Rencontre Des Cultures

Ministère de la culture et de la communication Direction de la musique, de la danse, du théâtre et des spectacles Enseignement de la danse Schéma d’orientation pédagogique Mars 2004 1 PLAN PAGE 3 4 4 4 4 5 9 9 10 11 11-12 12 13 14 15 16 17 18 18 18 19 19 19 20 20 20 21 INTRODUCTION I - LES MISSIONS DES ECOLES II - LES PROJETS DES ECOLES A - LE PROJET DE L’ ETABLISSEMENT B - LE PROJET PEDAGOGIQUE POUR LA DANSE III - LES PRINCIPES FONDAMENTAUX IV - LA FORMATION A - LE CONTENU DE

fautes de frappe ou de typographie. Présentation par J.M. Tjibaou, Président du Comité Introduction et conclusion « Nous avons voulu ce Festival parce que nous croyons en la possibilité d’échanges plus profonds et plus suivis entre la culture européenne et la culture canaque. » « L’espoir qui sous-tend[1] ce projet est grand... Nous devons ENSEMBLE le réaliser pour l’avenir culturel de notre jeunesse et la santé de notre pays. » Présentation par le Comité Introduction et conclusion « Nous vous

renvoient au domaine de la nature : le premier au langage inarticulé des oiseaux, le second signifie « de la forêt ». Ainsi traiter l'autre de barbare ou de sauvage c'est le ramener à l'ordre de la vie animale, donc en faire un être dénué de toute culture. 2- Champ lexical scientifique « Psychologique », « épithètes », « étymologiquement », « paradoxe », « linguistique », « paradoxe du relativisme culturel » En ce sens le relativisme refuse qu'il puisse y avoir des valeurs universelles (valables

représentant, ce qu’on comprend rapidement, la forêt. Après avoir lu le livre, on remarque la puissance de ces images représentant Almanda et son adoption de la nature et de la vie d’innu. Les fleurs sur sa peau, qu’elle poserait un à un, représentent la culture innue qu’elle imprègne peu à peu. Le cours d’eau et son emplacement représentent sa proximité à la nature et son amour pour les cours d’eau et le réconfort qu’ils lui apportent. On comprend aussi, par l’espace qu’il occupe, que les cours d’eau jouent

Pour les élèves : Cet album permet l’ouverture à une autre culture amérindienne en la comparant avec la culture amérindienne locale. -Présentation de l’auteur : François Beiger est un ethnologue français. Il a vécu quinze ans au Canada en compagnie des Inuits et des Amérindiens .Ces rencontres ont bouleversé sa vie et sa vision du monde, aussi il milite pour la préservation de ces peuples « oubliés » et de leurs cultures. Ces dernières années il a écrit et publié des œuvres en collaboration

personnes de cultures différentes. Il s’agirait d’une capacité à prendre une distance suffisante par rapport à la situation de confrontation culturelle dans laquelle il est impliqué, pour être à même de repérer et de lire ce qui s’y joue comme processus, pour être capable de maîtriser ces processus. La base d’une communication interculturelle réussie serait à mon sens une compétence émotionnelle et une sensibilité interculturelle. De plus, lorsqu’il s’agit d’une rencontre interculturelle

s’ouvrir aux différentes cultures qui nous entourent. On parcourt des kilomètres pour aller visiter un pays, découvrir son mode de vie. Mais, avoir des « étrangers » dans notre pays, ça nous gêne. Pourtant, pour comprendre une philosophie de vie, une religion, il n’y a pas de meilleur moyen que de côtoyer au quotidien des gens la pratiquant. On est quotidiennement confronté à des stéréotypes. Il serait temps de rompre nos représentations mentales et d’aller à la rencontre de ce trésor culturel.

La culture c'est ce que l'homme ajoute à la nature. L'homme devient homme par cette culture. C'est celle ci qui lui apporte une éducation et lui permet de vivre en société. L'homme est donc le seul etre vivant à pouvoir se cultiver.Les sociétés humaines choisissent leurs propres coutumes, contrairement aux animaux qui suivent leur instinct naturel. Ainsi, les sociétés peuvent être monothéistes ou polythéistes, nomades ou sédentaires, adeptes de la polygamie ou de la monogamie, avoir tels ou tels

doivent effectuer des tâches pénibles, travailler dans des mines ou labourer des rizières sous un soleil brûlant mais cela ne leur empêche pas de s’illustrer par leurs talents de conteurs.   Un jour, les deux amis font la rencontre d’une jolie fille montagnarde sans aucune culture, surnommée la petite tailleuse dont les deux amis vont tomber vite amoureux, mais le narrateur voue une telle loyauté à son ami qu’il gardera pour lui son secret.   Les deux garçons rencontrent également un rééduqué, le

sensibles d’un bâtiment. Ils réagissaient en appliquant des techniques constructives dans leur habitat, sur les édifices publics et religieux : une culture sismique existait. Le concept « culture sismique locale » est clair pour des pays où l’occurrence d’événements majeurs est fortement récurrente et qui entretiennent auprès des populations une véritable culture du risque. Il apparaît moins évident dans des pays à sismicité modérée comme le Maroc. Cependant, dans les médinas à forte densité de population