Reinette Clochard

expression. 4/ Les éléments descriptifs sont les traits du visage « visage maigre plissé de rides » mais aussi sa tenue vestimentaire « un béguin sans bordure, sa camisole rouge ». 5/ La métaphore employée ici est « plus plissé de rides qu’une pomme de reinette flétrie ». Puis la comparaison «  à force d’avoir servi, elles restaient entrouvertes, comme pour présenter d’elles-mêmes l’humble témoignage de tant de souffrances subies ». 6/Le registre que Flaubert a choisi est le registre réaliste. On le déduit

Exposé sur les S.D.F. Un sans domicile fixe (SDF) est une personne qui dort dans la rue ou dans des foyers d'accueil. On parle aussi de sans abri, d'itinérant ou clochard qui a connotation péjorative. Juridiquement, une personne n'ayant pas de domicile fixe n'est pas forcément un sans-abri, mais quelqu'un qui doit se doter d'un livret ou carnet de circulation. SDF est le nouveau nom en France depuis le milieu des années 1980 ; ce nom succède à la notion de vagabond

Dissertation : « Il peut y avoir de la honte à être heureux tout seul » tiré de « La Peste » d’Albert Camus Il est sûrement improbable que vous n’ayez jamais rencontré un clochard assis sur le trottoir sollicitant quelques pièces puisque d’après certaines enquêtes, un belge sur sept vivrait en dessous du seuil de pauvreté. Si cette mésaventure vous est bel et bien arrivé, comment avez-vous réagit et qu’avez-vous fait ? Lui avez-vous donné une pièce gentiment ou avez-vous feint l’ignorance ? C’est

l’âge du personnage ( + de 50 ans ) - périphrase «  plus d’un demi-siècle » permet d’insister sur son âge - « articulation noueuse » insiste une fois de plus sur son âge = maladie articulaire* - comparaison de son visage avec la pomme de reinette (l 4-5) «  plus plisser qu’une pomme … » comparaison hyperbolique. Ici, paradoxe car normalement la pomme renvoit à la fraicheur, la grâce = Ironie Flaubertienne (regard ironique et méchant non sur le personnage de Catherine Leroux, mais qui s’attaque

» v. 30-31, « le serpent » v. 34 et « le péché originel » v. 35) ; à la mythologie (les pommes d’or du jardin des « Hespérides » v. 33) ; à l’agronomie et à la culture agricole (les différentes variétés de pommes : « Canada », « la Normandie, la Reinette et l’Api » v. 33, la pomme d’ « arrosoir » v. 32, les arbres fruitiers en « espalier » et la pomme de terre avec « Parmentier » au même vers), à la science (avec Isaac Newton et sa théorie de la gravitation universelle v. 38-39), à l’histoire (avec

physique de la servante : son visage et ses mains. Ces deux éléments signalent, à leur tour, l’importance du travail et l’usure de la servante. Ainsi pour évoquer son visage, le narrateur emploie la comparaison : « plus plissé de rides qu’une pomme de reinette flétrie » l.4-5 (2 adjectifs : « plissé » / « flétrie » + substantif « rides » + comparatif de supériorité). Les mains, outil de travail, sont le seul élément physique à émerger des vêtements. Longues, les mains se singularisent par leur aspect

ses pauvres vêtements . Un peintre n'aurait qu'à suivre à la lettre ces brèves indications : il y trouverait jusqu'aux dimensions et aux couleurs . ses mains ; Le visage est maigre, plus plissé de rides qu'une pomme de reinette flétrie . → compare ce visage à une pomme de reinette On voit quelle scrupuleuse exactitude Flaubert apporte dans les moindres détails . Pour expliquer l'aspect sale de ces mains → rappelle quelques-uns des pénibles et rebutants travaux de la ferme ; et il use de termes à

INFO : +++ http://www.docstoc.com/docs/3890234/Les-naufrag%C3%A9s-de-DECLERCK-fich%C3%A9-par-Claire Labyrinthe Haut du formulaire 13 | 2002 : Numéro 13 Livres en note Patrick Declerck, Les Naufragés : avec les clochards de Paris**, Paris, collection « Terre Humaine », Plon, 2001 Vincent Denis p. 145-150 Texte intégral 1Alors que se closent les campagnes électorales de 2002, et que s’élaborent dans les officines ministérielles les réformes qu’appelle le vote du 21 avril

possibilité de donner un sens à quelque chose permet de supporter presque tout, et que l’absence de sens conduit à la maladie», rappelle Serge Marquis, qui a écrit une fable sur ce thème dans son livre Bienvenue parmi les humains. La Truite et le Clochard raconte l’histoire d’un sans-abri rejeté par tous, y compris par ... les poubelles. Devant cet échec, le malheureux doit faire un choix: pleurer sur son triste sort ou travailler à sa propre réalisation. Il décide de se consacrer à la dépollution

Un jour, plein de neige, en me promenant sur Amiens, un Clochard vient me demander gentillement si je pouvais lui donner quelque chose pour manger. Je décide de l’inviter dans un petit café et de lui payer un petit repas pour le réchauffer. Tout en mangeant, je lui pose plein de petites choses sur sa vie car je pense que cela ne doit pas être facile de vivre dans la rue. Hésitant et me trouvant curieuse mais content de manger un bon plat chaud, il préfère me raconter comment il a sauvé une vie