Réparation de l'ADN

les virus contiennent bien un acide nucléique, de l’ADN ou de l’ARN, mais pas les deux (sauf le mimivirus, évoqué plus haut), à la différence des cellules vivantes. Au cours des dernières années, des entités intermédiaires ont été découvertes : le mimivirus, infectant une amibe, possède dans son génome 1 200 gènes (davantage que certaines bactéries). Certains de ces gènes participeraient à la synthèse protéique et à des mécanismes de réparation de l’ADN12. Il existe chez le mimivirus une trentaine

point de restriction, une sorte de point de non-retour à partir duquel le cycle est irréversiblement engagé et l’entrée en division ne dépend plus de la présence des facteurs mitogènes. La phase G1 est préparatrice à la phase S au cours de laquelle l’ADN est répliqué. La phase G2 précède la phase M, ou mitose, au cours de laquelle les chromosomes dédoublés sont répartis dans les deux cellules-filles, grâce au fuseau de division (planche I). Cette phase M est classique- ment découpée en cinq périodes

lipidique Dans le système nerveux périphérique, elle intervient dans la mobilisation ,la redistribution des lipides,  à l'entretien et au remodelage des membranes neuronales sur le site des connexions entre les ​ s​ ynapses et les  dendrites  lors des phénomènes de croissance et de réparation des cellules nerveuses responsable du  transport du cholestérol dans le cerveau intervenant dans la régénération synaptique., L'apolipoprotéine E est  muté. Il existe trois formes du gène de cette protéine (epsilon 2,3 et 4) : la forme epsilon 4 du gène multiplie par 

 Fonctions des organites *** Les cellules ont tous les mêmes organites sauf les globules rouges qui n'ont pas de noyau. La cellule est l'unité de base de tous les vivants. Noyau (contient l'ADN): Contient et protège l'information génétique et contrôle la cellule. Nucléole: Petit corps sphérique qui se retrouve dans le noyau. («nourriture du noyau», parfois, une cellule peut en avoir 2) Membrane nucléaire: Délimite et protège le noyau, permet certains échanges avec le reste de la cellule. Cytoplasme:

cultures et des animaux. Ceux-ci ont sélectionné des organismes individuels présentant des caractéristiques avantageuses et ont développé des cultures hybrides. De nouvelles méthodes ont été mises au point depuis la découverte de la structure de l’ADN en 1954. On peut par exemple produire des antibiotiques avec des micro-organismes et modifier le matériel héréditaire des plantes afin de les rendre plus résistantes aux organismes nuisibles ou aux maladies 2. Comment les biotechnologies peuvent-elles

Compétence 4 : UE 2.1.S1 Intro : Plusieurs $ semblabement différenciées forment un tissu. L'ADN confère à chaque $ son code pour fonctionner. Il existe différents types de tissus en fonction des éléments qui le constitue. Etude des tissus = Histologie Certains tissus différents peuvent se regrouper pour former un organe ( ex : intestin = tissu musculaire + tissu nerveux + glandulaire => Fonction de digestion ) I)Tissu épithélial : Cf p.11 = épithélium => Ensemble de $ serrées les une

« victime ». Il se traduit par de nombreuses altérations au niveau de l'épiderme : à l'échelle de la cellule, apparition de sunburn cells, ou cellules brûlées, et oedème intercellulaire ; à l'échelle moléculaire, altération des systèmes de réparation de l'ADN, inhibition passagère de la synthèse d'ADN épidermique, etc. On a également mis en évidence des altérations du système immunitaire qui pourraient expliquer l'apparition de cancers cutanés. Car la photocarcinogénèse est une conséquence à long

aromatiques polycycliques tels que le benzo(a)pyrène et les nitrosamines. Il se forme des adduits à l’ADN comme des pontages qui déstabilisent la protéine et dérèglent la lecture du code génétique lors de la division cellulaire. Lorsque les gènes suppresseurs de tumeurs sont débordés ou invalidés par mutation, la cellule entre en apoptose (mort cellulaire génétiquement programmée). S’il n’y a ni réparation, ni apoptose, alors les lésions persistent au cours des divisions cellulaires, et les mutations

réagir avec les bases azotées de l'ADN cellulaire et les modifier. Pour éviter la transmission et l'accumulation de mutations, il existe des systèmes de réparation de l'ADN. Un des mécanismes mis en jeu implique des glycosylases qui hydrolysent la liaison entre la base modifiée et le desoxyribose de l'ADN pour éliminer les bases modifiées et les remplacer. Des inhibiteurs de ces enzymes sont recherchés pour accentuer l'effet d'agents de modification de l'ADN utilisés en thérapie anti cancéreuse

            Facteurs génétiques / Hérédité  ­ Dans  un  nombre  extrêmement limité  de familles, la maladie d'Alzheimer est un trouble  génétique  dominant.  Les  membres  de  ces  familles  héritent  d'un  de  leurs  parents  la  partie  de  l'ADN  (programme  génétique)  qui  cause  la  maladie.  En  moyenne, la  moitié  des  enfants  de  personnes  atteintes  développeront  la  maladie.  Les  membres  de  ces  familles développent la maladie d'Alzheimer à un âge assez jeune, généralement entre