Renzo Piano

Chopin. Il se contente d’écouter et cela lui provoque du réconfort : il sourit. Ayant du s’enfuir dans un autre appartenant, le pianiste voit un piano dans la pièce. Nous nous demandons s’il va succomber à la tentation, jouer et être pris. Il résiste en s’enfermant un peu plus dans son isolement. Il s’imagine entrain de jouer une pièce de Chopin pour piano et orchestre, c’est-à-dire qu’il n’est plus seul mais soliste, qu’il est accompagné, soutenu par des gens. C’est cette même pièce de Chopin qu’il

est composée en 6 parties : -Dans l'introduction, qui est la première partie, le narrateur s'interroge sur la différence entre le réel et l'imaginaire avant de conclure qu'on ne peut pas échapper à la réalité. Après une quinzaine de secondes, un piano de concert fais son entrée, tandis que la voix de Freddie Mercury alterne avec les choeurs. Le narrateur se présente comme un pauvre garçon, mais avertit qu'il ne souhaite pas susciter de pitié. -La deuxième partie est la Ballade, la basse jouée

John Cage, souvent décrite comme « quatre minutes trente-trois secondes de silence » (mais qui est en fait constituée des sons de l'environnement, que les auditeurs entendent lorsqu'elle est interprétée). Le morceau a été écrit en principe pour le piano et est structuré de trois mouvements principaux. Sur la partition, chaque mouvement est présenté au moyen de chiffres romains   (I, II & III) et est annoté TACET (« il se tait » en latin), qui est le terme utilisé dans la musique occidentale pour indiquer

ne se mélait pas à l'image. Ce n' est quand 1908 le jour de la sortie du film "L' assassinat du duc de guise" qu' un piano accompagna l' image.La musique servait à cacher le bruit du projecteur, rassurer les spectateurs dans le noir, distraire l'oreille mais surtout renforcer le lien entre les différentes scènes du film.Jusqu'en 1920 la musique est principalement confié à un piano voir un orchestre, puis les réalisateurs essayèrent de synchroniser le son et l' image sans grande succés.En 1926, l'

1933 à Londres et à Paris. De plus il créa un big band comme le fit plus tard Count Basie sous le nom du « Count Basie Orchestra ». Un big band est un groupe de jazz, durant l’ère du swing, composé d’au moins 10 personnes jouant de la trompette du piano etc... Le groupe d’Ellington représente la quintessence du jazz classique. Beaucoup de personnes disent que pour lui son groupe est son laboratoire musicale qui lui permet de crée de nouvelles compositions. Ces dernières lui permettent aussi de mettre

sur une mélodie très souple à la flûte sans accompagnement. Elle semble indépendante et autonome du reste de l’orchestre. Elle est comme en suspension dans l’air ( Jouer la mélodie au piano (exemple 1) La mélodie est ensuite jouée une 2e fois (mais cette fois-ci accompagnée) ( Rejouer la mélodie au piano Lorsque les choses sont dites 2 fois, le temps ne s’écoule plus de la même manière car toutes les directives du temps qui nous emmène d’un point à un autre est comme clos sur lui-même

œuvre. C’est un événement politique. Ce qui a motivé Barbara pour aller chanter en Allemagne c’est un Allemand du nom de Gunther Klein qui lui a proposé de venir faire un concert en Allemagne mais Barbara accepta a la seule condition : qu’elle est un piano à queue lorsqu’elle y sera. b) Artistique Cette œuvre appartient au courant artistique du remerciement, de la réconciliation. La personne qui a pu influencer sur son parcours est : L’allemand Gunther Klein (qui lui a proposé de venir à Göttingen)

Roberto Fonseca (1975) piano Site de l'artiste : http://www.robertofonseca.com/fr/all-news/ Musicien de Jazz né à La Havane en 1975. Depuis son plus jeune âge, Roberto Fonseca a été bercé par la musique. Son père était batteur ; sa mère, Mercedes Cortes Alfaro, chanteuse professionnelle. Quant à ses deux demi-frères - Emilio Valdés (percussions) et Jesùs «Chuchito » Valdés Jr. (claviers) - ils sont eux aussi des musiciens. Roberto Fonseca a fait ses études au prestigieux Institut Supérieur

Le boogie-woogie est le deuxième style pianistique qui se développe dans les années 1920. Le boogie est une forme de blues joué au piano; sa caractéristique est une ligne de basse très accentuée, répétée en boucle, jouée à la main gauche pendant que la main droite improvise librement en utilisant toute une variété de rythmes. Le boogie devient très populaire dans les années 1930 et 1940. Les plus grands pianistes de boogie sont Meade Lux Lewis (1905-64), Albert Ammons (1907-49), Pete Johnson, et

un cor anglais, 2 clarinettes, une petite clarinette, une clarinette basse, 2 bassons, un contrebasson, 8 cors, 6 trompettes, 6  trombones, un tuba, percussions (triangle, caisse claire, grosse caisse, cymbales, wood-blocks), xylophone, 2 harpes, piano et un minimum de 16 premiers violons, 14 seconds violons, 12 altos, 10 violoncelles et 8 contrebasses. (110 instruments a peu près) http://www.youtube.com/watch?v=GZhLJ4dPPsY (35’ a 35’35’’) Pour montrer la grandeur de la symphonie. Chostakovitch