Relation Epargne Investissement Chez Les Classiques Et Chez Keynes

ensemble. C’est l’objet de la théorie macroéconomique qui a pour objectif l’étude des comportements des groupes d’agents (plutôt que les comportements individuels), l’étude des interactions entre ces groupes sur les marchés nationaux et l’étude des relations que ces groupes entretiennent avec le reste du monde. Ces deux approches se distinguent ainsi dans les centres d'intérêt (collectifs ou individuels), dans les variables utilisées et dans la façon de représenter les interdépendances entre ces variables

3.2 LA DEMANDE D’ENCAISSES MONETAIRES................................................................................................... 53 3.2.1 La monnaie est neutre pour les auteurs « classiques » ................................................................. 53 3.2.2 La monnaie est « active » pour Keynes ......................................................................................... 54 3.2.3 Friedman et la vision monétariste ......................................................

La part est un nombre qui mesure l’importance ou le poids d’une grandeur dans un ensemble donné. P = Sous EnsembleEnsemble*100 REMARQUES -La part est toujours exprimée en pourcentage ; -la somme des parts est toujours égale à 100. V-RELATIONS MATHEMATIQUES ENTRE CERTAINS INSTRUMENTS D’ANALYSE STATISTIQUE T = I-100 alors T = (m-1)100 donc m = T100+1 T = (m-1)100 => T = 100m-100 => 100m = T+100 => m = T+100100 => m = T100+100100 m = T100+1 I = m+100 ; I = T+100 EXERCICE

l’Europe. Les grands foyers d’émigrations sont les îles britanniques (ex : Irlande), l’Allemagne, l’Autriche-Hongrie, l’Italie ... Essentiellement pour cause de famines ou de guerres. Les pays d’immigrations sont les USA, la France. B - Les relations monétaires internationales 1 . Le bloc monétaire des économies dominantes • le système monétaire : le bi-métallisme : Les mécanismes : Avant la première WW, toutes les monnaies étaient déterminées par l’or et l’argent (pouvoir libératoire illimité

se définir comme un ensemble d’institutions et de mécanismes permettant de mettre en relation des agents à capacités de financement avec des agents à besoins de financement, selon le schéma suivant : En France, on constate généralement que les ménages sont structurellement en capacité de financement, et que les entreprises et les administrations sont structurellement en besoin de financement. La mise en relation entre offreurs et demandeurs de capitaux peut s’effectuer schématiquement de deux manières :

de marcher c’est le marché (= ORTHODOXIE LIBERALE). - L’Etat, les pouvoirs publics (développé par Keynes). Le marché ne peut pas fonctionner sans l’intervention des pouvoirs publics (période de crise, période ordinaire) (= KEYNESIANISME ET POLITIQUES ECONOMIQUES). - La société civile (= APPROCHES CRITIQUES). Tout ce qui ne relève pas des marchands, services publics (association, relation proximité avec les coopératives.). 1. Aux origines de la pensée économique 1

John Maynard Keynes. a) La fonction de consommation keynésienne : le revenu courant Chez Keynes la consommation des ménages s’explique essentiellement par le revenu disponible courant. Il base son analyse sur ce qu’il appelle la loi psychologique fondamentale selon laquelle : en moyenne et la plupart du temps, les hommes tendent à accroître leur consommation à mesure que le revenu croît, mais non d’une quantité aussi grande que l’accroissement du revenu. Ainsi, selon Keynes la consommation

s’apercevoir des avantages que produit le commerce. Les véritables richesses sont les biens produits et non pas les stocks monétaires. La monnaie va jouer un rôle secondaire à partir de là, et la transition entre les mercantilistes et l’école classique est faite par les mercantilistes tardifs. 4. Les critiques des mercantilistes tardifs Premiers auteurs à vouloir créer une pensée économique indépendante. Pensée économique quantitative : mesurer une réalité. Le rôle de la monnaie va s’estomper

L’inflation est un phénomène majeur du 20èm siècle, elle apparaît même comme une rupture brutale après un siècle de sagesse monétaire. Or, La relation entre l'inflation et la croissance économique est longtemps demeurée l'objet de nombreuses controverses entre les différents courants de pensée économique. Si la croissance et l’inflation entretiennent des relations étroites, les économistes insistent sur le fait que l’inflation serait le reflet d’un déséquilibre économique. Ce papier propose donc

de la production échangée (P, prix et T, transactions). Ces deux expressions sont nécessairement égales a posteriori. Les tenants de cette théorie présupposent que V et T sont constants à court terme, donc si M augmente, P augmente. Pour que cette relation soit vraie, il faut que certaines conditions soient réalisées : Que l’économie soit au plein-emploi des facteurs de production, sinon si M augmente, la production pourra augmenter pour satisfaire la demande supplémentaire Que les agents économiques