Rencontre Amoureuse Parodique

de la princesse de Clèves Le roman de Mme de LaFayette, la P de C a été écrit en 1678 en pleine période classique. Incarne toutes les caractéristiques du mouvement, l’homme honnête, la bienséance et perso nobles. Cette scène est la première rencontre des 2 perso Mme de Clèves et le Duc de Nemours, elle s’effectue a l’occasion du bal donné en l’honneur des fiançailles entre M. de Lorraine et Mme Claude de France. Nous aborderons dans une 1ère partie le classicisme de cette scène par l’évocation

l'antithèse du titre relie dans ces sections l'extase du mal, l'art du péché et à la souffrance qui lui font perdre son idéal pour sombrer dans le spleen. Au-delà de l'œuvre poétique, se dissimule toutefois des éléments de la vie du poète comme ses rencontres amoureuses dans la 1ère partie « Spleen et idéal », dans laquelle se situe « Une charogne » pour atteindre l'idéal. Il évoque avec un esthétisme macabre saisissant une promenade en amoureux. Le poème surprend par sa volonté de choquer en faisant du beau

création à propos de la réécriture, car réécrire, c’est « donner une nouvelle version d'un texte déjà écrit ». Cette approche recouvre différents genres, comme la parodie ou le pastiche, différents tons (humoristique, tragique, comique) et buts (parodique, ludique, satirique...) Elle recourt à des procédés tels que la transposition, l’expansion ou la réinterprétation. La parodie ou le pastiche créent une complicité avec le lecteur : la première détourne ouvertement le texte fondateur pour susciter

jours qui rompt avec l’atmosphère de l’époque mais aussi avec le roman traditionnel. Il offre au lecteur un univers insolite et des personnages jeunes et farfelus à la recherche du bonheur et de la légèreté de vivre. Cette œuvre retrace la rencontre amoureuse entre Colin et Chloé puis la mort de cette dernière emportée par la maladie détruisant ainsi Colin. Dès l’incipit, Boris Vian présente Colin qui semble être le personnage principal dans un univers réaliste pimenté de fantaisie. Dans quelle

a pu même s'en plaindre comme il le dit dans une lettre de 1859 adressé à Nadar : « Il m'est pénible de passer pour le Prince des charognes ». Le public a surtout été sensible à l'aspect provocant du sujet traité par le poète et à son aspect parodique au point que Sainte-Beuve a considéré dans l'une de ses lettres adressée à Baudelaire qu'il avait « pétraquis(é) sur l'horrible » (expression formée à partir du nom du poète italien de la Renaissance, Pétrarque). C'est plus tard, à la fin du siècle

Fontaine et la mise au point sur la Querelle des Anciens et des Modernes). Dès 1712-1713 il se lance dans l'écriture de comédies et de romans quelquefois parodiques comme Le Télémaque travesti, parodie de Fénelon.Parallèlement il collabore au journal Le Nouveau Mercure à partir de 1717 comme journaliste et chroniqueur.En 1716 il fait une rencontre décisive: les Comédiens-Italiens, précédemment chassés par Louis XIV, reviennent à Paris, une ville désormais plus fantaisiste et plus libertine. Cette troupe

"autel"... Loin de sanctifier une passion profane, Tartuffe au contraire transfère au profane ses habitudes religieuses ! La foi n'est-elle chez lui qu'un tic de langage ? Si les évocations religieuses existent aussi dans les discours amoureux non parodiques (cf. l'évocation de Marie chez Aragon), elles n'ont pas la même fonction ; elles agissent ici comme une véritable mécanique de langage, sans le moindre mysticisme. Transfert comique de son rôle de directeur de conscience : il donne encore des

"autel"... Loin de sanctifier une passion profane, Tartuffe au contraire transfère au profane ses habitudes religieuses ! La foi n'est-elle chez lui qu'un tic de langage ? Si les évocations religieuses existent aussi dans les discours amoureux non parodiques (cf. l'évocation de Marie chez Aragon), elles n'ont pas la même fonction ; elles agissent ici comme une véritable mécanique de langage, sans le moindre mysticisme. 3. Transfert comique de son rôle de directeur de conscience : il donne

ainsi le soigner gratuitement. Sa folie de la maladie l’aveugle au point de se laisser abuser par tous ceux qui l’entourent : de ses médecins à sa femme Béline.**Angélique, la jeune fille innocente et amoureuse. Elle est le prototype de la jeune fille amoureuse, naïve, sincère et honnête, elle a rencontré le grand amour en la personne de Cléante une semaine avant et préférerait la mort à une union avec le prétendant que son père lui destine. Même si elle s’oppose à lui, elle aime son père sans arrière-

Les séjours parisiens de 1871-1872 Arthur Rimbaud brillant élève, refuse de retourner au lycée, il boit de l'absinthe Il correspond en août et septembre 1871 avec Paul Verlaine auquel il envoie quelques poèmes. En août 1871, dans son poème parodique, Ce qu'on dit au poète à propos de fleurs, il exprime une critique ouverte de la poétique de Banville. Finalement Verlaine, très certainement pressé par Rimbaud, l'appelle à Paris : « Venez chère grande âme, on vous appelle, on vous attend ! » Rimbaud