Remords

tout » -20 ans qu’il essaye de comprendre -trop de temps c’est écoulé -cherche ses souvenirs -émotion → fautes : « ce qui 20 ans me travaille le cœur » -paradoxe entre ignorance / savoir : « je le sais parce qu’ils me sont familiers » « remords » / « grandes questions » « soir » / « jour » « assembler » / « recoudre » B. Une Affaire mystérieuse -«l’Affaire, comme on l’a appelé chez nous avec grands soupirs et mimiques » (l.10) = important -cadre judiciaire : « procureur » « grand

seule finalité, une fixation même, qui tient de la pathologie : venger son père et se débarrasser de meurtriers impies devenus tyrans. Elle possède un rage continuelle, des éruptions verbales, loin de la résignation. Elle n'éprouve visiblement aucun remords à réaliser avec Oreste son plan terrible, contrairement à l'Électre d’EURIPIDE, un moment désarçonnée par l'horreur de son acte. Le meurtre d'Égisthe et de Clytemnestre ne choque pas l’idée de justice de SOPHOCLE, au point que sa tragédie exclut toute

se perdent dans la jouissance des sens, ce qui les conduira ensuite aux «remords» comme seul fruit à «cueillir» de cette fête. En effet, le Plaisir et le Remords sont indissociables, l'un ne va pas sans l'autre; c'est le plaisir, celui qu'on a dans une fête, le plaisir des sens, par le vin , le rire, les femmes, qui abaisse l'homme et le rend esclave de ses sens: «la fête servile» et lui apporte immanquablement le «remord» et la honte. Pour le poète, la fête ne peut être que négative puisqu’elle

l’enfant. Oreste est fou de joie. Or Pyrrhus, qui jusque-là n’aimait pas Hermione, annonce à Oreste qu’il a décidé de livrer Astyanax aux Grecs et qu’il va dès ce jour épouser Hermione. Pyrrhus se félicite de ce sursaut de raison, mais demeure agité de remords que lui inspire son amour pour Andromaque. * Acte 3 - Oreste est furieux de perdre définitivement Hermione ; il décide de l'enlever avant les noces, avec la complicité de son ami Pylade et des Grecs. Andromaque implore Hermione de sauver la vie

Le malaise qui se cachait derrière le ciel si bleu et si calme (trop bleu, trop calme), la plainte de l'oiseau et l'immobilisme anormal du paysage trouve son dénouement dans les deux dernières strophes à travers trois thèmes liés , l'exclusion, le remords et les larmes. L'exclusion était déjà présente de façon suggestive dans la première strophe avec un horizon limité à un pan de ciel. On suppose que le poète se trouve dans un lieu fermé, isolé. L'exclusion devient explicite avec la répétition de l'adverbe

humains en paix s’il lui fabrique une compagne. Le savant s'exécute mais détruit son œuvre au dernier moment. Pour se venger, le monstre assassine le meilleur ami de Frankenstein et sa fiancée Elisabeth. A la fin du roman, le monstre, pris de remords, part au loin s'immoler par le feu mais Mary Shelley ne raconte pas ce passage. Elle laisse ainsi planer le doute et la menace dans l’esprit des lecteurs. On considère souvent que le roman de Mary Shelley a marqué la naissance de la science-fiction

est sous entendue. (alinéa + saut de ligne)Transition : La constante impression du narrateur d’être une victime de la passion et de ses effets dévastateurs explique peut-être qu’il soit « sans ressentir le moindre remords  ». Cependant , malgré ses déclarations contre ce «  funeste ascendant  », le lecteur a bien l’impression de lire, en filigrane, un éloge de la passion tout aussi redoutable soit-elle.

cœur/Ne peuvent te penser ni te nommer. » 4.2. Lady Macbeth « S’il n’avait ressemblé/A mon père quand il dormait, je l’aurais fait. » Le vieillard « Bénédiction de Dieu sur vous et sur ceux-ci/Qui changent mal en bien, ennemis en amis » 4.3.Remord Macbeth : « J’ai l’horreur de penser à cela que j’ai fait » 5.Omniprésence du mal et naturalité « Le clair est noir et le noir est clair » Banquo « Vous, puissances bienfaisantes,/Refoulez en moi les pensées mauvaises que nature/Libère dans

incarnation, à en effectuer la réalisation. De même, Macbeth s’interroge : « Pourrais-je jamais faire une chose aussi terrible ? », et ce questionnement prouve que son personnage et celui de Thérèse sont bien différents. Thérèse n’éprouve ni doutes ni remords, alors que Macbeth se remet en question et se renvoie à sa conscience. Macbeth est loin de réaliser son action mauvaise puisque le chemin moral à accomplir n’est pas encore fait. Nous avons donc une autre illustration de la nécessité de la volonté

crainte ou peur, de ce qui peut en résulter, si l´on refusait de montrer notre regret ou remords,une action hypocrite et malsaine,ayant comme but un certain interêt que la plupart des gens, se repentissaint ont toujours cherché. Dans notre vie quotidienne, on voit de nos jours, plus en plus de personnes qui, au lieu d´assumer les conséquences de leurs mauvais comportements , se repentir et montrer des remords, pour finalement être épargnés de la punition dont ils méritent. Séance 2: Le travail