Relation Denise Mouret

Émile Zola, sa femme et ses deux enfants hors mariage. En 1886, il se brouille avec Paul Cézanne qui se reconnait dans le personnage principal de « L'Œuvre » (publié la même année) qui est un peintre raté. En 1891, sa fille Denise nait d’une liaison avec la lingère de sa femme. Elle sera suivit par son frère Jacques né en 1891. Zola est nommé président de la Société des Gens de Lettres en 1892. En 1897, suite au procès du Capitaine Dreyfus en 1894, il commence à prendre

profitable. Juillet arrive et Denise commence à prendre peur : c'est la morte-saison d'été, l'époque des renvois. Bourdoncle, l'adjoint tyrannique de Mouret, renvoie pour un rien, de plus il n'apprécie pas trop Denise, qui pense que si quelqu'un doit être licencié dans son comptoir, ce sera elle. En réalité, Bourdoncle ne fait qu'exécuter les ordres de Mouret : celui-ci veut conserver son image de patron paternel, tout en continuant à virer pour économiser. Denise est alors obligée, à cause des

documents papiers ou sur des sites web. 1. Documentez-vous sur les livres écrits par Zola : qui appelle-t-on les Rougon-Macquart ? 2. Combien de livres Zola a-t-il écrit sur cette famille ? 3. Quel est le lien entre Octave Mouret et cette famille ? Octave Mouret apparaît-il dans d'autres romans ? Lesquels ? Quelle partie de sa vie y est racontée ? Sites à consulter : - Généalogie des personnages des Rougon-Macquart sur le site de la BnF Adresse : http://expositions.bnf.fr/brouillons/ecrivains/index

ans. Denise Baudu, décida de quitter son poste de vendeuse en Normandie afin de s’installer à Paris et de travailler dans la boutique de son oncle. Malheureusement, ayant une activité en baisse, cette boutique ne peut se permettre d’embaucher Denise et postula donc pour le grand magasin « Au Bonheur des Dames » afin de vivre son rêve. C’est en Octobre 1864, à 07h30 précise que Denise attend Octave Mouret, le patron. Ce dernier va l’engager et une relation nait entre ces deux personnages. Denise a du

crise sociale dans Paris, dépeinte par l’auteur dans l’arrondissement précis où se déroule l’intrigue. Dans la suite des Rougon-Macquart, Emile Zola s’inspira d’Aristide Boucicaut, patron du grand magasin Le Bon Marché pour son personnage d’Octave Mouret pour son ambition et ses innovations qu’il apporta dans le haut commerce des nouveautés. Et ce fut de même pour le magasin Au Bonheur des Dames, inspiré de plusieurs grands magasins de l’époque que ce soit dans l’architecture du bâtiment ou dans la

telle qu’elle est, même si elle est déplaisante. | « Denise, dont les vingt-cinq francs d’appointements fixes étaient chaque mois dévorés par les enfants, n’avait pu que rafraîchir sa vieille robe de laine noire, en la garnissant de biais de popeline à petits carreaux ; et elle s’était fait elle-même un chapeau, avec une forme de capote recouverte de soie et ornée d’un ruban bleu » (P. 169) D’après cet extrait, Denise, n’a que très peu d’argent comme la plupart des gens à l’époque

Au Bonheur Des Dames Denise est une jeune femme originaire de Normandie d'une vingtaine d'années. Après de la mort de ses parents, elle va à Paris avec ses deux frères. Elle reste subjuguée par grand magasin qui s‘appelle « Au Bonheur des Dames », mais elle va chez son oncle Baudu qui tient un petit magasin de tissus en concurrence avec le grand magasin citée plut haut. Elle parvient tout de même a obtenir un emploi dans le magasin qu’elle admire tant, mais elle subit les moqueries de ses

récit de Denise Baudu, une jeune normande de 20 ans, qui, découvre Paris après avoir décidé de s’y installer avec ses frères pour y travailler. Sur place, ne pouvant travailler pour son oncle, elle se fait embaucher Au Bonheur des Dames, l’un des grands magasins de la place. Une fois dans ce milieu qui la fascine tant, elle découvre les réalités de l’emploi et assiste au développement du magasin. Cependant, malgré toute humiliation reçue dans ce milieu, Denise attire l’attention d’Octave Mouret, directeur

Un récit réaliste Tout d'abord le naturalisme prolonge le réalisme, il cherche donc à produire l'illusion du vrai. On constate la présence d'un cadre spatio-temporel réaliste qui nous indique dès le début du roman où se déroule l'histoire : ''Denise était venue à pied de la gare Saint-Lazare'', donc plus précisément au centre de Paris et aux alentours de la ''rue de la Michodière''. En effet tout ces lieux sont liés à la réalité, comme l'indique l'évocation de la ville de ''Paris'' dans les premières

d’être documentaire et expérimental, de constater les phénomènes et d’en vérifier les mécanismes”. Dans le Bonheur des Dames (1883), Zola se penche sur l’univers du grand commerce en pleine mutation sous le Second Empire à travers la réussite d’Octave Mouret, devenu l’un des inventeurs du commerce moderne. Nous allons examiner en quoi le tableau qu’il dresse est sans conteste un véritable documentaire et une étude sociologue poussée de l’univers des grands magasins et d’une socitété en pleine évolution