Remords

réalité elle déteste cette vie silencieuse. Mais Laurent va tuer Camille pour que les deux soit tranquille et va être témoin et ne rien faire. Même s’il elle ne dit rien se meurtre va la traumatise elle et Laurent. Ce traumatisme va lui procuré des remords, des insomnies, des visions de Camille mort. Plus tard elle va nier le meurtre de Camille et mettre tout sur le dos de Laurent et dire qu’en réalité elle préférait être toujours marie a Camille que cet infâme personnage. Mais comme elle n’ose allée

LE DEVOIR DE MEMOIRE EST IL COMPATIBLE AVEC LE DEVOIR DE MODERNITE ? « L’œil était ds la tombe et regardait » Caïn (Hugo) : symbole du remords. L’assassin que poursuit le remords est condamné à fuir ss pvr échapper à cet œil accusateur. Cet assassin semble bien sûr privé de liberT. Remords renvoie au passé et à la mémoire. Pr affirmer sa libT et sa moderniT, suffit-il alors de se débarrasser du passé et de la mémoire ? « Il faut absolument être moderne » : injonction assez

oiseau qui est piégé dans l’environnement clos du navire, d’où l’absence d’élévation qui mène au Spleen. L'IRREPARABLE Pouvons-nous étouffer le vieux, le long Remords, Qui vit, s'agite et se tortille Et se nourrit de nous comme le ver des morts, Comme du chêne la chenille? Pouvons-nous étouffer l'implacable Remords? Dans quel philtre, dans quel vin, dans quelle tisane, Noierons-nous ce vieil ennemi, Destructeur et gourmand comme la courtisane, Patient comme la fourmi? Dans quel

qui va l'a tuer seul. Cependant, Electre reste « ivre de joie » de sa mort. Ils sont poursuivis par les mouches (=Les Erinyes, les déesses du remords) et se réfugient dans le sanctuaire d'Apollon. Acte III : Jupiter obtient finalement le repentir d'Electre, mais pas celui d'Oreste qui quitte Argos, libérant ses nouveaux sujets de leurs remords et des mouches. Les Erinyes cherchent à séparer Electre d'Oreste : Oreste : « Electre, ne te laisse pas toucher par sa main. C'est un boucher

tes yeux, de tes yeux verts, Lacs où mon âme tremble et se voit à l’envers… Mes songes viennent en foule Pour se désaltérer à ces gouffres amers. Tout cela ne vaut pas le terrible prodige De ta salive qui mord, Qui plonge dans l’oubli mon âme sans remord, Et, charriant le vertige, La roule défaillante aux rives de la mort ! LA PRÉSENCE DE LA MORT Le champs lexical de la mort est présent tout au long du texte. « Soleil couchant », « nébuleux », « noirs et mornes », « poison », « gouffres amers

Regrette-t-on ce qui ne pouvait pas être autrement qu’il n’a été ? Ne nous disons-nous pas quelquefois : « Si j’avais su, j’aurais autrement agi ; j’ai eu tort. » On ne s’attaque ainsi rétrospectivement qu’à des actes contingents ou qui paraissent l’être. Le remords ne s’expliquerait pas plus que le regret si nous n’étions pas libres ; car comment éprouver de la douleur pour une action accomplie et qui ne pouvait pas ne pas s’accomplir ? – Donc, un fait est indiscutable, c’est que notre conscience témoigne de

son château. Elle convainc son mari de l’assassiner (oh donna mia) pour prendre sa place sur le trône, comme cela lui a été prédit. Macbeth, après nombre d’hésitations (Mi si affaccia un pugnal !), passe à l’acte, mais en nourrit aussitôt de vifs remords. Sa femme tente de faire taire ce qu’elle considère comme de la lâcheté (Fatal mia donna !) au cours d’une sublime scène à deux. Mais la cour se réveille et elle est horrifiée de ce qui s’est produit Acte II [modifier] Macbeth est roi, mais il

l'amour véritable, Avec ses noirs enchantements Son cortège infernal d'alarmes, Ses fioles de poison, ses larmes, Ses bruits de chaîne et d'ossements ! - Me voilà libre et solitaire ! Je serai ce soir ivre mort ; Alors, sans peur et sans remord, Je me coucherai sur la terre, Et je dormirai comme un chien ! Le chariot aux lourdes roues Chargé de pierres et de boues, Le wagon enragé peut bien Écraser ma tête coupable Ou me couper par le milieu, Je m'en moque comme de Dieu, Du

prendre parti pour les américains, et donc par la même occasion va venir dénigrer toutes les autres populations qui ne sont pas la sienne. On peut se poser la question des possibles remords qu’il a peut-être ressenti après la publication de son livre et sa lecture. Mais dans l’extrait ici, il n’y a pas une once de remords. Il affirme d’autant plus ses positions, et introduit trois légendes comme pour prouver son point de vue. Le personnage de M. Knickerbocker va venir représenter la métaphore de

est-il condamnable ? Macbeth est condamné pour avoir tué le roi donc fait un acte mauvais. On pourrait envisager que l’homme ayant besoins d’une justice cherche à attribuer la responsabilité d’actes du mal à de simples ignorants et peut-être pleins de remords au moment de leur condamnation. N’est-ce pas un moyen de fuir une sorte de fatalité du mal que l’on ne peut accepter sans réagir car on souhaite le bien? On peut alors se demander si l’homme désire toujours le bien pour lui-même et pour autrui