Régime sinusoïdal

Après la victoire des républicains en 1879, il leur faut imposer la République à l’ensemble de la population française. En effet, de nombreux Français sont, au pire, opposés à la République, au mieux, indifférents à ce régime politique. Quelles sont les forces qui s’opposent à la république ? Nous verrons d’abord que ces oppositions étaient à la fois fortes et variées, et que les moyens d’action face à la République étaient nombreux et conséquents, pour enfin décrypter les réactions de la République

penchons nous plutôt sur ce qu’en dit Henri Petiot plus connu sous le pseudonyme de Daniel-Rops. Pour lui la démocratie (…) a plus que tout autre système besoin d’élites. Dans un régime autoritaire, les rouages de l’Etat sont si parfaitement assemblés que l’insuffisance d’un des éléments a peu d’importance. En régime démocratique, le lien est plus lâche. Pour que tout marche, il faut que chacun apporte son effort (…) (sic). On peut d’ors et déjà analyser cette citation, ce qui nous amène

d'origine russe naturalisé américain Wassily Leontief[2]. En France, ce sont des économistes comme François Perroux (également auteur de la théorie des "pôles de croissance") qui ont les premiers établi des modèles de comptabilité nationale sous le régime de Vichy et à la Libération[3]. Une étude sur le sujet évoque "ces pionniers aux vues anticipatrices élaborent des outils statistiques et amorcent la réflexion sur la comptabilité nationale, à partir de la fin des années trente, puis pendant l'occupation

cohérente ( I Relations gouvernement/ AN (parlement) + instabilité gouvernementale = transformation A) La rationalisation prévue par la Constitution (en théorie : art 49 et 50 de la constitution) Mettre en place a la base un régime parlementaire avec collaboration des deux chambres : dissolution + responsabilité politique Source d’instabilité : ECHEC sur la dissolution ( mauvais utilisation une fois donc réticence de l’usage de ce moyen) Question de confiance,

Weimar. Ce qui a permis Hitler d’arriver au pouvoir, c’est la trop grande faiblesse du régime précédent. Les parlements étaient incohérents, Weimar était faible par excès de parlementarisme, d’où son rationalisation parlementaire. La constitution impose des limites au Parlement pour le protéger des excès. Par exemple la motion de méfiance constructive, censure constructive. La république de Weimar était un régime semi-présidentiel, le président était élu directement par le peuple. Le chef du pouvoir

Demande déposée par un ou plusieurs parlementaires, tendant à obtenir la condamnation du gouvernement par l'Assemblée à laquelle ils appartiennent. Expressément prévue en France par la Constitution de la IVe République, la motion de censure tomba rapidement en désuétude, le gouvernement préférant, en général, mettre en jeu sa responsabilité devant le Parlement. C'est pourquoi, dans son effort pour assurer la stabilité gouvernementale, la Constitution de 1958 accorde un grand rôle à la motion de censure

 Les évolutions du régime parlementaire du Royaume-Uni au XXe siècle « Notre révolution est calme mais c'est une révolution », disait Tony Blair. Une affirmation qui reflète bien là les évolutions d'un régime ancien et initiateur. Elle est le berceau du parlementarisme, mais elle cultive cependant l'innovation. En effet, c'est au début du XIIIe siècle que se dessine l'ébauche du régime parlementaire que nous connaissons aujourd'hui. Cependant, l'histoire du régime connaît un réel tournant

République Le Parlement représente l’un des trois pouvoirs démocratiques : le pouvoir législatif (En Russie, le système politique n’est pas démocratique car il n’y a pas d’équilibre entre les 3 pouvoirs. Il ne s’agit non pas d’une dictature mais d’un régime monocratique.) Le Parlement est une institution collégiale réunissant les représentants des électeurs au sein d’une assemblée. La Vème République (nait en 1958) a voulu rationaliser les pouvoirs, les fonctions et les missions du Parlement.

Le fondement législatif du régime de Vichy [modifier] Articles détaillés : Loi constitutionnelle du 10 juillet 1940 et Vote des pleins pouvoirs à Philippe Pétain le 10 juillet 1940. Le 10 juillet 1940 est soumise à l'Assemblée nationale, réunion de la Chambre des députés et du Sénat, une proposition de révision de la Constitution permettant d'attribuer les pleins pouvoirs au maréchal Pétain, président du Conseil. Sur 649 suffrages exprimés, sur les 907 parlementaires de l'époque, 57 députés et

ont pas accès. En effet, elle varie partout dans le monde suivant les régimes politiques, la situation du pays et les coutumes. Par exemple, dans les pays sous développés, les enfants n’ont pas tous le droit et les besoins pour aller à l’école faute d’avoir les moyens de construire des infrastructures adéquates parcequ’ils n’ont pas l’argent nécessaire, et que la population est très pauvre, ou alors, dans les pays où le régime politique est très strict, ils n’ont aucune liberté d’expression, ils