Relativisme Philosophie

TOUT EST RELATIF I. Examen critique de la possibilité d’un relativisme intégral 1) L’interprétation platonicienne du relativisme de Protagoras • « l’homme est la mesure de toute chose » Protagoras semble soutenir le relativisme intégral. • Platon l’interprète comme un relativisme individuel. La réalité est connue en fonction d’un acte individuel. Sorte de phénoménisme (les choses se réduisent à la manière dont elles m’apparaissent). • Intenable ! une telle formule n’a pas de sens si elle

propres opinions (par exemple en politique). Il n'existerait donc pas une vérité absolue et universelle, mais seulement un nombre indéfini des sensibilités et des opinions particulières. Ensuite, les sophistes notamment Gorgias utilise le concept du relativisme c’est-à-dire qu’il est impossible d’atteindre une vérité absolue. Il n’y a de vérité que relative à des conditions particulières. On peut donc dire que toutes les opinions se valent. III) Objection Certaines opinions n’ont pas la même valeur

universel Cf. Héraclite b) la vérité change en permanence. Il s’ensuit qu’existe une multiplicité de vérités. c) Chacun perçoit la réalité en fonction de sa position subjective. Protagoras : « L’homme est la mesure de toutes choses » = relativisme Problème : peut-on encore parler de vérité si celle-ci change en fonction de notre appréhension subjective ? III- A quelle vérité avons-nous accès ? a) Problème de la contradiction des différents jugements prétendant énoncer le vrai.

parSilanion pour l'Académie vers 370 av. J.-C., Centrale Montemartini. Pour Platon, les sophistes ne sont pas un simple repoussoir, mais des adversaires sérieux dont les doctrines méritent d'être combattues. Socrate attaque les sophistes qui, par leur relativisme et leur nominalisme, sont les ennemis de l'idéalisme platonicien. Platon ne critique cependant que modérément les « grands » sophistes : les dialogues de Platon mettent en scène des joutes entre des disciples de ceux-ci et Socrate, qui en vient

l’objectivité de ce qui se présente comme étant la vérité ? 110 LA RAISON ET LE RÉEL PhilCor2004L,ES,S 26/08/03 18:04 Page 111 Introduction 1 Non, la vérité ne dépend pas de nous A - La vérité n’est pas l’opinion : réfutation du relativisme de Protagoras B - La vérité n’est pas la connaissance : un exemple dans l’histoire des sciences CORRIGÉ PLAN 2 Oui, la vérité dépend de nous A - La vérité dépend de la saisie d’une chose par l’intellect : une définition de la vérité

Le Sophiste selon Platon [modifier] Les reproches de Socrate (dans la bouche de Platon) ont attaqués les "sophistes" qui comme avec les idées de relativisme et de nominalisme étaient les "ennemis" de l'idéalisme Platonicien qui les déconsidère et les ridiculise [2] : • les sophistes font payer leurs leçons comme d'autres maîtres de technaï (sculpteurs, potiers, etc.), alors que la sagesse (sophia, voir plus haut) ne peut être ravalée au rang de technè et que la faire payer, c'est la corrompre.

nous de s'accorder sur le vra - la vérité n'est pas considéré comme un ensemble d'opinions mais comme une ressemblance ou une correspondance avec la réalité. Ainsi, Platon, contre Protagorat, insiste sur l'inconstence des opinions humaines. Le relativisme confond vérité et opinion. Cette dernière est dénoncé comme a priori douteuse, illusoir ou fausse et dangereuse quand elle cherche é s'imposer en dissimulant la faiblesse de ses fondements sous les apparences de la plus clair cetitude - Il faut

faites par les puissants, royauté héréditaire à vie…. - Critique de la torture : châtiment moral de la mort triste, faire prendre conscience du mal. - Critique du manque de relativisme de l’homme : relatif////absolu : tout est relatif, rien est absolu. Les hommes jugent tout avec leurs propres critères, ils manquent de relativisme. (l.11, l.12, l.13).Parodie de l’inversion : les sujets se plaignent au roi. b) Leçon de sagesse : - Forme d’idéal démocratique, peuple qui gouverne, c’est la raison

marquise • texte didactique dominé par le philosophe s’appuyant sur différents registres de sentiments (lyrique & épique) mais privilégie le questionnement • texte ouvert • refus du dogmatisme b- Leçon de relativisme par le philosophe ⇨ // entre les progrès techniques qui ont permis au XVIe, les grands voyages d’exploration + surprenante technique de l’Europe du XVI s/ les Indiens ⇨ Siècle des progrès techniques qui ouvrent la voie à des nouvelles

tradition et à la modernité qui peuvent être contradictoires[4]. Tradition et modernité désignent ici des mouvements historiques ; ce qui impose également de faire preuve d'un relativisme historique quand on souhaite traiter des problématiques liées à la drogue. Ce relativisme historique est aussi important que le relativisme culturel évoqué plus haut[4]. Les représentations collectives de la drogue Dans les années 1960 et notamment dans les sociétés occidentales, le terme drogue prend progressivement