Rencontre Entre Fabrice Et Clélia

Clélia Le héros du XIX siècle pouvait être médiocre mais aussi romantique. Le passage du chapitre XV, pages 351-357, de La Chartreuse de Parme de Stendhal, décrit la deuxième rencontre entre Fabrice del Dongo et Clélia Conti, la fille du gouverneur Fabio Conti. Stendhal utilise cette deuxième rencontre entre Fabrice et Clélia pour insinuer la possibilité d’un rapport amoureux entre eux. Donc, à ce point dans le roman, le lecteur commencera à voir plus de la côté romantique du héros médiocre-

valider l’authenticité du récit. Après une distinction entre le caractère italien et le caractère français, l’auteur s’excuse d’avance de l’immoralité de son roman et déclare déverser le blâme sur nombre d’actions de ses personnages, ce qui semble une manière d’aiguiser la curiosité du lecteur. La Chartreuse de Parme se compose en deux livres, chacun divisé en treize et quinze chapitres. Le premier livre présente au lecteur la vie de Fabrice del Dongo avant qu’il ne soit envoyé en prison par le prince

valider l’authenticité du récit. Après une distinction entre le caractère italien et le caractère français, l’auteur s’excuse d’avance de l’immoralité de son roman et déclare déverser le blâme sur nombre d’actions de ses personnages, ce qui semble une manière d’aiguiser la curiosité du lecteur. La Chartreuse de Parme se compose en deux livres, chacun divisé en treize et quinze chapitres. Le premier livre présente au lecteur la vie de Fabrice del Dongo avant qu’il ne soit envoyé en prison par le prince

valider l’authenticité du récit. Après une distinction entre le caractère italien et le caractère français, l’auteur s’excuse d’avance de l’immoralité de son roman et déclare déverser le blâme sur nombre d’actions de ses personnages, ce qui semble une manière d’aiguiser la curiosité du lecteur. La Chartreuse de Parme se compose en deux livres, chacun divisé en treize et quinze chapitres. Le premier livre présente au lecteur la vie de Fabrice del Dongo avant qu’il ne soit envoyé en prison par le

Résumé - La chartreuse de Parme La Chartreuse de Parme est une des œuvres majeures de Stendhal, celle qui lui donna la célébrité. Elle fut publiée en deux volumes en mars 1839.  Le héros de ce roman est Fabrice Del Dongo, aristocrate italien, admirateur de Napoléon 1er. Il est le seul héros stendhalien à atteindre cette plénitude qu'ils recherchent tous, et à en jouir pendant une période assez longue. Dernier grand héros stendhalien, il possède cependant toutes les qualités qui les caractérisent

Stendhal introduit le lecteur de cette rencontre d’une manière très particulière dans son écriture même, puisque les personnages sont évoqués à travers une multiplicité de points de vue qui changent très rapidement. Le narrateur recourt au point de vue externe pour décrire Clélia qui « vint soigner ses oiseaux » et qui « rougit fort sensiblement » ou pour évoquer Fabrice qui « était immobile et sans respiration (…) debout contre les énormes barreaux ». Le narrateur utilise ce point de vue pour décrire

Comparaison entre Clélia et la Sanseverina Ressemblances Au niveau du milieu social : Les deux héroïnes du livre viennent d’un milieu aisé. En effet, Gina Del Dongo est issue d’une famille de nobles, elle est la sœur du marquis Del Dongo. Elle devient par la suite la comtesse Pietronera. Après sa rencontre avec le comte Mosca, elle passa un accord avec celui-ci et devint dès lors la duchesse Sanseverina. Elle héritera par après de sa fortune. Quant à Clélia Conti, elle aussi, est issue

Brève situation et bref résumé du chapitre Le prince veut empoisonner Fabrice. La duchesse avec l’aide de Ferrante Palla, grand poète libéral, vont organiser l’évasion de Fabrice. Clélia convaint Fabrice d’obéir à sa tante. Clélia, trahissant son père, accepte de se marier avec le marquis Crescenzi et promet de ne plus revoir Fabrice. Fabrice, aidé des complices de sa tante, s’enfuit de la tour Farnèse. La duchesse et Fabrice partent se réfugier dans le Piémont. L’évasion réussie, Gina désire se

toit. Ce lieutenant conquis la marquise et un an plus tard naît Fabrice. En 1814, l'armée napoléonienne est vaincue et Milan redevient Autrichienne. Fabrice étant le deuxième fils, il n'a pas beaucoup de faveurs. Adolescent, il part étudier chez les jésuites et voit très peu sa mère. Chez l'abbé Blanès, Fabrice apprend surtout l'astrologie, mais il restera un éternel ignorant. Il joue aussi beaucoup avec les paysans. Âgé de 16 ans, Fabrice décide de rejoindre Napoléon et s'en va pour Paris, puis pour

day of genius  », notre auteur décide d’écrire un traité sur l’amour qu’il intitule fort logiquement De l’amour . Loin d’être un roman, ce texte se veut analytique : [1: Dans la Chartreuse de Parme, Fabrice part à la « chasse de l’amour » (Ibidem, p. 324.). ] Le livre qui suit explique simplement, raisonnablement, mathématiquement, les divers sentiments qui se succèdent les uns aux autres et dont l'ensemble s'appelle la passion de l'amour[footnoteRef:2]