Relation Père Fils

avoir des relations entre eux. Tous les jours, nous nous heurtons aux autres. Parfois, nous avons même du mal à exister sans eux. Nous déterminons d'une certaine façon notre conduite en tenant compte de la leur. Pour satisfaire ses propres besoins, chaque individu veut s'imposer au détriment d'autrui. Il y aura donc des rivalités, des désaccords. L'homme établit des rapports avec ses semblables. Ces liens peuvent être à l'origine de conflits mais Le conflit est il au fondement de nos relations avec autrui

s'apprivoiser, se lier d'amitié, puis d'amour. Léa vient de perdre sa mère, elle sort d'une tentative de suicide, et doit apprendre à vivre, loin de ses repères, avec un père apiculteur jusque-là totalement absent. Léo a décidé de ne pas la lâcher. Il écrit, il insiste, et finalement Léa commence à s'ouvrir un peu, à dénouer tous les fils emmêlés du chagrin, de la révolte, du deuil. Cette première partie du livre est vraiment réussie, sensible, et sonne juste. Ensuite, les choses se gâtent un peu, et

chapitre 1 I-Définition des concepts de classe sociale, de statut social et de status social Il n’y a pas de société sans ordre social. La société différencie les individus et hiérarchise les fonctions à notion de classe sociale. Il existe une relation puissante entre l’origine sociale et la position sociale atteinte à l’âge adulte à action de la famille s’exerce sur l’itinéraire des enfants et des petits-enfants. 1-Classe sociale Une classe sociale est un type de groupement fondé sur un

L'AMANT Il est difficile de trouver des ressemblances entre les deux situations familiales décrites dans L’Amant et Le Ventre de l’Atlantique, si ce n’est que les deux narratrices n’ont toutes deux pas connu leur père. D’un côté, Marguerite Duras nous laisse à voir une famille totalement dysfonctionnelle où chacun semble presque un étranger pour l’autre : la mère est emmurée dans sa dépression, les frères sont distants et égoïstes (en particulier l’aîné), la narratrice cherche dans la liaison

 Aujourd’hui, les pères exercent une certaine autorité sur leurs fils, mais celle-ci n’est pas aussi importante qu’au XVIIe siècle. À cette époque, les pères décidaient qui leurs enfants allaient épouser et ils pouvaient même les faires emprisonner si ces derniers refusaient où simplement s’ils désobéissaient à leurs commandes. Molière trouvait cette tyrannie ridicule et il ne se privait pas de le montrer dans ses pièces. L’intérêt de la population, de la cour et même celle du roi pour ses pièces

titre « La Civilisation, ma Mère !... » : Le titre de cette œuvre est énigmatique car on sait d'emblée que le personnage principal du roman n'est pas l'auteur mais sa mère et on commence à se poser des questions sur ce personnage et surtout sur sa relation avec la civilisation. Le titre présente les deux thèmes principaux de l’histoire. La ponctuation dans ce titre est assez évocatrice : les majuscules des mots civilisation et mère qui les transforment en nom commun montrent que ce sont deux thèmes

musulman de la Rue Bleue où il habite. Abandonné par sa mère dès son plus jeune âge, puis par son père à l’adolescence, il acquiert, grâce à M. Ibrahim et à son Coran, les valeurs sociales et morales qui lui manquaient pour devenir adulte. Au cours d’un voyage initiatique en Turquie, le pays de M. Ibrahim, Moïse découvre la spiritualité et le bonheur. Après la mort de M. Ibrahim, devenu son père adoptif, il hérite de l’épicerie parisienne (il devient à son tour « l’arabe du coin ») et coule une

démocratiques est un systeme meritocratique, c’est a dire que les fonctions devraient être également accessibles à tous compte tenu du mérite de chacun. Pourtant la société actuelle voit une certaine reproduction sociale comme le dit l’expression “tel père, tel fils”, idée qui va donc a l’encontre des valeurs républicaine enseigné dès notre plus jeunes age. B,Dans nos sociétés démocratiques, quelle que soit l’origine sociale des individus, les fonctions devraient être également accessibles à tous compte

Tuer le père: Amélie Nothomb 1) Le genre : C'est une nouvelle sous forme de roman. Elle est présentée comme un témoignage, mais en vérité c'est une nouvelle d'aventure de la vie et des relations sociales entre un père et un fils. 2) Le style : Le vocabulaire est plutôt simple, très facile à comprendre. Les phrases sont très courte ce qui donne un aspect assez rapide à l'histoire. Les chapitres sont très courts eux aussi, et le livre est lui-même rapidement lu. Les pensées des personnages

signifie qu’il est prêt à être utilisé. Analyse du film Durant le film on apprend que le père du petit Pavel, le petit garçon qui meurt à la fin, était un catholique pratiquant, mais qu’il a commencé à mettre sa foi dans la science et les technologies. Il a donc commencé à ne plus croire en Dieu, mais plutôt à se rattacher au rationnel : la science. Il apprenait à son fils, Pavel, toutes ses idéologies, donc le fils ne croyait pas vraiment à Dieu aussi. Jusqu’au jour où il a trouvé un chien qu’il avait