Reprises Nominales Et Pronominales

substantif femme et devient expressif car, il concède au substantif ‘femme’ une autre signification pleinement différente du sens premier qu’auraient donné ensemble les deux parties du discours lorsqu’une fois isolés du substantif ‘femme’. Le nominal ‘Sans trou’ ainsi employé et en rapport avec ‘femme’ a cessé de désigner, dans ce contexte précis, une simple cavité faisant penser à une dépression géographique localisable dans le sol. Ici, il a, à présent, une charge sémantique obscène.

vie conjugale ne pouvait qu’être rude ! 2. La cruelle réalité de la jeune femme mariée Car c’est désormais dans la « réalité » que doit vivre Jeanne : « Mais voilà que la douce réalité des premiers jours allait devenir la réalité quotidienne. » La reprise du mot « réalité » dans la même phrase, s’opposant à toute idée de rêve, insiste sur ce qui est désormais le lot de Jeanne : il lui faut renoncer à ses « songeries » pour vivre dans la « réalité ». De plus, celle-ci semble devoir se révéler de plus

vie conjugale ne pouvait qu’être rude ! 2. La cruelle réalité de la jeune femme mariée Car c’est désormais dans la « réalité » que doit vivre Jeanne : « Mais voilà que la douce réalité des premiers jours allait devenir la réalité quotidienne. » La reprise du mot « réalité » dans la même phrase, s’opposant à toute idée de rêve, insiste sur ce qui est désormais le lot de Jeanne : il lui faut renoncer à ses « songeries » pour vivre dans la « réalité ». De plus, celle-ci semble devoir se révéler de plus

faite, peut être considéré comme une métaphorisation ou personnification du séisme. La terre prend donc des attributs humains, tandis qu’à l’instance narrative sont appliqués des attributs telluriques : « [son] ventre » est caractérisé par une série nominale, faisant plutôt référence au centre de la terre qu’au corps. Il est assimilé au « feu du magma, sa lave, son terreau ». Nous retrouverons, d’ailleurs, cette image plus loin dans le roman. Aux pages 50-51, le « je » avoue : « Je suis attachée à ma

notion, il nous semble indispensable de faire un détour par la logique modale, dans laquelle la notion linguistique tire, après tout, ses racines. Du côté de la logique, deux conceptions de la modalité coexistent : (1) une conception restreinte, reprise à Aristote, selon laquelle les seules vraies modalités sont les modalités aléthiques, nommées aussi ontiques, et (2) une conception élargie, plus récente, qui, en plus des modalités aléthiques, pose aussi l’existence des modalités déontiques ou épistémiques

remarque faite à ce classement est qu’il est difficile de distinguer une complétive d’une relative. L’appellation de substantives évoque un rapport entre la proposition et le nom alors que le plus souvent c’est entre la proposition et le syntagme nominal. En ce qui concerne le classement fonctionnel, il s’agit du rôle et de la fonction que remplissent les subordonnées. Dans l’ouvrage La Grammaire Larousse du français contemporain on distingue les propositions sujet, attribut, objet… 1. Les complétives

l’autre : Raison ? (l. 16), Vous ?… Nous ?... (l. 23), Moi ? (l. 25). Le ton est polémique. 3. a. on n’avait pas le droit de dire le quart du début d’un mot (l. 2-3) => autorité masculine. vous aviez pris des décisions désastreuses (l. 4-5 ; idée reprise, l. 16-17), nouvelle décision, encore plus catastrophique (l. 11) => inconséquence masculine. b. Fonction critique : les paroles rapportées sont dures. Elles permettent également de rendre la critique plus vivante et plus réelle grâce au discours

avec l’un ou l’autre des pronoms personnels : je, tu, il, elle, nous, vous, ils, elles B: La forme pronominale Les verbes pronominaux sont ceux qui se conjuguent avec deux pronoms de la même personne. Le second pronom (me, te, se, nous, vous) représente le même être ou la même chose que le sujet. Ex. : Je me peigne. même personne Il se pose bien sur une table. même chose À la forme pronominale, les verbes se conjuguent avec l’auxiliaire être. Ex. : Il s’était trompé. C: La forme impersonnelle

note cinq sections d’égale longueur, encadrées par un épilogue qui répond à un prologue. À l’intérieur des sections, le thème de la peinture et du dessin domine, révélant l’influence des arts plastiques sur l’inspiration de Verlaine. À plusieurs reprises, Verlaine se réfère au monde de la peinture. Ainsi, les « Paysages tristes » suggèrent un certain type de tableau, tandis que « les Caprices » font penser aux dessins du peintre espagnol Francisco de Goya (1746-1828) qui a réalisé une série de Caprices

37 Français Le corrigé 2. La cruelle réalité de la jeune femme mariée Car c’est désormais dans la « réalité » que doit vivre Jeanne : « Mais voilà que la douce réalité des premiers jours allait devenir la réalité quotidienne. » La reprise du mot « réalité » dans la même phrase, s’opposant à toute idée de rêve, insiste sur ce qui est désormais le lot de Jeanne : il lui faut renoncer à ses « songeries » pour vivre dans la « réalité ». De plus, celle-ci semble devoir se révéler de