Rendement

de la division du travail, allié à la mécanisation, qui va permettre d’augmenter la production économique. Contemporain de Smith, Ricardo (1772-1823) est beaucoup plus pessimiste vis-à-vis du développement économique. Il privilégie la loi des rendements décroissants selon laquelle toute nouvelle superficie agricole mise en exploitation rapporte moins que les terres déjà préalablement exploitées. Dans cette même optique, Malthus (1766-1834) voit augmenter la population (progression géométrique)

faire desdépenses d’investissement en capital humain élevées ce qui pourrait compenser les conséquences de la faiblesse (l’absence) de la formation de capital humain des "pauvres", mais dans ce domaine comme dans beaucoup d’autres en économie la loi des rendements décroissants s’applique : l’efficacité marginale des dépenses de formation décroit lorsque le niveau de ces dépenses augmente.  De même une société dans laquelle les inégalités sont fortes et la mobilité sociale faible est menacée d’instabilité [3]

RACHID CHAABITA Eléments du cours Utilité cardinale et choix du consommateur Les choix du consommateur et la demande individuelle d’un bien en fonction du revenu L’élasticité revenu de la demande La production en courte période et la loi des rendements décroissants La production en langue période Les coûts de l’entreprise en courte période Numérisation & Conception Mr Mohamed-Fadil ZIADI Le Portail des Etudiant d’Economie www.e-tahero.net contact@e-tahero.net Professeur R. CHAABITA

inélastique. 5) La loi des rendements décroissants (fin 18ème – début 19ème) • la terre est seule productrice de richesse au début. • Si on double l’effort avec plus de personnes, on ne double pas la production pour autant Δ en économie industrielle, Δ les entreprises qui grandissent ont des rendements croissants ==> elles ont des coûts fixes • quand une entreprise prend de l’ampleur, elle a besoin de plus de monde pour assurer la production. Mais très vite, le rendement baisse si les ouvriers

est égal au rapport du coût total sur le nombre total d’unités produites : c. Coût marginal On appelle coût marginal noté (Cm), la variation du coût total généré par la production d’une unité supplémentaire. . Toujours en raison de la loi des rendements décroissants, il est d’abord une fonction décroissante puis croissante (productivité marginale décroissante) de la quantité produite. d. Relation entre coût marginal et coût moyen La courbe de Cm coupe les courtes de CVM et du coût total moyen

diviser le travail, que la répétition des gestes en augmente l’efficacité…ce qui fait augmenter la productivité et donc diminuer les coûts unitaires de production. Ensuite le coût moyen augmente, pourquoi ? On peu l’expliquer par la loi des rendements décroissants : à partir d’un certain seuil, l’augmentation de la production par l’augmentation du facteur travail se heurte à une baisse de la productivité marginale, ce qui fait augmenter le coût marginal. Quand le coût marginal augmente mais

l'école classique pessimiste grâce notamment à son ouvrage Principes de l’économie politique et de l’impôt. Ses deux analyses principales sont la théorie de la répartition ainsi que la théorie du commerce international. Selon Ricardo la loi des rendements décroissants explique les conséquences de l’augmentation de la population et de la nécessité de cultiver des terres de moins en moins fertiles. Ceci entraine d’après Ricardo un état stationnaire de la production, c’est-à-dire la situation d’une

objectifs, c'est-à-dire maximiser leurs profits. Productivité moyenne : Produit total/Nb de Leurs Productivité marginale = Variation produit/Variation de la quantité de L  : Supplément de X° apporté par un travailleur supplémentaire. La loi des rendements décroissants : Elle met en relation variation de la X° et variation de la quantité de FX°. Si le facteur L augmente, la X° augmente, mais moins fortement. => La productivité marginale de facteur baisse => la productivité totale augmente moins

échanges, la demande est dite fluide. Les facteurs de production sont réputé libres d’entrer et ou de sortir du marché : ils sont dits « mobiles » Transparence : Information parfaite «  le consommateur est informé de la qualité du produit » Les rendements d’échelle : - Croissant : lorsque la production varie plus que proportionnellement par rapport aux facteurs. - Constant : lorsque la production varie dans la même proportion que les facteurs - Décroissant : lorsque la production varie

forme des courbes d’indifférence sur la nature de la fonction de production ? Sur le TMST ? La forme d’une isoquante peut-elle être croissante ? Expliquez. 3. Deux isoquantes peuvent-elles se couper ? 4. Des rendements décroissants pour une fonction de production à un seul facteur et des rendements d’échelle constants sont-ils compatibles ? Expliquez. 5. Supposez qu’un fabricant de chaises produise à court terme (avec son équipement et son installation actuelle). Le fabricant a constaté les niveaux de