Remords

nos esprits et travaillent nos corps ,” Et nous alimentons nos aimables remords , Comme les mendiants nourrissent leur vermine. Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ; Nous nous faisons payer grassement nos aveux, Et

logée la faute capitale. Un autre Moi me conduit qui me connaît et que je connais mal. L'hérédité est un fantôme du même genre. « Voilà mon père qui se réveille ; voilà celui qui me conduit. Je suis par lui possédé ». Tel est le texte des affreux remords de l'enfance : de l'enfance qui ne peut porter ce fardeau : de l'enfance qui ne peut jurer ni promettre ; de l'enfance, qui n'a pas foi en soi, mais au contraire terreur de soi. On s’amuse à faire le fou. Tel est ce jeu dangereux. On voit que toute

madame. » p.75 Folio Classique Madame de Rénal mariée : - Immoral: amour « adultère » p.179 - Rongée par le remords, la peur: « le remord continu ôta à Madame de Rênal jusqu'à la faculté de dormir » p.177 Folio Classique Julien poursuivie par la femme de chambre Elisa, amoureuse de lui: « Elisa […] lui avoua le projet d'épouser Julien » p.98 Folio Classique

aujourd'hui Il vous vient à l'esprit je ne sais quel caprice. Vous parlez de serments, devoir et sacrifice Et remords éternels !... Et tout cela pour lui ? Y songez-vous, madame ? Et vous croyez vous née, Vous, jeune, belle, avec le cœur gonflé d'espoir, Pour vivre chaque jour et dormir chaque soir Auprès de ce magot qui vous a profanée ? Quoi ! Pourriez-vous avoir un instant de remords ? Est-ce qu'on peut tromper cet avorton bonasse, Eunuque, je suppose, et d'esprit et de corps, Qui m'étonnerait

main. A droite au premier plan, on voit les soldats français alignés de dos et dans l’ombre. Ils sont anonymes et prêt à tirer, tous habillés pareils et dans la même position, ils ont l’air sûr d’eux. Goya veut montrer qu’ils n’éprouvent aucun remords. Ils représentent la brutalité de la guerre, le côté inhumain. En opposition, à gauche, au second plan, les espagnols sont représentés de face désormais. Certains prient d’autres sont désespérés (mains sur le visage), l’un d’entre eux défi les

police, rapidement, rattrapa la jeune femme et la ramena à la boutique où la paralytique, roide et muette, goûtait une joie amère. Michaud et Olivier se rassirent, désappointés et stupéfait par cette mésaventure, tandis que Thérèse avit d’intenses remords. Losque Laurent eu passé les quais, il aperçut l’éclair blanc d’un couteau de cuisine, posé sur un étalage de broquateur. Il alla vers celui-ci et lui acheta son couteau. Il revint sur ses pas et osa jusqu’à aller dans la boutique. Olivier eut un

idée avec les expressions « Le ver est dans le fruit », « le réveil est dans le rêve » et « le remord est dans l’amour » qui prouve que le bonheur du poète n’a été qu’éphémère et que la réalité le rattrape toujours. L’amour autre incontournable du Lyrisme est aussi représenter mais de façon déjà lointaine dans ce poème, le poète en parle au passé et l’associe au négatif et à la mélancolie « amour remords », et « pauvre cœur » on peut supposer que le poète a vécu une trop courte aventure amoureuse

de la noblesse, qui pousse Macbeth à commettre son premier meurtre. (ACTE 1).(2) De plus, une critique de l’humanisme par Shakespeare est bien représentée à travers Macbeth et Lady Macbeth, lui ayant peur de ne plus être roi et elle rongée par les remords de ce meurtre(ACTE 2-3).(2) Finalement, le fait que l’Écosse avait besoin de l’Angleterre pour reconquérir ces terres est démontrer par Shakespeare à travers Siward qui est le général des forces anglaises, mais aussi l’oncle de Malcom qui lui est

perdue d’un autre présent: « Qui m’empêchait de vivre tranquille et vertueux avec Manon ? ». [b.] Par ailleurs, le sort, la fatalité, semblent persécuter les deux jeunes gens, et mènent à un sentiment d’impuissance ; Des Grieux ressent néanmoins le « remords » d’avoir manqué à la vertu et à l’honneur, reconnaissant ainsi une part de responsabilité dans son malheur en se reprochant son manque d’initiative et de maîtrise de sa passion: « Pourquoi ne l'épousai-je point [...] ?" » [c.] Cependant, si c’est

l’enfant. Oreste est fou de joie. Or Pyrrhus, qui jusque-là n’aimait pas Hermione, annonce à Oreste qu’il a décidé de livrer Astyanax aux Grecs et qu’il va dès ce jour épouser Hermione. Pyrrhus se félicite de ce sursaut de raison, mais demeure agité du remords que lui inspire son amour pour Andromaque. Acte 3 (8 scènes) : Oreste est furieux de perdre définitivement Hermione ; il décide de l'enlever avant les noces, avec la complicité de son ami Pylade et des Grecs. Andromaque implore Hermione de sauver