Rencontre Amoureuse Parodique

l'accomplissement de l'oracle=ironie tragique : se trompe sur le sens des évènements -Œdipe est un pantin des dieux qui manipulent sa vie -enchaînement des étapes de l'oracle avec une parfaite minutie : même quand Oedipe ne se montre pas à la hauteur (rencontre avec le sphinx), les dieux permettent l'accomplissement de l'oracle (le sphinx souffle la réponse) .Infernale -piège tendu par les dieux de l'enfer pour anéantir l'homme -syncrétisme mythologique des dieux de l’enfer : Anubis (dieu de la

interrompu par des histoires annexes et par des commentaires de l’auteur sur l’action. - La Princesse de Clèves (1678) : c’est un roman classique. A la cour du roi Henri II, Mlle de Chartres accepte d’épouser le prince de Clèves, mais peu après tombe amoureuse du du de Nemours. Le prince, follement jaloux, se laisse mourir. La duc princesse refuse de céder au duc (pour respecter la mémoire de son mari) et se retire dans un couvent. XVIII° siècle : - Les Lettres persanes de Montesquieu (1721)

Marquise que dans leur sort final. 2) Le comique Comique verbal=expression à double sens, allusions grivoises et libertines (viol de Cécile) Comique de caractère= Cécile : naïveté, crédulité et mauvaise foi avec elle même. Comique parodique= les « malheurs » de Cécile V) Les personnages 1) La Marquise de Merteuil 25 ans environ. Veuve . Elle écrit le moins (27 lettres) Le démiurge de l’action : = personnage principal du

Marivaux Pierre Carlet naît à Paris en 1688. Dès sa jeunesse, il fréquente les cercles littéraires des salons (il rencontre Fontenelle et sera le protégé de Mme de Tencin) et s'essaie une première fois au théâtre et au roman. Après avoir été ruiné par la banqueroute de Law, il devient écrivain professionnel et participe à l'élaboration de feuilles journalistiques (Le Mercure de France). Très lié avec les acteurs du Théâtre-Italien, qui vient juste de réintégrer la scène française en 1716, c'est

>Biographie d’Apollinaire : Abandonné jeune par son père, Guillaume Apollinaire doit subvenir aux besoins de sa famille. Cependant, il étudie, écrit et se lie aux écrivains ainsi qu’aux peintres d’avant-garde tels que Picasso ou encore Derain. Ses rencontres, notamment féminines, rythment sa vie et ses écrits. En 1914, il s’engage dans la 1er Guerre Mondiale. De retour à Paris après avoir été blessé en 1916, il poursuit son œuvre dont il exprime l’ambition dans une conférence, L’Esprit nouveau et les

Dom Juan) · Caractères communs aux diverses versions : Triso de Molina fige dès le départ un certain un nombre de caractéristiques que l’on retrouvera quelle que soit l’histoire (exception fait des versions parodiques du XXe siècle) : · Le mort offensé qui vient de l’au-delà · Le vivant qui veut affronter la mort en dinant avec elle (premier et deuxième dîner)· L’arrogant Prométhée moderne qui défie les puissances terrestres et célestes (excursus Sisyphe :

où la déesse de l’amour Aphrodite est furieuse, méprisée par un Hippolyte lui préférant la chasse et son incarnation divine, Artémis. L’instrument de sa vengeance sera Phèdre, épouse de Thésée et belle-mère d’Hippolyte, victime d’une passion amoureuse impossible envers son fils. Elle se confiera à sa nourrice qui rapportera sa parole à Hippolyte. La réaction négative et colérique de ce-dernier la poussera au

membre de la Pléiade Pierre de Ronsard, "Ode à Cassandre" et "Quand vous serez bien vieille...", traitant tous deux du thème du carpe diem, s'adressant à de jeunes femmes. Nous nous demanderons si cette reprise du thème ronsardien est ici uniquement parodique, en étudiant la transposition burlesque, dissimulant une stratégie argumentative efficace et les éléments d'une réécriture fidèle. En premier lieu, Raymond Queneau attribue un coté burlesque à la réécriture qu'il présente dans ce poème.

France métropolitaine, juin 2010 (Série L) Sujets 65 à 68 4 s heure Sujets 65 à 68 Scènes de rencontre, scènes d’adieu France métropolitaine, juin 2010 (Série L) Corpus 1. G. FLAUBERT, Mémoires d’un fou, chapitre X, posth. 1901. 2. G. FLAUBERT, L’Éducation sentimentale, première partie, chapitre I, 1869. 3. G. FLAUBERT, L’Éducation sentimentale, troisième partie, chapitre VI, 1869. 4. L. ARAGON, Blanche ou l’Oubli, troisième partie, chapitre III, « Une mèche de cheveux n’est pas une hypothèse

Pendant le premier entracte, on retrouve une commedia dell'arte, un type de théâtre italien très populaire au 16e siècle, en musique. Le deuxième entracte voit des danseuses égyptiennes qui ensorcellent Argan et le dernier intermède est une danse parodique. Les déguisements somptueux présenté ainsi que les farces et travestissement présent tout au long de la pièce la transforme en un spectacle total, amusant et divertissant : cela est tout à fait normal car la première représentation se fait durant