René Guy Cadou

mondiale. Des artistes, dont des poètes, se sont alors engagés sous l’Occupation, écrivant pour la Résistance. Ainsi, Paul Eluard rend un hommage à Gabriel Péri qui a été fusillé par les Allemands : Péri est mort pour ce qui nous fait vivre. De même, René Guy Cadou perpétue le souvenir des fusillés de Chateaubriand, concluant son poème par la défense de la liberté : la mort surtout est une chose simple / Puisque toute liberté se survit. Enfin, la dernière étape de ce beau voyage est la dénonciation du

des paroles Ils sont exacts au rendez-vous Ils sont même en avance sur les autres Pourtant ils disent qu’ils ne sont plus des apôtres Et que tout est simple Et que la mort surtout est une chose simple Puisque toute liberté se survit. René Guy Cadou Ce poeme semble nous decire le masacre d’innocent dans la region de nante lors du soulevement etudiants communiste. Les étudiants etaient sur la place de nante quand ils ont apercu un soldat allemand. Alors ils ont tiré celui, il ne savaient

regard de l’autre. III Son contenu /17 points 1. L’héroïne du roman s’appelle Céline Rabouillot. 2. Elle est atypique car non conforme aux héroïnes classiques, elle est grosse, mal aimée. Elle fait l’objet de railleries de toutes parts. 3. René Guy Cadou est sa référence littéraire. 4. Pourquoi fait-elle se parallèle avec cet écrivain ? 1pt ---------------------------------------------------------------------------------------------------- 5. C’est la perte de son unique enfant. Il courrait

- USA) BANG ON! (Hip-hop - UK) INFINITE LIVEZ (Hip-hop - UK) Retrouvez toute l’actualité de l’Université de Nantes sur : www.univ-nantes.fr/agenda Lundi 3 septembre Contes Cinéma Colloque Colloque Radio Concert Bienvenue aux Jardins R. Guy Cadou ou les Visages de la Solitude Languages in motion L’action en contrefaçon Le Labo des savoirs 15h 15h 9h - 18h Ateliers et chantiers de Nantes Ateliers et chantiers de Nantes Faculté des langues et cultures étrangères (FLCE) Jeudi 4 octobre Concert

de dénoncer des injustices sociales et politiques il n'y a pas assez de mots pour dire l'horreur, celle de la torture, celle des persécutions, celle des génocides. La poésie peut avoir pour visée la sublimation, par l'éloge de sacrifiés héroïques notamment (René Guy Cadou) mais aussi un enjeu d'exutoire : énoncer la perte de l'ami, des parents, permet de libérer la douleur éprouvée et de lutter contre la mélancolie (Desnos, Akhmatova, Sachs). De plus, il s'agit pour le poète de rendre sensible une injustice aux

fois.  Tu peux jouer à la rivière :  il suffit de pleurer,  pas très fort, pas très fort.  Tu peux jouer à l’arbre :  il suffit de porter quelques fleurs  qui sentent bon, qui sentent bon.  L'AUTOMNE (1976)La vie entière René-Guy CADOU(école de Rochefort) Odeur des pluies de mon enfance  Derniers soleils de la saison !  À sept ans comme il faisait bon,  Après d'ennuyeuses vacances,  Se retrouver à la maison !  La vieille classe de mon père,  Pleine de guêpes écrasées 

Paul Éluard, hérité de sa grand-mère, Félicie. Il adhéra au dadaïsme et fut l'un des piliers du surréalisme en ouvrant la voie à une action artistique engagée. Il sera connu également sous les noms de plume de Didier Desroches et de Brun[1]. René Guy Cadou est un poète français, né le 15 février 1920 à Sainte-Reine-de-Bretagne en Loire-Atlantique (alors Loire-Inférieure) et décédé le 20 mars 1951 à Louisfert également en Loire-Atlantique.

la Résistance en publiant clandestinement des œuvres importantes. C’est le cas de Louis Aragon (Les Yeux d’Elsa, 1942 ; La Diane Française, 1944), de Paul Éluard (Poésie et vérité, 1942 ; Au rendez-vous allemand, 1944), de René Char (Feuillets d’Hypnos, 1946) ou de René Guy Cadou (Pleine Poitrine, 1946). Les poètes ne seront d’ailleurs pas épargnés par l’extermination nazie : Robert Desnos mourra dans un camp allemand et Max Jacob dans le camp de Drancy. Plus récemment, des chanteurs comme Léo Ferré

René-Guy Cadou eut une courte existence qui fut illuminée par la rencontre en 1943 de la femme qu’il épouse en 1946, Hélène, sa muse. Ainsi, il lui dédie le recueil Hélène ou le règne végétal dont est extrait le poème. Le poète évoque, au passé, cette rencontre vitale avec l’être aimée et la transformation de son existence. La femme aimée est ainsi célébrée dans un poème lyrique rempli de ferveur amoureuse. Nous analyserons, dans un premier temps, la façon dont le poète évoque la rencontre avec

lumière La plus pauvre du village La plus belle sous les coups Toi qui fais chanter les fous Et qui fais pleurer les sages Liberté je t’ai nommée Pour que nous vivions ensemble Tu me vêts et tu ressembles Au portrait de mon aimée. René Guy Cadou La Liberté, Ce n'est pas partir, c'est revenir, Et agir, Ce n'est pas prendre, c'est comprendre, Et apprendre, Ce n'est pas savoir, c'est vouloir, Et pouvoir, Ce n'est pas gagner, c'est payer, Et donner, Ce n'est pas trahir, c'est