Rencontre Amoureuse Parodique

religion, il se dit athée et libertin (2+2=4), rejet total de se repentir ; matérialiste, fait sortir Dom Elvire d'un couvent. Séance 3 : Lecture analytique n°1 : Acte 1, scène 2 :la tirade de la séduction « Quoi ? Tu veux qu'on se lie...conquêtes amoureuses » • Le reste de la scène Sg éprouve de l'admiration pour Dom Juan. Il sait qu'il est son inférieur mais il veut quand même discuter (« Disputer ») avec son maître. Il a un rôle moral envers son maître ; il doit le ramener à la raison, la religion

Léandre et de Tersandre. Ce sont trois portraits d’hommes mariés qui, tous trois, ont un comportement en société différent de celui qu’ils ont avec leurs épouses respectives. Chez eux, l’être ne correspond pas au paraître. Chacun est heureux de rencontrer Léandre, mais, dans son particulier, « c’est une âme glacée, solitaire, inaccessible » (scène 1, l. 89). Quant à Tersandre, il s’emporte contre sa femme, mais jamais contre ses amis (scène 1, l. 97-101). Petits Classiques Larousse -3- Le jeu

et de bravoure mais s'adonne progressivement à l'analyse psychologique des personnages. Les romans de Mlle de Scudéry attestent cette évolution et marquent l'influence de la préciosité. -Scarron : Le Roman comique (1651-1657) (Roman comique, parodique) C'est un anti-roman, qui critique l'invraisemblance de l'héroisation romanesque. Il se fonde sur une esthétique burlesque qui met à mal les valeurs héroïques. Il tourne en dérision les motifs des œuvres pastorales et héroïques. III) -Le classicisme

qui vend mobilier, tissus et tapisseries à la haute bourgeoisie et à la riche aristocratie et il détient depuis 1631 la charge prestigieuse de « tapissier valet de chambre du Roi »), Jean-Baptiste Poquelin se consacre au théâtre à 21 ans après la rencontre de Madeleine et Joseph Béjart avec qui il fonde « l'Illustre Théâtre » ; il prend alors le pseudonyme de Molière. Après la faillite de la troupe, il quitte Paris avec eux et parcourt les provinces de l'ouest puis du sud de la France de 1646 à 1658

I- LE CONTEXTE HISTORIQUEI- LE CONTEXTE HISTORIQUE XVIII me : un siècle marqué par les difficultés économiques et la philosophie des Lumières qui s’achève par la révolution française · Crise économique (guerre, famine, banqueroute de Law) · Affaiblissement de l’autorité de l’état, montée en puissance de la bourgeoisie, contestation des privilèges de la noblesse, importance de l’argent (les discriminations sociales et et les clivages de la société deviennent de plus en plus insupportables

système de la circulation sanguine), méthode d’observation encore peu pratiquée à l’époque. b)L’écrivain -1532 : médecin à Lyon. Ville très dynamique intellectuellement : contact avec l’Italie et imprimeries fameuses. Egalement ville de foire : rencontre de Rabelais avec un deuxième aspect de la culture médiévale, la culture populaire et le « carnaval ». cf Mikhaïl Bakhtine L’œuvre de François Rabelais et la culture populaire au Moyen-äge et sous la Renaissance + préface édition Fragonard p21 Culture

PRÉPARATION m Trouver les idées directrices Faites, pour vous aider, la « définition » du texte (voir sujet n° 1, p. 24) qui peut vous ouvrir des pistes. Analysez avec précision les termes de cette « définition ». Tirez-en des questions. Déclaration amoureuse qui s’appuie sur une stratégie de séduction habile, qui mêle pathétique et humour. • Première piste Ici, Cyrano élabore un « plan » dont le but visé est de séduire Roxane et de lui faire accepter un baiser… pour Christian. Demandez-vous comment s’y

feront partie de la liste d’oral : | |1. Le portrait de Melle de Chartres, tome I lignes 224 à 261 p 21 et 22. | |2. La rencontre entre la Princesse de Clèves et le duc de Nemours, tome I lignes 715 à 758 p 49 et 50 | |3. L’examen de conscience de la Princesse de Clèves : la prise de conscience de son amour, tome III lignes 373 à 430 p 138

Jean Anouilh : Anouilh, Jean (1910-1987), auteur dramatique et metteur en scène français. Né à Bordeaux, Anouilh fait des études de droit à Paris, puis travaille dans la publicité avant de devenir le secrétaire de Louis Jouvet en 1928. Cette rencontre est décisive et conforte sa volonté de se consacrer au théâtre. Ses premières pièces, l’Hermine (1932), le Voyageur sans bagages (1937) et la Sauvage (1938), rencontrent l’adhésion d’un vaste public. Elles développent une vision profondément pessimiste

critiques portant sur la littérature française relative à l’Orient au cours du siècle des Lumières sont consacrées pour la plupart à examiner la forme du texte et le style de l’écriture7. Certaines d’entre elles s’intéressent à la dimension satirique ou parodique des récits orientaux, d’autres montrent comment l’Orient est représenté dans les créations littéraires, que ce soit d’une façon positive ou négative. Plusieurs critiques dégagent les idées occidentales dissimulées sous le voile exotique et confirment