Relation Merteuil Cécile

C’est dans la seconde lettre des Liaisons dangereuses que la Marquise de Merteuil fait sa première apparition dans le roman – lettre assez brève, en comparaison de certaines autres, mais d’une longueur suffisante pour qu’à l’intérieur de celle-ci la Marquise nous livre déjà une palette à peu près complète de ses nombreux talents et défauts. La place même de cette lettre est symbolique : située juste derrière celle que Cécile Volanges adresse à Sophie Carnay, son amie de pension, elle nous suggère

Texte 4 : Les liaisons dangereuses, lettre 141 ; du début à « adieu tout simplement... » La Marquise de Merteuil au Vicomte de Valmont. ___Mon Dieu ! Vicomte, que vous me gênez par votre obstination ! Que vous importe mon silence ? croyez-vous, si je le garde, que ce soit faute de raisons pour me défendre. Ah ! plût à Dieu ! Mais non, c'est seulement qu'il m'en coûte de vous les dire. ___Parlez-moi vrai ; vous faites-vous illusion à vous-même, ou cherchez-vous à me tromper ? la différence

littéraire. Le roman s'ouvre sur une lettre de la jeune Cécile de Volanges, qui va sortir du couvent pour être mariée par sa mère, Mme de Volanges, à un certain Gercourt. Or Mme de Merteuil, parente de Mme de Volanges, apprenant ce projet de mariage, décide de se venger de Gercourt, ancien amant qui l'a quittée pour une autre femme. Pour cela, elle propose à son ami et ancien amant, le Vicomte de Valmont, de pervertir la jeune Cécile afin de ruiner le mariage de Gercourt. Mais Valmont refuse l'offre

 Laclos : Les Liaisons Dangereuses Première Lettre Cécile Volanges à Sophie Carnay, aux Ursulines de. . . . . Tu vois, ma bonne amie, que je te tiens parole, & que les bonnets & les pompons ne prennent pas tout mon temps ; il m’en restera toujours pour toi. J’ai pourtant vu plus de parures dans cette seule journée que dans les quatre ans que nous avons passés ensemble, & je crois que la superbe Tanville[1] aura plus de chagrin à ma première visite, où je compte bien la demander, qu’elle n’a

de l’amour de Valmont envers Mme de Tourvel, deuxièmement des effets produits sur Mme de Merteuil et finalement de la chute des deux libertins. Valmont, le grand libertin, veut pouvoir accrocher une nouvelle victime qui viendrait couronner son tableau de chasse, une proie différente des autres, plus difficile à conquérir et qui le ferait prendre la tête dans la petite compétition tenue avec Mme de Merteuil, cette proie n’est nul autre que Mme de de Tourvel. Une femme paraissant heureuse avec son

La Marquise de Merteuil __ _1- importance de la marquise dans la structure du roman_ __ a) donne les caractéristiques des autres personnages _Gercourt est un « sot » => cocu et idiot, aime les blondes prudes « en faveur de la retenue des blondes » lettre 2_ _Cécile n'est jamais appelée par son nom « bouton de rose » « gauche »...on sait qu'elle est blonde_ « être enfant comme vous l'êtes »_ 105_ _« belle dévote » _20 _prévan « il est joli au moins

peintre et sa création ? Note : Remarques : ------------------------------------------------------------------------------------- Laclos : Les liaisons dangereuses. Chevalier Anaïs Question : à travers l’étude du sort de Madame de Merteuil, dites ce que Laclos a voulu démontrer ? Note : Remarques : ___________________________________________________________ Cierzniak Julien Chateaubriand : Mémoires d’Outre-tombe. Question Note : Remarque : -------------

de Laclos publié en 1782. La marquise de Merteuil est un vrai piège à homme. Elle abuse de sa beauté et de son pouvoir de séduction afin de séduire de plus en plus d’hommes et de pouvoir les manipuler à sa guise tout préservant son honneur sous des apparences de vertu, elle devient alors la confidente de ses propres victimes. Ici elle piège Valmont qui aimerait retrouver la relation qu‘il avait avec elle et la condition à cela est séduire la jeune Cécile de Volange afin d‘assouvir ça vengeance.

liaisons dangereuses. Le premier titre est en effet plus réducteur car « danger » est au singulier, au pluriel, l’expression « Liaisons dangereuses » suscite une curiosité plus grande. Les liaisons concernent les relations sociales sens le plus courant au XVIIIème siècle mais aussi les relations amicales et amoureuses. 3) L’avertissement au lecteur L’avertissement au lecteur fournit une véritable clé de lecture de l’œuvre. Son avertissement se présente sous la forme d’un appel à l’attention mais

un rôle très important, alors que dans Les Liaisons dangereuses, il y a la Marquise de Merteuil. C’est une femme qui joue un rôle de Don Juan au féminin et qui s’assume très bien tout en faisant attention à l’image qu’elle dégage envers les autres. Même mariée, elle trompait son mari et n’a aucune gêne à dire à Valmont qu’elle était même contente qu’il soit mort, “[...], je n’eus pas à me plaindre de Merteuil, et à l’instant même où je commençais à le trouver ennuyeux, il eut l’extrême délicatesse