Regrets Sonnet 78

men. Shakespeare writes darker plays in his mature years – of which Macbeth. 1608- the king’s men begin using a 2nd theatre Blackfriars – Shakespeare has become prosperous and so no longer acts in his plays. 1609 – publication of Shakespeare’s sonnets. 1616 – death. What you must know about Macbeth. It’s a tragedy – one of the darkest plays he ever wrote. Very gory. It is set in Scotland in the 11th century. The major source is R. Holinshed’s Chronicles of England, Scotland and Ireland

Quand la vieille dame que tu connais se réveillera, je disparaîtrai. Je rentrerai entre les pages du cahier où elle raconte − où JE raconte-les événements de sa jeunesse. Et je redeviendrai une octogénaire perclue de rhumatismes, qui ressasse ses regrets... » Guillaume ne répond pas. Cette détresse le bouleverse. Il se promet de rendre visite à sa voisine, demain. De parler avec elle, de lui faire raconter ses souvenirs. Les personnes âgées ont tant de choses à nous apprendre, sur les époques passées

.................................................................................page 77 4. Les homonymes ........................................................................................................................................page 78 5. La formation des mots : la famille d’un mot (1) ...............................................................page 79 6. La formation des mots : la famille d’un mot (2) .............................................................. page 80

choses gaies et passionnantes planaient dans l’heure qui allait venir. Je lui dis que je m’étais arrêté une journée à Chicago en venant à New-York et qu’une douzaine de personnes m’avaient chargé pour elle de leurs affectueuses salutations. – On me regrette donc ? s’écria-t-elle d’une voix extasiée. – La ville est plongée dans la désolation. Toutes les autos ont la roue gauche arrière peinte en noir comme une couronne funèbre. On entend toute la nuit le long du lac se traîner de longs gémissements.

choses gaies et passionnantes planaient dans l’heure qui allait venir. Je lui dis que je m’étais arrêté une journée à Chicago en venant à New-York et qu’une douzaine de personnes m’avaient chargé pour elle de leurs affectueuses salutations. – On me regrette donc ? s’écria-t-elle d’une voix extasiée. – La ville est plongée dans la désolation. Toutes les autos ont la roue gauche arrière peinte en noir comme une couronne funèbre. On entend toute la nuit le long du lac se traîner de longs gémissements.

mu (sens : mis en mouvement, déplacé). Séance 2 2- Groupement de textes : le discours amoureux. Réponses aux questions sur le groupement de textes. 1- Le texte 1 est un poème composé de quatre strophes : deux quatrains et deux tercets. C’est un sonnet. Le texte 2 est un extrait de pièce de théâtre dans lequel Coelio s’exprime d’abord dans un court monologue puis s’entretient, ensuite, avec Octave. Le texte 3 est un poème composé de trois quatrains aux rimes croisées. Le texte 4 est un poème composé

balbutia-t-elle, ne me reconduisez pas chez les autres ! Le mari et la femme s’étaient regardés. Justement, depuis l’automne, ils faisaient le projet de prendre une apprentie à demeure, quelque fillette qui égaierait la maison, si attristée de leurs regrets d’époux stériles. Et ce fut décidé tout de suite. – Veux-tu ? demanda Hubert. 25 Hubertine répondit sans hâte, de sa voix calme : – Je veux bien. Immédiatement, ils s’occupèrent des formalités. Le brodeur alla conter l’aventure au juge

était aussitôt retombé aux ténèbres, et un formidable coup de tonnerre avait ébranlé le quartier endormi. Arrivé devant sa porte, une vieille porte ronde et basse, bardée de fer, Claude, aveuglé par la pluie, tâtonna pour tirer le bouton de la sonnette ; et sa surprise fut extrême, il eut un tressaillement en rencontrant dans l’encoignure, collé contre le bois, un corps vivant. Puis, à la brusque lueur d’un second éclair, il aperçut une grande jeune fille, vêtue de noir, et déjà trempée, qui

ne me reconduisez pas chez les autres ! – 13 – Le mari et la femme s’étaient regardés. Justement, depuis l’automne, ils faisaient le projet de prendre une apprentie à demeure, quelque fillette qui égaierait la maison, si attristée de leurs regrets d’époux stériles. Et ce fut décidé tout de suite. – Veux-tu ? demanda Hubert. Hubertine répondit sans hâte, de sa voix calme : – Je veux bien. Immédiatement, ils s’occupèrent des formalités. Le brodeur alla conter l’aventure au juge de paix du

entrevu était aussitôt retombé aux ténèbres, et un formidable coup de tonnerre avait ébranlé le quartier endormi. Arrivé devant sa porte, une vieille porte ronde et basse, bardée de fer, Claude, aveuglé par la pluie, tâtonna pour tirer le bouton de la sonnette ; et sa surprise fut extrême, il eut un tressaillement en rencontrant dans l’encoignure, collé contre le bois, un corps vivant. Puis, à la brusque lueur d’un second –3– éclair, il aperçut une grande jeune fille, vêtue de noir, et déjà trempée