Régionalisme

multipartisme, des médias indépendants, un système judiciaire et d’autres institutions démocratiques. Toutefois, le népotisme, la corruption et les réseaux criminels ont fomenté des alliances basées sur des idéologies religieuses et de caste, le régionalisme et les dynasties politiques. Depuis plusieurs années, l'inflation, la corruption et le terrorisme sont parmi les problèmes les plus préoccupants. En 2012, l'Inde a été classée 94e sur 182 pays selon l’Indice de perception de la corruption (IPC)

ouvrage La fin des territoires. Cette considération se situe dans son analyse de l’évolution de l’Etat, à travers le prisme du territoire, en tant qu’entité de référence dans les relations internationales.                  Il parle ainsi de « régionalisme à territorialités multiples »[2].  L’Union Européenne est intrinsèquement une organisation à « géométrie variable »[3]. En effet, l’UE fut celle des « six » (1957, Traité de Rome), des « neuf » (1973), jusqu’à être celle des « vingt sept » (2007)

unitaire à un État régional et d'un État régional est progressivement devenu un État, qu'on pourrait qualifier aujourd'hui, de fédéral. L'Espagne et l'Italie sont encore loin de succomber dans le fédéralisme, mais ils sont néanmoins l'objet d'un régionalisme poussé à l'extrême. [...] [...] Le cas le plus flagrant est celui de l'éclatement de la Yougoslavie , mais il y a tant d'autres exemples comme les essais de bâtir des états fédéraux en Afrique du Sud, et au Nigeria, qui ont débouché dans des

représentée en tant que membre de l’organisation), ce qui peut faciliter les accords. En permettant le développement des économies dans un cadre protégé, le régionalisme peut être une étape préalable au multilatéralisme, permettant à certains pays de prendre de l’assurance. C’est ainsi que Mike Moore, ancien président de l’OMC, déclarait que le régionalisme pouvait servir à compléter et à promouvoir le multilatéralisme, mais qu’il ne devait en aucun cas le remplacer. Mais le risque est grand selon lui de

statut de personne moral de droit public. L’Etat transfère seulement des compétences administratives Les types de transferts : - Transferts de compétences administratives - Transferts de compétences législatives (décentralisation politique ou régionalisme) I – La décentralisation classique Décentralisation= technique de transfert des compétences administratives au profit d’autres personnes morales de droit public à côté de l’Etat. L’Etat décide qu’il ne sera pas la seule personne morale de droit

On montrera qu’au long des trente dernières années, de “nouveaux mouvements sociaux” ont émergé autour d’objets variés, distincts de ceux liés au monde du travail : environnement, droit des femmes, régionalisme, reconnaissance de la diversité des orientations sexuelles, reconnaissance des minorités ethniques ou religieuses. On discutera de la qualification de ces mouvements sociaux à partir des trois caractéristiques qui leur sont reconnues : la tentative d’affirmation d’identités ou de valeurs

 I. L'Etat unitaire  A. Etat unitaire simple (déconcentration, décentralisation)  B. l'Etat unitaire complexe (union incorporée, régionalisme)  II. L'Etat composé  A. l'Union d'Etats (confédération)  B. l'Etat fédéral (E.U.)  Les confédérations d'Etats Les confédérations d'Etats sont des associations politico-juridique d'Etats souverains. But? Maintenir leur sécurité par rapport aux éventuelles agressions extérieures, préserver la paix dans leur relation. Comment? en confiant quelques

deviennent des « interfaces ». Les aménagements des activités industrielles et de services et les aménagements des voies de circulation se font en coopération : cela crée des régions transfrontalières. Ex : les eurorégions en Europe. 3) Le renouveau du régionalisme. Il prend deux formes : -la première est culturelle : elle vise à redonner des racines dans un monde qui a tendance à s’uniformiser, -la seconde développe des idéologies nationalistes et guerrières qui conduisent parfois aux conflits armés (ex

Audacieux » : diérèse → orgueilleux « Marbre dur » : masculin → inhumain ≠ « Ardoise fine » : féminin → humain « Mont palatin » → célèbre ≠ « Petit Liré » → obscurité intime « Air marin » → salé, rude ≠ « douceur angevine » « Aïeux, gaulois » → régionalisme ≠ Rome universaliste Exil à Rome ≠ « beau voyage » → expérience, sagesse  leçon de vie : le voyage enrichit l’âme  humanisme En conclusion, de par l’expression de la mélancolie, mais aussi grâce à une critique de Rome au profit de son pays

(zone limite) C. Un conflit à retentissement mondial : Israël-Palestine. III. Le terrorisme : une guerre asymétrique justifiée par l’idéologie. A. Les causes du terrorisme : le déséquilibre des forces. Car le fait de groupes minoritaires (régionalisme basque), ou disposant de faibles forces armées (IRA, Palestiniens) B. Les réponses variées au terrorisme : la répression (Corse, Israël), la négociation (Irlande, 98, Oslo 93), la mise à distance (mur de Cisjordanie) C. Un terrorisme mondialisé :