Relation Epargne Investissement Chez Les Classiques Et Chez Keynes

2) les échanges de services ; 3) les revenus des facteurs de production : au crédit (tout ce que le pays « vend » au reste du monde) = rendement des investissements français à l’étranger + rémunération des travailleurs français en mission à l’étranger / au débit (tout ce que le pays « achète » au reste du monde) = rendement des investissements étrangers en France + rémunération des travailleurs étrangers en mission en France) ; 4) les transferts courants : contributions au budget européen et

Chapitre 2 Les théories traditionnelles du développement économique 1- Développement = retard de croissance • Rôle central de l’accumulation du capital. Idée que le sous-développement est une sous-accumulation : épargne insuffisante (Harrod-Domard) ou un simple retard dans la croissance (Rostow). 2 1 Définitions 1 • La croissance économique d’un pays est la hausse de long terme de sa capacité d’offrir à sa population une gamme sans cesse élargie de biens économiques (S. Kuznets, prix

ensemble. C’est l’objet de la théorie macroéconomique qui a pour objectif l’étude des comportements des groupes d’agents (plutôt que les comportements individuels), l’étude des interactions entre ces groupes sur les marchés nationaux et l’étude des relations que ces groupes entretiennent avec le reste du monde. Ces deux approches se distinguent ainsi dans les centres d'intérêt (collectifs ou individuels), dans les variables utilisées et dans la façon de représenter les interdépendances entre ces variables

ÉCONOMIQUES L’État est une entité, une abstraction, un ensemble d’institutions régies par un ensemble de codes avec une distinction des fonctions à contenu variable selon les époques et les coutumes locales. L’État a pour origine : Selon l’interprétation classique, il est né lorsque l’idée d’intérêt commun est apparue. Au-dessus de tous les intérêts particuliers on place ce qui relève du domaine de la collectivité (l’intérêt commun). Cette idée ne suffisait pas. Il fallait donc songer à un arbitre qui se place

stable va probablement s’inspirer de ce que le théoricien connaît de l’histoire monétaire. Une théorie sur les bienfaits du libre-échange va probablement s’inspirer de ce que l’on a constaté durant les périodes où les échanges ont été les plus libres. Keynes écrit une théorie générale entièrement inspirée par ce qu’il observe dans les économies industrialisées durant l’entre deux-guerres. • parce que les théories sont améliorées par une confrontation aux faits. Popper. Théories réfutables. On ne peut

37 37 37 39 39 4 Mongi Smaili. Cours d’économie monétaire. ISG Tunis. 2005-2006 I-4 Les limites de la création monétaire des banques II- Relation entre la masse monétaire et la base monétaire :le multiplicateur de la base monétaire III- La demande de monnaie III-1 La demande de monnaie chez les classiques III-2- La demande de monnaie chez Keynes III-3- La demande de monnaie basée sur la gestion des transactions : le modèle Baumol-Tobin Chapitre quatrième :Le financement de l’économie I- les

différents. « Posséder des unités de production » : doit posséder au moins 10% de capital social (part de propriété de l’entreprise). Taux directeur : taux de refinancement des banques auprès de la banque centrale. Cinq économistes: Schumpeter, Keynes, Ricardo, Friedman, Karl Marx, Smith. Place mondiale de la Chine en termes de PIB : 2ème place (5000 milliards de dollars) (USA 1er) Montant approximatif du déficit français : (définition : différence entre dépense et recette des administrations

....................................................................................19 3.2. La théorie de la monnaie active........................................................................................20 3.2.1. Monnaie et crise : une relation empirique établie......................................................20 3.2.2. L'approche keynésienne de la monnaie.....................................................................21 3.3. Les approches contemporaines.....................

37 37 37 39 39 4 Mongi Smaili. Cours d’économie monétaire. ISG Tunis. 2005-2006 I-4 Les limites de la création monétaire des banques II- Relation entre la masse monétaire et la base monétaire :le multiplicateur de la base monétaire III- La demande de monnaie III-1 La demande de monnaie chez les classiques III-2- La demande de monnaie chez Keynes III-3- La demande de monnaie basée sur la gestion des transactions : le modèle Baumol-Tobin Chapitre quatrième :Le financement de l’économie I- les

la pertinence de ces théories en les confrontant au réel. En premier lieu, l’économiste identifie les acteurs qui vont constituer les éléments de référence sur lesquels il va développer ses théories. Ensuite, il établit des lois, c’est-à-dire des relations mathématiques fonctionnelles entre les quantités caractéristiques retenues. Enfin, il procède à une vérification expérimentale de ces lois. Cette vérification ne peut se faire comme en physique par la reproduction et la répétition de l’événement