'antiphrase C'est l'expression d'une idée par son contraire ; le ton utilisé et le contexte signalent que les mots ont un sens opposé au sens dénoté. Exemple : « C'est du joli !» ou « C'est du propre ! », pour caractériser une action

encore habitée. La porte de cette maison donne sur la cour. À côté d’une jolie plaque de serrure gothique il y a sur cette porte une poignée de fer à trèfles, posée de biais. Au moment où le lieutenant hanovrien Wilda saisissait cette poignée pour se réfugier dans la ferme, un sapeur français lui abattit la main d’un coup de hache. La famille qui occupe la maison a pour grand-père l’ancien jardinier Van Kylsom, mort depuis longtemps. Une femme en cheveux gris vous dit : « J’étais là. J’avais trois ans

n'est pas raisonnable. L'idée de l'empire et de la domination est si composée, et dépend de tant d'autres idées, que ce ne serait pas celle qu'il aurait d'abord. Hobbes demandepourquoi, si les hommes ne sont pas naturellement en état de guerre, ils vont toujours armés, et pourquoi ils ont des clefs pour fermer leurs maisons. Mais on ne sent pas que l'on attribue aux hommes avant l'établissement des sociétés, ce qui ne peut leur arriver qu'après cet établissement, qui leur fait trouver

Restrepo, Una periodista colombiana, p. 26-27) Littérature L’écrivain dans son siècle : le roman d’après-guerre • Camilo José Cela, La Colmena (p. 29) ; Almudena Grandes, Modelos de mujer (Complementos, p. 186) Pages d’ouverture (p. 12-13) Cette double page est construite autour de trois encadrés qui rappellent certaines dates importantes de l’histoire espagnole du xxe siècle (dates de la Guerre Civile, de la Constitution et de l’entrée de l’Espagne dans le Marché commun) et quelques points clefs

combattants des tranchées Armand Colin, 1986 1870. La France dans la guerre Armand Colin, 1989 La Guerre des enfants, 1914-1918 Armand Colin, 1993 L’Enfant de l’ennemi Aubier, 1995 14-18. Retrouver la guerre avec Annette Becker Gallimard, 2000 Cinq Deuils de guerre, 1914-1918 Noésis, 2001 France and the Great War, 1914-1918 avec Annette Becker et Leonard Smith Cambridge University Press, 2003 La Guerre au xxe siècle. L’expérience combattante La Documentation photographique

de Bérénice, des aventures qui semblent d'abord très fantaisistes, le tableau devient de plus en plus réaliste : de la très improbable abbaye sur une île du Saint-Laurent, on passe à une Amérique du Nord de plus en plus véridique et, enfin, à une guerre en Israël qui est tout à fait historique. Un lecteur qui ouvre le livre sans savoir qui est Réjean Ducharme (qui le sait vraiment?) découvre que la narratrice est la fille d’un juif et d’une catholique, qu’elle est juive tandis que son frère est

européennes ne s’y sont d’ailleurs pas trompées : plusieurs d’entre elles l’ont fortement convoité, si bien qu’il a eu à subir trois colonisateurs différents avant d’être le seul territoire d’Afrique subsaharienne occupé par la France à connaître une guerre de libération, passée sous silence dans les manuels d’Histoire des écoliers français et camerounais. Mais en dépit de ses richesses exceptionnelles, les performances économiques et sociales du Cameroun, qui compte 20 millions d’habitants, sont loin

dans une de ses arêtes et, pareil à Sisyphe, se raidit de toute sa puissance contre le rocher. Le rocher, déjà ébranlé par la commotion, chancela ; Dantès redoubla d’efforts : on eût dit un de ces Titans qui déracinaient des montagnes pour faire la guerre au maître des dieux. Enfin le rocher céda, roula, bondit, se précipita et disparut, s’engloutissant dans la mer. Il laissait découverte une place circulaire, et mettait au jour un anneau de fer scellé au milieu d’une dalle de forme carrée. Dantès

comme à l’exemple de son prédécesseur Grégoire VII, Urbain, une fois devenu pape, avait en 1089 lancé lui-même sur les routes d’Espagne une autre expédition française, composée en majorité, celle-là, de chevaliers du midi. Or, la reconquista espagnole à cette date, c’était déjà comme les grandes manœuvres de la croisade. Comment Urbain II décida-t-il d’étendre à l’Orient la guerre de délivrance commencée à l’Occident extrême ? Pour répondre à cette question, il nous faudrait suivre le grand pape en ses

le tuer du point de vue juridique. C’est la capitis deminitio maxima dont parle Gaïus. Elle résulte soit de la captivité, soit de la réduction en esclavage d’un citoyen qui ne peut se faire qu’à l’extérieur de l’empire romain. Ces prisonniers de guerre ou ces esclaves peuvent retrouver le caput en même tant qu’ils peuvent retrouver la liberté et la citoyenneté au moment où ils quitteront les territoires étrangers et reviennent dans l’Empire romain. C’est la théorie du post liminium. Mais certaines