Républicanisme

prône le parlementarisme et le débat et le compromis sont érigés en règle de conduite. REEMERGENCE DE DEUX UTOPIES : L’IDEE REPUBLICAINE ET LE SOCIALISME. Le républicanisme : Le républicanisme se définit par une soif d’égalité et de justice. Il rejette le despotisme et l’arbitraire au profit d’un système méritoire. Le républicanisme est fondé sur la nostalgie de la révolution et le rejet de toute forme de monarque. Le socialisme : Le socialisme remet en cause le libéralisme économique, les

révolutionnaire. On l'accuse également d'avoir plagier les auteurs républicains. Il tire ses caricatures dans celles d'Alfred Le Petit. Il publiera des poèmes dans La Charge, un journal républicain. A cette époque la caricature était synonyme de républicanisme révolutionnaire. Dans la littérature républicaine on utilise la scatologie. Rimbaud fait une caricature politique mais aussi une caricature de moeurs par rapport à la société dans laquelle il vit. Ainsi pour Rimbaud il y a une lutte de classe

des habits chaud confectionnés par les petites filles à la demande des instituteurs. Car pour les autorités, le premier vecteur de propagande infantile est l'école. Contextuellement, le monde scolaire français depuis 1870 est bien imprégné de républicanisme. On peut rappeler à ce titre la création des bataillons scolaires en 1882 qui avait pour but d'inculquer « le sacrifice suprême dans les luttes où peuvent être engagés les intérêts de la patrie ». Il ne fut donc pas compliqué pour les autorité

constitutionnelles : Le Conseil Constitutionnel. C’est le Titre 7 (Art.56-63) de la Constitution. Il vérifie la constitutionnalité des lois. Pourquoi l’a t-on mis en place ? La démocratie représentative, dans sa version influencée par le républicanisme Rousseauiste accorde la prééminence au pouvoir législatif. Et donc l’assemblée des représentants est considérée comme une émanation de la volonté générale de la souveraineté populaire. D’une certaine manière leur pouvoir est considéré comme le

fallait réformer la manière de faire de la géographie pour la rendre plus pratique, et donc plus populaire pour le soutien à l’expansion coloniale. Il devient alors nécessaire pour populariser ses idées que le parti colonial – ayant épousé le républicanisme – valide une idéologie à l’intérieur des frontières. Les valeurs républicaines de liberté, d’égalité et de fraternité entre les peuples sont invoquées. Les conditions pour une idéologie – catégorie sociale, interprétation du monde, points de vue

1892, il lutte au côté des mineurs pour dénoncer les patrons qui renvoient un ouvrier devenu maire de la ville. JEAN JAURES Homme politique et socialiste français (3 septembre 1859 à Castres- 31 juillet 1914) Des études brillantes et un républicanisme précoce : Issu d’une famille de la modeste bourgeoisie provinciale, avec quelques brillantes carrières (deux cousins amiraux dont l’un deviendra ministre de la marine), Jules Jaurès, le père de Jean, petit paysan et son épouse Adélaïde Barbaza

internationale -initialement appelée Association Internationale des Travailleurs- marque un tournant dans le mouvement socialiste en général, en unifiant les prolétaires au-delà des nations, et en marquant la rupture du mouvement socialiste d'avec le républicanisme. Réunie en 1864 à Londres, elle laisse une large une large représentation aux socialistes libertaires, menés par Proudhon et Bakounine. En 1872, une scission entre « autoritaires » et « libertaires » met fin à cette première internationale, le

Parisiens sont méfiants envers l'assemblée élue en février, où les deux tiers des députés sont des monarchistes de diverses tendances ou des bonapartistes. Comme l'écrit Jean-Jacques Chevallier, « la Commune était l'expression, chez ses meneurs, d'un républicanisme ultra rouge, antireligieux, jacobin, prolétarien, fouetté par la haine pour cette assemblée monarchiste4. » Certains historiens voient encore d'autres facteurs dans son déclenchement, notamment Jacques Rougerie qui souligne le rôle de la révolution hausmannienne et

politique et se rallie à la Monarchie de juillet mais échoue à la députation. Il voyage alors en Orient visite la Grèce, leLiban et les lieux saints du christianisme. En 1833, il est élu député et le restera jusqu'en 1851 : il évolue du royalisme au républicanisme et prononce des discours remarqués. Il joue un rôle important au moment de la Révolution de 1848, proclamant la République ; il est pendant trois mois chef du gouvernement provisoire, mais se retire de la politique après sa lourde défaite, n'obtenant

politique et se rallie à la Monarchie de juillet mais échoue à la députation. Il voyage alors en Orient visite la Grèce, le Liban et les lieux saints du christianisme. En 1833, il est élu député et le restera jusqu'en 1851 : il évolue du royalisme au républicanisme et prononce des discours remarqués et joue un rôle important au moment de la Révolution de 1848 mais il se retire de la politique après sa lourde défaite lors de l'élection présidentielle qui porte au pouvoir Louis Napoléon Bonaparte en décembre