Religion Greco Romaine

début des croisades. C’est surtout par l’Espagne que la culture arabe pénètre en occident et essentiellement donc par la Catalogne. C’est avant tout sur le christianisme que se fondait la civilisation de l’Europe médiévale, ancrée dans le passé gréco-latin, judéo-chrétien et « barbare ». Que l’on regarde vers Bysance ou vers Rome, la civilisation médiévale était d’abord une civilisation chrétienne. C’est dans le christianisme que s’est opéré la fusion de traditions intellectuelles et artistiques

« manifestent un engouement irrésistible pour les .chefs-d’œuvre littéraire de l’Antiquité gréco-romaine¹.» Ceux-ci font une combinaison de plusieurs livres anciens. On peut aussi observer, « L'humanisme au sens d'étude littéraire et philologique de la culture antique côtoie ce sens élargi pendant toute la période et encore aujourd'hui dans l'historiographie².» L’humanisme fait surtout appel à la religion pour améliorer ses progrès et « en sa confiance en l’Homme, qu’il pense libre, raisonnable et

ait occupé plus que lui la poésie et les arts plastiques : et quand le polythéisme gréco-romain se répandit sur l'Occident, il n'y en a pas qui se soit mieux prêté à une identification, toute abusive qu'elle ait été, avec les divinités des peuples celtiques (Ogmios) ou germaniques (Thor). Les Romains l'ont adopté parmi les personnages de leur propre littérature mythologique sous le nom d'Hercule (Religion romaine).  Les Grecs ont  cru retrouver leur Héraclès dans tous les pays qu'ils ont parcourus

nom donné au vaste mouvement culturel et artistique qu’a connu l’Europe du xve siècle à la fin du xvie siècle. QU’EST-CE QUE LA RENAISSANCE ? À partir de la fin du Moyen Âge, les hommes manifestent la volonté de renouer avec les valeurs grecques et romaines et de faire « renaître » l’Antiquité. Ils rejettent ainsi la période précédente, jugée « obscure » ; ils la baptisent d’ailleurs Moyen Âge, ou Âge intermédiaire (entre ce nouvel âge d’or et l’ancien âge d’or qu’est à leurs yeux l’Antiquité). COMMENT

Grèce et à Rome. L’Antiquité gréco-romaine nous a légué un patrimoine, mais surtout des concepts comme la politique, la démocratie, la république, … L’aire méditerranéenne nous a légué aussi une religion, héritière du judaïsme et à vocation universelle, le christianisme.Quel est l’héritage laissé à notre civilisation européenne par Athènes, Rome et la diffusion du christianisme dans l’Empire romain? Le monde grec et la colonisationComparez les deux cartes.L’Empire romain à son apogéeI. La démocratie

tirés de l'Antiquité, notamment des sociétés greco-latines. En effet, le régime politique de notre société contemporaine repose sur des principes qui en sont tirés. A partir du XVIIIe siècle, le siècle des Lumières, Rome est considérée comme un véritable modèle politique par les Révolutionnaires qui vont renverser le monarchie. Les valeurs de la république romaine sont l'exemple à suivre selon eux. D'après St Just, « Le monde est vide depuis les romains, et leur mémoire le remplit et prophétise la

décentralisation du pouvoir avec deux augustes et deux césars. L’empire étant devenu immense, pour moins de problèmes administratifs) en 293 par Dioclétien  ; et la fin en 476 ( chute de l’empire romain d’occident ). On peut donc prendre des repères mais c’est assez flou, les changements sont progressifs. De plus, dans les endroits où la romanité régnait, la population continuait à écrire en latin etc. Les poètes

d'un pays promis. Cette promesse est confirmée par Dieu à son fils Isaac et au fils de celui-ci, Jacob. Jacob recevra plus tard de Dieu le nom d'Israël, nom qu'il transmettra à sa descendance : le peuple Juif. . Les juifs fondent le judaïsme sur la religion abrahamique qui fleurira ensuite dans la Torah. Cette promesse est en fait une alliance, d'abord personnelle envers les « patriarches » puis générale envers tout le peuple : Dieu a choisi ce peuple d'entre tous les autres pour s'allier à lui, le

XXe siècle, l'égyptologie a élaboré de la religion d'Akhénaton une reconstruction qu'on est tenté, avec le recul, de juger coupable d'un excès de « romantisme ». Selon cette vision, Akhénaton aurait balayé le polythéisme hirsute de la religion égyptienne traditionnelle et sa « contre-religion » marquerait l'avènement du premier monothéisme de l'histoire de l'humanité, le culte du Seul, de l'Unique Aton. Sigmund Freud lui-même, dans L'homme Moïse et la religion monothéiste, salua en Akhénaton le maître

servent à leur diffusion, le monde divin auquel ils renvoient, les religions qui les sous-tendent. Le monde gréco-romain Les mythes grecs Tenter de cerner la religion grecque ne paraît pas difficile : statues ou vases nous ont familiarisés avec l’apparence des dieux, dont les noms, les actions et le caractère nous ont été transmis par la littérature. D’ailleurs, certains de leurs temples sont encore debout. Pourtant, cette religion ne possède pas de textes sacrés auxquels il soit possible de