Regard caméra

le bus » elle annonce donc l'action qui consiste à courir après ce bus. Elle court toujours devant, prends en main l'action et insiste pour avoir ce bus-là tandis que le second personnage est derrière et même parfois à la limite du hors-champ. La caméra se centre sur Frida et suit ses mouvements, une fois qu'elle va rejoindre le bus on a un plan rapproché épaule qui nous permet de voir ses sentiments, ici de l'amusement par rapport à la course qu'ils viennent de faire, on s'intéresse donc uniquement

film comporte en moyenne 5 à 600 plans. La durée moyenne d’un plan est de dix secondes. Le jeu sur la durée du plan participe du rythme de la narration. 1.L'ECHELLE DU PLAN: La nomenclature des valeurs de plan - obtenues par la position de la caméra par rapport à l'objet filmé et par les objectifs utilisés - s'établit comme suit (du plus large au plus serré): Les plans larges: Plan général: situe la totalité d'un décor vaste, d'un espace important, dans lequel les personnages ne sont pas

« improbable » puisque rapporté par Bischaine qui est le pire menteur du village. L'autre, parce que à partir de l'entrée de Ninola dans l'hôtel, la caméra s'implante dans le regard de la future Gradisca. Cette histoire appartient moins à la réalité qu'au fantasme. La structure de cet extrait se centre autour de la dualité voire de l'opposition. La caméra fait un va-et -vient entre deux mondes qui jamais ne seront réunis dans aucun plan : la Gradisca et le prince. À travers la sensualité et la naïveté

lie une relation avec son maître finalement elle sera à l'origine du peuple arabe. Il y a un travail très important sur la profondeur, contraste de couleurs et des clairs. Le sujet est un tout petit élément alors qu'il devrait être au centre, notre regard se porte d'abord sur la nature. La lumière éclaire la nature (lumière du matin), tout ce qui va se passer,… On attend Dieu, tout ça grâce à Dieu, la lumière vient d'en haut à gauche. Jean-François Millet, Les glaneuses (1857). L'arrière plan est

Outils d’analyse filmique liés à la prise de vues par Frédéric Mocellin Ce document définit les notions de profondeur de champ, de perspective, de place de caméra et de hauteur de caméra. Ces notions font intervenir des paramètres tels que l’objectif de la caméra, l’ouverture de diaphragme et la mise au point. Ces éléments sont importants pour analyser les caractéristiques photographiques d’un film comme « La soif du mal » d’Orson Welles dont le style visuel est très recherché (comme dans tous ses

Comme cette capacité rare le personnage aussi représente un phénomène rare dans la société. C’est logique donc, qu’une personne extraordinaire, même avec un hôte de talent si exceptionnel, aille connaitre une chute d’une taille pas normale. On a regardé la chute irrégulier de Sabine quand elle a, tout calmement, quitté le concours avec une petite sourire. A cause de son caractère unique, son concentration extrême, et une obsession qui l’entoure, elle a réussi d’accomplir ce qui semblait impossible

comme coquette, mais aussi comme un juge sévère, une scrutatrice minutieuse de son apparence et, par extension, d'elle-même. b. Un personnage réflexif Une main disparaît tandis qu’elle adopte une attitude pensive, le menton posé sur la main : elle se regarde dans les yeux. C’est la froideur de jugement et l’esprit de décision qui sont ici mis en évidence. Après cette pose, elle s’adresse un franc sourire de satisfaction comme si elle avait mûri un projet au cours de sa réflexion. Puis elle se détourne

dans le journalisme. Comme tous les jours, il se réveillait très tôt le matin, ses longs cheveux blonds tout ébouriffés, qui cependant, accompagnaient biens sa tête, lui rendant agréable à regarder. Celui-ci vivait pour sa passion : le journalisme. Et le seul objet qui comptait le plus pour lui était sa caméra, qu’il avait eu comme cadeau, il y’a longtemps, pour son anniversaire. Il travaillait pour le « Paris News », l’un des seuls journaux de Paris qui informait à l’échelle international. Le

passants de 7 à 4. ------------------------------------------------- Les scènes Scène n°1 Poucet pose les cailloux Caméra immobile, la famille passe devant poucet. Lui reste immobile, zoom avant vers sa bourse, il en sort un caillou blanc, la caméra suit le caillou (gros plan) il pose le caillou au sol la caméra suit toujours le caillou. Changement de plan. Caméra immobile avec une vue sur la famille de poucet qui s’avance, (plan d’ensemble) poucet continue a posé les cailloux. Position :

construite en champs-contrechamps sur le regard de Scottie : à l’extérieur de la tour, ceux-ci sont horizontaux ; dans la tour, ils seront axés verticalement. Devant l’église, Madeleine se sépare physiquement de Scottie dont elle est pourtant éprise : elle « doit » rentrer seule dans le bâtiment. Levant les yeux vers le hors-champ, elle invite par là même Scottie qu’elle fuit, puis le spectateur, à suivre son regard. Un contrechamp nous dévoile l’objet des deux regards : le clocher [1] ainsi désigné comme