Renault Samsung Motors

l’université de Buffalo (États-Unis), il a enseigné à l’Essec puis a dirigé pendant dix ans une entreprise textile-sport, avant de devenir directeur du Groupe ESC Lyon (EM Lyon). Il a repris ensuite des responsabilités en entreprise, d’abord chez Renault, puis chez Auchan où il a monté les programmes de formation de dirigeants et l’université d’entreprise. Il est un des fondateurs de la procédure d’accréditation européenne des Business Schools (Equis) développée par l’European Foundation for Management

l’université de Buffalo (États-Unis), il a enseigné à l’Essec puis a dirigé pendant dix ans une entreprise textile-sport, avant de devenir directeur du Groupe ESC Lyon (EM Lyon). Il a repris ensuite des responsabilités en entreprise, d’abord chez Renault, puis chez Auchan où il a monté les programmes de formation de dirigeants et l’université d’entreprise. Il est un des fondateurs de la procédure d’accréditation européenne des Business Schools (Equis) développée par l’European Foundation for Management

concentrée géographiquement et à l’échelon national, s’effectue maintenant à l’échelon mondial, les voitures étant souvent assemblées à partir de pièces produites et fournies par de très nombreuses entreprises dans des douzaines de pays. La société General Motors était, en 2003, présente mondialement dans plus de 190 pays, elle compte des activités manufacturières dans 32 pays et des dizaines de milliers d’entreprises d’approvisionnement dans le monde, employant au total 340.000 personnes. La mondialisation

contribuer à bonifier celle du sponsor, est relativement complexe. Si certaines associations d’images semblent évidentes, par exemple : Adidas fabricant d’articles de sport, notamment à destination des footballeurs, associé à des événements de football, Renault fabricant d’automobiles, notamment à vocation sportive, associé à la Formule 1. D’autres peuvent être périlleuses pour le sponsor. Il semble difficile pour un fabricant de tabac d’obtenir un gain d’image en sponsorisant des meetings d’athlétisme.

14. Au début des années soixante, la firme Renault lança son modèle « Dauphine » aux États-Unis. Le succès dépassa les espérances : les commandes affluèrent par centaines chaque jour alors que le constructeur n’avait prévu, au mieux, que quelques dizaines par jour. Il en résulta que la production et la logistique suivirent difficilement et que les clients américains durent attendre longtemps la livraison, ce à quoi ils n’étaient pas habitués. De plus, Renault négligea d’approvisionner les concessionnaires

Au début des années soixante, la firme Renault lança son modèle « Dauphine » aux États-Unis. Le succès dépassa les espérances : les commandes affluèrent par centaines chaque jour alors que le constructeur n’avait prévu, au mieux, que quelques dizaines par jour. Il en résulta que la production et la logistique suivirent difficilement et que les clients américains durent attendre longtemps la livraison, ce à quoi ils n’étaient pas habitués. De plus, Renault négligea d’approvisionner les concessionnaires

donc restée positive et s’est établie à + 1,6 %, grâce notamment au maintien d’une politique tarifaire privilégiant les PME. Parmi les principaux déposants de brevets en France, figurent des groupes industriels français importants comme L’Oréal, Renault et le groupe PSAPeugeot-Citroën, qui conserve sa première place avec 961 brevets publiés. Deux organismes de recherche, le CEA et le CNRS sont respectivement aux septième et neuvième rangs. Les dépôts de marques, très sensibles à la conjoncture économique