Relation Maître Valet Tragédie

ses études secondaires au collège de Clermont, chez les jésuites avant d’aller étudier le droit à Orléans. En 1643, il créé une troupe appelée L’Illustre Théâtre qui s’installe au « jeu de paume ». Son répertoire est constitué majoritairement de tragédies et de tragi-comédies. Mais les dettes à répétition entrainent l’emprisonnement de Molière en 1645 et la fin de la troupe. Il s’installe ensuite en province pendant 13 ans et s’intègre à la « troupe de Dufresne ». Il ne revient à Paris qu’en 1658

marchand parisiens, une famille bourgeoise. Il est le fils de Marie Cressé et Jean Poquelin. Son grand père et son père étaient tapissiers. Jean Poquelin, père de Molière, tenait une boutique de tapissier, il a la charge prestigieuse de « tapissier valet de chambre du Roi ». Il fourniteur officiel de la cour. Il aura trois frères et deux sœurs. A l'âge de 10 ans, en 1632, sa mère décède. Son père décide donc de se remarier, à Catherine Fleurette, qui elle mourra en 1636, Jean Poquelin ne se remariera

PHEDRE de J. Racine Séquence prof Objet d’étude : La tragédie et la comédie au XVIIe : le classicisme Magnard p 127, 136, 138 Perspectives : - faire connaître les caractéristiques du genre théâtral et les effets propres au tragique ou au comique.  - faire percevoir les grands traits de l'esthétique classique  - donner des repères dans l'histoire du genre. Textes étudiés : Phèdre OI : -ActeI, sc1 - ActeI, sc3 - II, 5 «PHÈDRE, à Œnone, dans le fond du théâtre. - Etude comparative ACTEIII, sc2 et 6 -

rôles Ruy Blas Don Salluste de Bazan : Don César de Bazan Don Guritan : Doña Maria de Neubourg M. Frédérick Lemaître M. Alexandre Mauzin M. Saint-Firmin M. Féréol Mlle Louise Beaudouin Le genre : drame historique, genre intermédiaire entre la tragédie et la comédie et qui ne craint pas de mélanger les deux registres. Le contexte : Victor Hugo écrit du 5 juillet au 11 août 1838 un drame en vers spécialement pour l’inauguration du Théâtre de la Renaissance qu’il vient de fonder (et dont le directeur

de plan pour le commentaire littéraire : I - Une tonalité solennelle :  familiarité Interjection initiale, pluriel de majesté. Rythme, jeux de sonorités, figures. Gravité du propos : thème…  essentielle, sens clair II - Une nouvelle relation Dieu/Homme : Un Dieu créateur : périphrase (ex : Architecte Suprême) et « organisateur » de l’univers, qui en fait les lois (l.5) Qui traite l’homme presque comme son égal. Passage du « nous » au « je », puis prédominance du « tu ». + de «

attendant Godot de Samuel Beckett, la vraisemblance est abolie, illustrant la crise de la civilisation occidentale qui suit la deuxième guerre mondiale. On ne peut y discerner aucune unité de temps, de lieu, les personnages sont écorchés, et les relations qui les unissent sont placées sous le signe du conflit et de l’annulation. Il y a donc une relativisation de la classification par genre qui prédétermine les œuvres littéraires. De manière plus radicale encore, certains écrits remettent en question

début de sa carrière. Cette pièce est à la rencontre de plusieurs genres théâtraux puisque Corneille l’annonce lui même dans le prologue : « le premier acte n’est qu’un prologue, les trois suivants font une comédie imparfaite, le dernier est une tragédie, et tout cela cousu ensemble fait une comédie ». En réalité, cette pièce relève plus de la tragi-comédie et elle pose la question fondamentale du théâtre : le théâtre est il illusion ? Acte I scène 1 Cette scène est une scène d’exposition :

Louis XIV) ◦ Comédie = genre dramatique visant à faire rire (pour mieux corriger les vices). Intrigue : amour contrarié. Personnages bourgeois, petite noblesse, valets et servantes. Dénouement heureux. Lieux ordinaires et domestiques. Époque contemporaine du public. Style bas ou moyen (souvent prose). Opposée à la tragédie. ◦ Influences commedia dell'arte : né au XVI en Italie / Canevas sur lequel les personnages improvisent des dialogues et accomplissent des lazzis (plaisanterie burlesque

XIV) ◦ Comédie = genre dramatique visant à faire rire (pour mieux corriger les vices). Intrigue : amour contrarié. Personnages bourgeois, petite noblesse, valets et servantes. Dénouement heureux. Lieux ordinaires et domestiques. Époque contemporaine du public. Style bas ou moyen (souvent prose). Opposée à la tragédie. ◦ Influences commedia dell'arte : né au XVI en Italie / Canevas sur lequel les personnages improvisent des dialogues et accomplissent des lazzis (plaisanterie burlesque

types procédés comiques : comique de gestes (gestes exagérés de civilités/politesses, installation et désinstallation du siège par les valets, sortie du personnage) ; comique de situation (l’incapacité à réclamer son dû, l’inversion des rôles - le créancier payé de belles paroles, le créditeur qui devient débiteur ; le jeu final de Sganarelle, imitant son maître) ; comique de caractère (personnage stéréotypé du bourgeois créancier : vulgarité - réclamer de l’argent, confusion, naïveté, vanité -