Renan Scientisme

effet, selon l'expression, la philosophie doit demeurer la "servante" de la théologie. Enfin, il ne faut pas oublier que la science peut aussi devenir en elle-même une religion. Pensons bien sûr au mouvement scientiste qui selon la formule d'Ernest Renan permet d' "organiser scientifiquement l'humanité", ramenant alors les sciences expérimentales au domaine de la foi. La religion est donc liée, d'une certaine manière, à la science et la philosophie. Mais l'extrême à ne pas atteindre serait de les

rationnelle, cela consiste à envisager le pire. Pour lui c'est faire preuve de responsabilité. Il voudrait que l'on puisse maitriser la maitrise. Cela s'oppose au scientisme (l'attitude qui pose que la science répond à toutes les questions humaines, que les scientifiques devraient diriger la société). La science n'est pas neutre. Pour le scientisme, elle l'est et c'est l'utilisation qu'on en fait qui n'est pas neutre. Quand Einstein se reproche d'avoir écrit à Roosevelt, il se sent responsable de l'utilisation

et incohérents), dans des vies concrètes ! La science ne suffit pas, elle ne dupe personne quand elle se présente comme l’autorité intellectuelle et morale déterminante. Alors qu’elle est incompétente en matière de morale ! ? C’est à cause du scientisme : on a osé dire que dans la République la science avait pris la place de la religion. Il a donc fallu la fétichiser pour mieux l’adorer. Par exemple en adorant non plus dieu, m’ais l’être suprême, ou n’importe quoi, à n’importe quel prix -on a adoré

"Définition" du symbolisme d'après http://www.site-magister.com/symbolis.com :  e symbolisme correspond à une réaction contre le matérialisme scientiste, dont la forme littéraire triomphante au XIXème siècle est le naturalisme : celui-ci est accusé de ne proposer qu'une vision mécaniste de l'homme et de l'univers, enclose dans une description objective. C'est au contraire à la suggestion que s'attacheront ces jeunes poètes qui partagent encore du Romantisme le pessimisme désabusé : Charles Cros

HISTOIRE LITTERAIRE, ARTISTIQUE ET CULTURELLE LE SYMBOLISME Mouvement dont l'importance fut considérable à la fin du 19ème siècle. Apogée : entre 1880-1890. point de départ : 1886 et le Manifeste de Jean Moréas mais un mouvement qui ne peut pas se résumer à cette « école », il est beaucoup plus complexe que cela. Preuve : en 1891, Moréas lance un nouveau Manifeste. I) Origines du mouvement, une réaction contre : • le positivisme scientiste • le réalisme • le naturalisme (de Zola notamment)

l'analyse morale de la raison si l'on n'admet pas qu'il en spécifie l'expression rationnelle comme concept post-initiatique de la connaissance. Par le même raisonnement, on ne peut que s'étonner de voir Montague critiquer le scientisme pour l'analyser en fonction du scientisme post-initiatique le suicide. On ne saurait, pour conclure, écarter de cette étude la critique du suicide universel par Descartes. C'est d'ailleurs pour cela qu'il systématise la réalité synthétique de la raison, et le

vapeurs, électricité (Maxwell), relativité, évolution du vivant (Darwin), … . Science s’avance sur la religion, la conception du monde par Dieu / l’Homme est une espèce comme les autres => remise en cause par la science du modèle créationniste. Le scientisme = doctrine qui considère que la science peut apporter des réponses à toutes les questions que nous nous posons (de tout type). Philosophie positive d’Auguste Comte (1798 – 1857) : trois états de l’esprit Théologien en sa jeunesse, métaphysicien

puise surtout ses idées au sein du positivisme d’auguste comte et d’Emile Durkheim : positivisme purement S. Pr lui, la réalité morale doit découler des faits sociaux dégagés par la S. Il est scientiste : la vérité ne découle que de la science. Ce scientisme va le pousser à un athéisme déclaré. En même temps reste fasciner par la pensée de St Thomas d’Aquin intérêt pr le rationalisme chrétien. A la fin de sa vie va tempérer sa vision scientiste du droit, sera tempérée va recourir à la notion de justice

médiocrité courante de la vie et il faut y rester. = le « désintéressement » du romancier. Qui affecte de disparaître complètement derrière l’action qu’il raconte. Critiqué par une critique idéaliste contre le roman comme procès verbal, le scientisme, et son goût prononcé des bas-fonds. Pour Maupassant, le roman est l’occasion de faire le point sur son propre travail et de marquer ses distances avec un certain nombres de ces confrères. Pour lui la vérité romanesque n’a rien à voir avec

Cette conception attribuant, à la science le monopole de la vérité porte un nom dans l'histoire des idées : elle s'appelle le « scientisme » ou le « positivisme » (au sens large de ce terme, et non point dans la signification étroite du système d'Auguste Comte). La science posséderait l'exclusivité du vrai, elle seule aurait donc une valeur absolue. Le « scientisme » a connu, à la fin du 19e siècle, une extraordinaire faveur et, de cette faveur, le roman de Roger Martin du Gard, Jean Barois, porte