René Magritte Le Temps Traversé

supériorité du beau artistique sur le beau naturel. Afin d’étayer son propos, Hegel commence, dans une première partie, par exposer la thèse du sens commun, tout en dégageant implicitement ses limites (I). Cette critique lui permet, dans un second temps, de renverser le point de vue de l’opinion courante pour énoncer sa propre thèse, l’argumentation du passage reposant sur une valorisation de l’esprit au détriment de la nature (II). Il annonce par là même les tendances les plus audacieuses de l’art

1. Art conceptuel 2. Performance 3. Postmodernisme IV. L’IMMATERIALITE DE L’ART. Que reste-t-il de l’art quand il n’y a plus rien à voir ? 1. Ecran/ Psychanalyse 2. L’Esthétique relationnelle 3. Temps et Art BIBLIOGRAPHIE Aristote, Poétique Arrasse, On n’y voit rien Barthes, La chambre claire Bourriaud, Esthétique relationnelle Didi-Hubermann, Ce que nous voyons, ce qui nous regarde Foucault, Les mots et les choses Francastel, Etude sociologique

NICEPHORE NIEPCE (origine de la photographie) Né en 1765, issu d’une famille aisée ce qui lui permis de consacrer une grande partie de son temps à des expériences scientifiques (première chambre noire etc.). Par ses recherches, il espérait trouver un moyen imagé de  communication à grande échelle afin de multiplier les épreuves et fixer l’image en permanence. Description : Vue du paysage au départ de la fenêtre du cabinet de travail de Nicéphore Niepce, de la maison du Gras en Bourgogne. à

ce que les sens humains peuvent percevoir. Il est donc lié à la conscience. Cependant, l'imperfection des perceptions, maintes fois démontrée, ainsi que celle des représentations du sens commun obligent à ne pas en rester là. Les philosophes tels René DESCARTES (Principes, I, x) ou Baruch SPINOZA (Ethique, I, définition 3) éprouvant cette difficulté en ont fait une notion première2. 2 F. ALQUIE, Encyclopédie Universalis, C19 p. 590 1.1.1.2 L'existence du réel Devant ces difficultés de

rédigé par des professeurs d’universités différentes, pour l’exposition universelle, on trouve l’argent pour publier un ouvrage assez important, illustré, de littérature belge. Premier roman écrit sur la littérature belge, c’est assez tard dans le temps. * Son prédécesseur est le Patria belgica, en 1880, pour les 50 ans de la Belgique. Donc il faut des évènements historiques et politiques pour avoir l’argent pour publier des ouvrages sur la littérature. De quoi y parle-t-ton ? Objet qui va

suivre tel quel. Il demande, en fait, à être adapté par chacun en fonction de son emploi du temps, de son tempérament, de ses objectifs et des besoins de ses élèves, surtout en ce qui concerne les corrigés proposés.. Les liens Internet mentionnés le sont à titre indicatif. Il en est d’autres qu’il appartient à chacun de trouver et d’exploiter. D’ailleurs ces mêmes liens peuvent avoir disparu entre temps de la toile où ils ne figurent souvent qu’à titre provisoire. Les travaux proposés ci-dessous

"Manifeste du Surréalisme". Parmi les écrivains surréalistes, on peut citer Paul Éluard (1895-1952), Philippe Soupault (1897-1991),Antonin Artaud (1896-1946) ou encore Georges Bataille (1897-1962). Parmi les peintres, citons Max Ernst, Salvador Dalí, René Magritte et Juan Miró. Sur le plan de la poésie les surréalistes héritent en droite ligne de Guillaume Apollinaire, précurseur en poésie. Son œuvre, souvent lyrique, s’inspire aussi bien d’éléments prosaïques (la vie à la ville, les épisodes de la guerre)

à la peinture descriptive. En ce sens son admiration pour les grands maîtres de la Renaissance italienne ne le bride nullement pour explorer avec une solide formation classique les arcanes de l’inconscient, comme bon nombre d’intellectuels de son temps marqué par la psychanalyse freudienne, les recherches en tous genres générées après le traumatisme de la Première guerre mondiale. Grand technicien classique du trait et de la peinture réaliste, Dalí va la détourner complètement en mettant sans cesse

une curiosité d'autodidacte (doublée d'un goût précoce pour la bibliophilie, né de son amitié pour le relieur Jules Gonon). Il se familiarisa ainsi avec la littérature et la poésie, étant d'abord influencé par les poètes unanimistes (Jules Romains, René Arcos, Georges Duhamel, Charles Vildrac) qui étaient animés d'un même esprit de solidarité avec l'ensemble des êtres humains. Très vite, il commença à écrire, et publia, à compte d'auteur (grâce à l'aide financière de son père), sous la signature

surréalisme, prête, on le voit, à contestation, et si je puis être tenu pour partiellement responsable de cette impropriété, c'est que l'écriture « automatique » ou mieux « mécanique » comme eut voulu Flournoy, ou « inconsciente » comme voudrait M. René Sudre, m'a toujours paru la limite à laquelle le poète surréaliste doit tendre, sans toutefois perdre de vue que, contrairement à ce que se propose le spiritisme : dissocier la personnalité psychologique du médium, le surréalisme ne se propose rien