Remords

faisait languir. Dans ce poème, l'auteur semble décrire la vie qu'il a menée ou imaginée. J’ai apprécié la description de cette vie qui parait idéale et tranquille, cependant, le contraste à la fin du poème évoquant de la souffrance m’a moins plu. Remords posthume Lorsque tu dormiras, ma belle ténébreuse, Au fond d'un monument construit en marbre noir, Et lorsque tu n'auras pour alcôve et manoir Qu'un caveau pluvieux et qu'une fosse creuse; Quand la pierre, opprimant ta poitrine peureuse Et tes

Je n’ai jamais sut sur quel pied dansé Prisonniers d’un sombre, douloureux passée Nos rêves passées noircis par les remords L’âme et le cœur en profond désaccords Les nombreux souvenirs sombrent Les profonds remords grondent Oublions les pour quelques secondes J’ouvre le bal de nébuleuses pensées Pour d’un revers de main les envoyer valser Une dernière danse pour s’en détacher Pour peu à peu les éradiquer Laissons nos larmes loin de la ronde Affichons notre bonheur aux yeux du monde

et se fait exploser dans un restaurant. D’ailleurs, en se détournant de Amine pour commettre cet acte terroriste, Sihem devient étrangère aux yeux de Amine. On verra ainsi que l’acte de sa femme provoque non seulement mystification mais aussi des remords pour Amine. Tout d’abord, il est juste de dire que Sihem devient étrangère aux yeux d’amine puisque Amine, mari de Sihem la kamikaze, qui a toujours refusé de prendre parti dans le conflit devient incrédule face à l’acte de sa femme car sa femme

aujourd’hui disparu (morte): on y retrouve les reproches qu’il s’adresse à lui-même lorsqu’’il pense à certains moments où il a put se montrer ingrat, indifférent voir même incompréhensif. Il représente le livre de tous fils regrettant sa mère et ayant des remords trop tardifs. Ainsi, Albert Cohen place sa mère et non lui-même au centre de son autobiographie tout en mêlant différent registre comme le lyrisme, l’élégiaque (plaintes, regrets), registre ironique et sarcastique (moquerie ironique et méchante) tous

ne parle pas de l’enterrement, sans qu’on sache pourquoi. Il conclut sa prestation par l’évocation du caractère non prémédité du crime (« une minute d’égarement »), ce qui l’amène à demander que la vie de M soit épargnée. Il met en évidence le « remords éternel » de ce dernier comme étant déjà un « châtiment » suffisant. Il essaie d’attirer la compassion, la bienveillance des jurés, de rendre M humain. Mais son discours est maladroit et stéréotypé. Les points faibles, voire le ridicule de ce

Que sont nos souvenirs? Que sont nos regrets, nos remords? Aujourd’hui, le microprocesseur est partout, alors tout s’explique par l’informatique. Le cerveau comme le reste : un super ordinateur, au cœur de tout, contrôlant tout. Il analyse, interprète, modifie, simplifie, signifie le monde, le crée et le recrée à son image, pour mieux le stocker dans ses entrepôts fabuleux, formidables, quasi-divins, la mémoire, cet incroyable don fait par la nature à l’espèce humaine ! C’est là que tout se passe

ouvert» (l.13) «je me suis penché sur cette âme» (l.11) Discours direct de Camus pour mettre en valeur l’avocat Meursault ne s’identifie pas à la plaidoirie de l’avocat - (l.31) «C’est à peine… remords éternels» -> Pas la peine de punir Meursault car il est déjà plein de remords Le discours de l’avocat tourne en rond - (l.17) «Je m’étonne… subventionne» -> Satire sociale par l’ironie de l’avocat qui accuse l’état II) Expression de l’absurde A) Les mises à distance de Meursault

efficace. Il essaye de convaincre l'agneau qu'il est coupable alors qu'il l'a déjà condamné. Dans « le crocodile et l'esturgeon », le gentil, l'esturgeon, est courageux et a pitié du crocodile. Ce dernier est peu intelligent. En effet, il a des remords et il pleure car il n'a pas réussi à manger le deuxième garçon qui c'était rapproché de l'eau. Dans « l'ogre et la fée », l'ogre, amoureux d'une fée, se rend au château de son amour, pour la voir. Au château, l'ogre, impatient de la voir, mange un

elle reste au centre de la vie des personnages. Elle est la frontière entre la vie même faite de souffrance des vers 1622 à 1633 comme le montrent les mots « craint » « punie » « supplice » « gémir » et la mort pleine de culpabilité et de remords « exposant mes remords » vers 1635. Phèdre est perdue dans le labyrinthe que Vénus a créée, le labyrinthe de la passion destructrice, de la « flamme funeste » vers 1625. La petite fille du Soleil sombre dans la mort après avoir bu du poison. Même si l’on peut

les corbeaux À saigner tous les bouts de ma carcasse immonde. Ô vers ! noirs compagnon sans oreille et sans yeux, Voyez venir à vous un mort libre et joyeux ; Philosophes viveurs, fils de la pourriture, À travers ma ruine allez donc sans remords, Et dites-moi s’il est encor quelque torture Pour ce vieux corps sans âme et mort parmi les morts ! Champ lexical de la mort Champ lexical de la vieillesse Champ lexical de la solitude   Situation du poème + forme Il se situe dans la partie