Remords

pièce, il a cru être simplement un homme béni par le destin, il a cru que le titre de roi lui viendrait naturellement, sans passage à l’acte ni violence. Une fois le meurtre de Duncan accompli, il est consommé par le remords. Enfin, il choisit de nier le destin pour se guérir de son remords : dans la scène qui précède, il vient de commanditer l’assassinat de Banquo et de son fils Fléance, espérant en cela conjurer les prédictions des sorcières, et revenir sur le destin. Cette scène 4 de l’Acte III met

de M élogieux : bon travailleur, bon fils, (termes mélioratifs) ce qui remet en cause sa « monstruosité ». Avoc conclut prestation par carac non prémédité de crime. : « une minute d’égarement ». Il demande que vie M épargnée. Met en évidence « remords eternels : de M comme châtiment suffisant. Il essaie d’attirer bienveillance des jures, de rendre M humain, mais discours maladroit et stéréotypé. B. Les points faibles, voire ridicule du plaidoyer. Discours pas original, donc pas convaincant

tailleur est le « diable » c) Le vocabulaire du doute, de la peur est largement employé par l’auteur. Le narrateur passe par différents sentiments : la perplexité, l’avidité, le doute, puis le remords. Exemples : pâlir comme la mort… une tension spasmodique des nerfs… la conscience tourmentée… le remords confus… le souffle me manqua …Terrorrisé…. Malgré l’épouvante que j’éprouvais…ma conscience se dégradait, devenait de plus en plus vile… l’ultime règlement de comptes… Le récit bascule dans le

1 Préface  p3 2 Les poèmes : 1- Pierre de Ronsard, Sonnets pour Hélène p5 2- Charles Baudelaire, Remords posthume p7 3- Charles Baudelaire, Le rêve d’un curieux p9 4- Charles Baudelaire, La fin de la journée p11 5- Arthur Rimbaud, Le dormeur du val

: - répétition : « Ca n’est pas vrai ! » « Ca ne peut pas être vrai, je ne suis pas lâche » l.17 - intonation : “ ! ” ≈ cris • Le jeu avec le manteau : - « Je ne peux plus supporter ce regard » l.11 (elle recouvre le corps d’Egisthe) = remords et culpabilité - « Que m’import ce regard » (elle arrache le manteau) = elle accepte / assume sa culpabilité hybris (= la fureur) • Opposition entre ce qu’avait imaginé Electre et la réalité « Je ne m’en rendais pas

particulière dans la mesure où elle se fait sur le mode négatif du regret et prépare la chute finale : il faut profiter de la vie. Pour Ronsard, seule l’écriture poétique permet de garder le souvenir et donc d’immortaliser l’amour. « Remords Posthume » Écrit en 1847, remords posthume appartient au groupe consacré par Charles baudelaire à la « femme sensuelle » dans la partie Spleen et idéal des Fleurs du mal. Évoquant sa relation orageuse avec sa maîtresse Jeanne Duval, ce sonnet n'est pas tant une poésie

que ces condamnations n’empêchent pas les bourgeois de vivre tout à fait normalement. Dans l’extrait que nous avons lu, nous avons pu remarquer que Victor Hugo partage les mêmes idéaux que le Poëte. Ils ont tous les deux des remords. Dans le livre, Hugo ressent des remords par rapport à sa fille qu’il a peu connu.

plus grave, «tout ce qu’[elle a] souffert, [ses] craintes, [ses] transports, la fureur de [ses] feux, l’horreur de [ses] remords»… «n’était qu’un faible essai du tourment qu’[elle] endure». Elle insiste sur le fait que la situation dans laquelle elle se trouvait était déjà terrible en employant des termes hyperboliques comme «tout ce que j’ai souffert», «l’horreur de mes remords», «l’insupportable injure». La passion de Phèdre pour l'amour d'Hippolyte et d'Aricie est démontré dans le texte lorsqu'elle

abordé*la dernière phrase de l’extrait est une phrase complexe qui débute à la ligne 26 et se termine à la ligne 41 →il s’agit là d’un long itinéraire, un voyage ininterrompu * « le Remords »(l.39) avec une majuscule →personnification, on parle en plus de le « tuer », ce remords prend une place centrale et représente le remords de tout le monde comme si chacun le connaissait et le partageait * « dame anglaise »(l.40), « soupière »(l.41) →bourgeoisie, richesse des sociétés occidentales dominantes, elle

qu’Agamemnon est là à hanter les lieux. Scène trois Que regrette Egisthe ? Il regrette d’avoir dû punir Electre. Pourquoi ? Il éprouve des regrets parce qu’il dit être fatigué de porter le remords de tout un peuple. Qu’est-ce qui le distingue de tous les gens d’Argos ? Il est le seul à ne pas avoir de remords mais il dit qu’il est le plus triste. Egisthe finit par croire aux fables qu’il a lui-même inventées. Il croit qu’Agamemnon est sorti de la caverne. Scène IV Egisthe se lamente ; il dit