Reinette Clochard

Les produits capillaires : Gamme de soins pour cheveux normaux, fins, secs, gras, terne… * Les Parfums : Eau de cologne, eau de toilette, eau de parfum, gel douche, deodorants… Sans oublier … * Les Enfants : avec la gamme « pomme de reinette » et « pomme d’api » * Les Hommes : avec la gamme de produits de soins « Ginseng actif » et des parfums Mais aussi des prestations de services : Soins Visage, Soins Corps, Epilation, Beauté des mains, Beauté des pieds, Maquillage… Les

- c] Maintenant le visage et ses mains . Le visage est maigre, plus plissé de rides qu'une pomme de reinette flétrie . Ce n'est pas au hasard, sans doute, que Flaubert compare ce visage à une pomme de reinette ; le mot pomme, sans aucune détermination, pouvait évoquer un visage coloré, brillant ; mais la reinette est grise, ou jaunâtre et tachetée ; et, de plus, la peau de la reinette conservée se ride d'une infinité de petits plis . On voit quelle scrupuleuse exactitude Flaubert apporte dans

d’une plaie positivement ou négativement sa localisation et le type de plaie. Certaines odeurs sont caractéristiques de pathologie et peuvent permettre de poser un diagnostic comme l’haleine d’un diabétique en coma acidocétosique sent la pomme de reinette, une personne atteinte de la fièvre jaune sent l’étal de boucher, ou encore le scorbut, la variole pourrait faire penser à l’odeur de pourriture. De plus il n’y a pas que le patient qui émet des odeurs, il y a l’infirmière également par la sueur

Elle avait aux pieds de grosses galoches de   bois, et, le long des hanches, un grand tablier bleu. Son visage maigre, entouré d’un béguin (sorte de coiffe qui s'attachait sous le menton)  sans bordure, était plus plissé de rides qu’une pomme de reinette flétrie, et des manches de sa camisole rouge dépassaient de longues mains à articulations noueuses. La poussière des granges, la potasse des lessives et le suint des laines les avaient si bien encroûtées, éraillées, durcies, qu’elles semblaient sales

lisant le texte : « Elle avait aux pied de grosses galoches de bois, et, le long des hanches, un grand tablier bleu. » Ainsi que la description de son visage: « Son visage maigre, entouré d'un béguin sans bordure, était plus plissé qu'une pomme de reinette flétrie.. » Il compare son visage à une pomme flétrie par le temps. Cela montre une nouvelle fois la vieillesse de cette femme. Nous pouvons aussi constaté que toute ces années de travail sont incrustées dans les manches de sa camisole: « La poussière

paraissait se ratatiner dans ses pauvres vêtements. Elle avait aux pieds de grosses galoches de bois, et, le long des hanches, un grand tablier bleu. Son visage maigre, entouré d’un béguin sans bordure, était plus plissé de rides qu’une pomme de reinette flétrie, et des manches de sa camisole rouge dépassaient deux longues mains, à articulations noueuses. La poussière des granges, la potasse des lessives et le suint des laines les avaient si bien encroûtées, éraillées, durcies, qu’elles semblaient

Découvrir l’autre par la géographie de son corps, c’est le ressentir au travers de sa propre peau. Le re-sentir fait naître les images d’une mémoire olfactive que de nombreux soignants n’oublieront jamais : odeurs acres et amères, odeur “pomme de reinette” de l’haleine acétonique, odeur de vie du nourrisson, odeur de mort, odeur de selles… “Faire” une toilette c’est choisir de rester du côté de la création, de la vie, de l’espoir. On lave pour l’autre, pour qu’il sente bon, pour qu’il soit prêt à

cidre, donne un bon cidre sec, mais fleurit tôt. Sensible en année humide à la tavelure, très sensible à l’oïdium, assez réceptive sur fleurs au feu bactérien Fiche variétale – Pomme à couteau – Reinette de Caux Reinette de Caux   Synonymes : Grosse reinette rouge piquetée (1807), Grosse reinette de Cassel, Mignonne de Hollande Origine : Née chez les Hollandais (1771)   Fruit :   Epoque de maturité : Octobre Calibre : Assez gros à gros (60 à 70 mm de largeur, 50 à 60 mm de hauteur) Forme

XIXe siècle. Kerouac deviendra l'un des principaux écrivains de la «Beat Generation» avec William Burroughs et Allen Ginsberg qu’il connaît entre 1943-1944 avec qui il partage l’anticonformisme inspiré par Rimbaud et Nietzsche. Ses romans (Les clochards célestes, 1958 ; Le vagabond solitaire, 1960 ; Big Sur, 1962) évoquent ses voyages à travers les États-Unis et sa critique du mode de vie américain. Il se laissera emmener par l’alcool, la drogue, la spiritualité (bouddhisme) et les voyages. Kerouac

bombardé contre son gré porte-parole de la Beat Generation. Sa découverte du bouddhisme en 1954 influence considérablement un autre roman largement autobiographique contant ses aventures avec les poètes de San Francisco, The Dharma Bums (Les Clochards célestes). Le succès de Sur la route le met très mal à l'aise. Il s'éloigne de Ginsberg, à qui il reproche de trop chercher à se mettre en avant et de trahir ainsi l'esprit Beat. Le développement de la mode bouddhiste, dont il a pourtant été un des