Reine De Beauté

Texte 1 : La scène de bal dans la Princesse de Clèves : Ce document est tiré de La Princesse de Clèves, roman classique publié de manière anonyme en 1678, par Madame de Lafayette, mettant en scène la passion impossible entre le duc de Nemours et la Princesse de Clèves au travers d’intrigues mêlant des considérations précieuses, moralistes et jansénistes.Le passage se situe dans la première partie du roman et relate la rencontre des deux protagonistes du roman, la princesse de Clèves et le duc de

d'une créature comme vous... Je suis amoureux, ou fou de vous, les deux si vous voulez... Oh.. Oh... Je vous aime à l'italienne » susurra le bel étalon. « Encore des mots, toujours des mots les mêmes mots et rien que des mots... » -à part- « ma beauté les fait tous chavirer jusqu'au cieux, les hommes sont tous semblable, hahaha je m'en réjouis. J'hume l'exaltation à pleins nez ! Son amour pour moi est un roc, un pic, un cap. Que dis-je un cap ? C'est une péninsule. » « Que dites-vous ? Ai-je

vie. Le deuxième poème qui correspond à la problématique se nomme Allégorie , Ce poème décrit une femme qui semble être une prostituée. Ce poème correspond à la problématique parce que le corps par sa beauté et la fierté de cette femme l’emporte sur la Débauche et la Mort (et d’autres monstres évoqués dans le poème) comme l’or peut l’emporter sur la boue. Comme l’on peut le remarquer dans ce poème, elle a toujours souhaité garder son intégrité malgré

il convient d’étudier les éléments textuels qui font de la rencontre entre Aldo et Vanessa, une rencontre hors du commun, une rencontre fantastique et extraordinaire. Nous étudierons la façon dont les lieus sont décrits comme surélevés et plein de beauté. Dès la première ligne de cet extrait, le narrateur nous fait savoir qu’il est sur les marches d’un belvédère, « Je descendais déjà les dernières marches de mon belvédère (…) ». Cela nous apprend qu’il est dans un lieu élevé, il le reformule encore

Hugo, Don Salluste veut se venger de la Reine. Dans cette scène, il oblige la Reine à signer un parchemin où elle renonce à son titre. Il lui explique qu’elle ne sera pas malheureuse car elle partira avec Ruy Blas dont elle est amoureuse. Ruy Blas en effet, bien que laquais de Don Salluste, se fait passer pour Don César son cousin ce qui lui confère un statut d’homme très important et riche. A force d’arguments convaincants de la part de Don Salluste, la Reine se décide à signer le parchemin. Mais

 HYMNE A LA BEAUTE Viens-tu du ciel profond ou sors-tu de l’abîme, Ô Beauté ! ton regard, infernal et divin, Verse confusément le bienfait et le crime, Et l’on peut pour cela te comparer au vin. Tu contiens dans ton œil le couchant et l’aurore ; Tu répands des parfums comme un soir orageux ; Tes baisers sont un philtre et ta bouche une amphore Qui font le héros lâche et l’enfant courageux. Sors-tu du gouffre noir ou descends-tu des astres ? Le Destin charmé suit tes jupons comme

Troie: a) L’origine légendaire de la guerre: ➢ Le roi Priam et sa femme Hécube attendent un enfant ➢ Songe….. ➢ Abandon… ➢ Les 3 déesses se querellèrent un jour. Héra, la reine des dieux, Athena, déesse de la sagesse et Aphrodite, déesse de la beauté. Elles se querellaient sur le point de savoir laquelle d’entre elles était la plus belle ➢ Paris choisit Aphrodite ➢ Reconnu à troie, par pour faire du commerce ➢ Rencontre et enlevement

ensemble et après discussion se séparent , chacun de leur côté , cette pièce montre que la séparation est plus douloureuse que la mort . 2° Les trois personnages principaux sont Titus (empereur de Rome) , Antiochus (roi de Comagène) et Bérénice (reine de Palestine). Titus : Son confident est Paulin . La pièce de théatre commence alors qu'il a déjà fait son choix , il doit renoncer à son amour envers Bérénice . Au cours de cette pièce , il n'a qu'une chose à faire , le lui annoncer . Son peuple

Claudius, oncle d’Hamlet, envoie des ambassadeurs au roi de Norvège, pour l’engager à prévenir la guerre que prépare Fortinbras. Un seigneur danois, Polonius, demande pour son fils Laertes la permission de voyager en France. Le roi l’accorde. La reine Gertrude, veuve du feu roi, et remariée à son beau-frère, interroge son fils Hamlet sur les causes du morne chagrin où on le voit toujours plongé ; et le roi exhorte le jeune prince à ne plus conserver un regret inutile. Hamlet, resté seul, ne peut

l’harmonie qu’elle possède en elle et qui nous semble antagonique. L’usage du singulier pour parler de la femme est mis en valeur par les pluriels qui le contrebalance («Mère », « maîtresse », « reine »,  « ton sein », puis « souvenirs », « maitresses », « les soleils sont beaux », « tes prunelles », « tes beautés langoureuses »).L’antonymie rend justice à son éclatement, faisant d’elle l’origine et l’aboutissement. Elle est simultanément l’une et l’autre. Ainsi l’antithèse du vers 8 « Ô douceur ! Ô poison