Reproduction dans le règne animal

| |nôtre.  | | | |D’ailleurs, le code n’est pas aussi universel que je le mentionnais. Certains animaux unicellulaires | | | |possèdent un code légèrement différent de celui des autres cellules (ils n’ont qu’un triplet indiquant  | | | |STOP, les deux autres correspondent à un acide aminé)

l’ambition personnelle et uniquement personnelle. Aussi il faut être hypocrite, constat : cynisme et hypocrisie. Epouser l’impureté. Raisonnement plus proche de Sade que de Socrate. Comparaison avec des animaux (poème du chien et du loup). Flatte Rastignac, comparaison avec animaux manifeste que société est règne des plus forts, légitimer les ambitieux comme pouvant exercer leur force à juste titre dans la société. Vautrin c’est leçon du cynisme, de l’opportuniste, n’invite pas à la révolte. Double dénouement :

l’ordre naturel est premier et nécessaire. Interrogeons nous maintenant sur cet ordre naturel pour savoir ce qu’il est. L’ordre naturel n’est ni plus ni moins que le pur règne de la force (c’à d que la nature devient ici une totalité d’états physiques, de relations de fait). Dans cet ordre naturel, le plus fort règne et accumule les possessions au détriment de ceux qui sont physiquement plus faibles. C’est là ce qui constitue aux yeux de Calliclès ce droit de la nature : citons le « Il est

Frankenstein (1818), racontant la création, par un savant, d’un être à l’apparence humaine mais aux passions animales, qui inaugura un courant fécond d’œuvres, où la frontière rassurante tracée par la raison, entre la science et la magie représentant l’impossible, l’homme et dieu, devient floue, voire inexistante. Dans Cœur de chien, le professeur, Philippe Philippovitch Transfigouratov, greffe sur un animal, l’hypophyse d’un être humain. Et c’est ainsi qu’au fil des pages, l’animal, se métamorphose en un

pas la question non plus de la légitimité du pouvoir ! D’où la pertinence de la remarque d’Antigone : “Quel rêve, hein, pour un roi, des bêtes !”. Cette remarque met par ailleurs en évidence les dangers d’une pensée qui tend à réduire l’homme à un animal, au lieu de fonder la politique précisément sur l’humanité et le consentement mutuel, raisonnable. Vieux débat, qui oppose par exemple Hobbes (L’homme est un loup pour l’homme, obligé de s’organiser pour survivre) à Rousseau (l’homme est naturellement

Yves Touchefeu : "Enjeux et formes de la parole comique dans La Paix d'Aristophane." Reproduction et utilisation interdites sans l’accord explicite de l’auteur ou du C.R.U. Yves Touchefeu : Enjeux et formes de la parole comique dans La Paix d'Aristophane. Conférence prononcée au lycée Chateaubriand de Rennes le mardi 12 novembre 2002. Mise en ligne le 9 décembre 2002. Yves Touchefeu est professeur agrégé de lettres en classes préparatoires au lycée Gabriel Guist'hau de Nantes. © : Yves Touchefeu

La signification des techniques : enlever DES IMAGES TRÈS DIVERSES -Grandes catégories : humains, animaux, objets, signes géométriques et autres. -Peu de paysages. Des thèmes universaux : Motifs généraux que constituent les représentations animales et humaines pas dans cette catégorie. On s’en tient aux cupules, aux empreintes de mains et de pieds humains aux empreintes animales et aux signes. Cupule : en général associé au sexe féminin et à la fécondité Mains négatives ou positives

c'est en quelque sorte le manque de discernement. Le non conscient est tous ce qui ne pense pas mais l'inconscience est une forme de penser humaine II/ Peut on penser sans en avoir conscience ? La sensation est une penser lier au corps les animaux pense alors mais d'une penser non consciente mais seulement si l'on considère que l'animal ce sens penser deux considération possible il les vie sur le moment ou il les sens . L'animal est incapable de ce genre de réflexivité , il sens sous une forme

SAVOIR-FAIRE 1re PARTIE : Parenté entre êtres vivants actuels et fossiles – Phylogenèse – Evolution La notion d’évolution Les relations de parenté entre les Vertébrés – L’établissement de phylogénies La lignée humaine – La place de l’Homme dans le règne animal 2e PARTIE : Stabilité et variabilité des génomes et évolution Les innovations génétiques Les innovations génétiques et l’évolution des espèces Méiose et fécondation participent à la stabilité de l’espèce Méiose et fécondation sont à l’origine

dont la morphologie simple inclut un orifice débouchant sur le monde, à la fois bouche et anus, le vivant n’est que cette synthèse entre l’absorption, l’assimilation et le rejet. Il n’est guère possible d’imaginer la naissance des formes primitives, animales, de fonctionnement mental comme distinctes de la perception du manque, de l’incomplétude du sujet, de la recherche de l’objet qui bouche la béance du besoin, et donc de cette détermination négative de l’ouverture au monde. Le manque à être n’est