République sociale italienne

contexte favorable à la prise du pouvoir par des dirigeants autoritaires - une situation économique désastreuse : des destructions gigantesques, un endettement colossal encore alourdi, pour les vaincus, par les réparations de guerre - une situation sociale dramatique : misère, chômage, inflation, rationnement alimentaire - des sentiements nationalistes exacerbés et entretenus par le monde des "anciens combattants" - des habitudes de violence ancrées : la "brutalisation des sociétés" - des rancoeurs

une conception anthropomorphique de la religion. Elle repose juridiquement et socialement sur une structure patriarcale. L’adoption occupe une grande place. Les plus anciennes familles de Rome occupent une place essentielle dans la vie politique et sociale et entourent le Roi en formant le Sénat qui a une participation dans la désignation du roi qui décidait du calendrier, des jours fastes et néfastes. La guerre occupe également une place importante. Le clivage entre Patriciens (anciennes familles)

* La poursuite de la NEP, nouvelle politique économique jusqu'en 1928. C'est un retour partiel et provisoire au capitalisme décidé en 1921 par Lénine en considération de la situation économique catastrophique. Elle est accompagnée d'une détente sociale. Le parti se divise sur le bien-fondé de cette politique. Ainsi Trotski penche pour une industrialisation rapide financée par des prélèvements massifs sur les paysans alors que Boukharine veut soutenir l'agriculture. * Le programme de développement

Situation de crise L'Allemagne est elle frappée par le retrait des capitaux américains, l'effondrement de son système bancaire et subit de plein fouet le contre-coup du krach de Wall Street (6 millions de chômeurs). Crise économique et sociale : en Allemagne, la République de Weimar est discréditée et la politique d'austérité qu'elle mène mécontente la population. L'arrivée au pouvoir En Allemagne. Hitler, soldat démobilisé transforme le Parti ouvrier allemand en Parti national-socialiste des travailleurs

par la Triple Entente, des terres « irrédentes » en cas de victoire mais qui après 1918 n’ont jamais était donné. Ou encore l'irrédentisme italien qui est un mouvement d'opinion, défendu par divers groupes et diverses associations, et qui réclamait l'intégration dans le royaume d'Italie de tous les territoires sous domination étrangère habités par des Italiens ou qui ont fait partie d'un des États pré-unitaires. Ces exemples font donc parties des problèmes ethniques et politiques mais ils ne sont

aussi bien leur quotidienneté que leurs fantasmes. » Michel Ragon - L’homme et les villes (1995) 1 SOMMAIRE INTRODUCTION I.De l'Antiquité à la Renaissance : rationalisation et quête d'une république idéale 1) Le plan hippodamien 2) La ville romaine de Timgad (Algérie) 3) L'humanisme italien et l'importance de l'esthétisme II. L'âge classique: entre urbanisme et socialisme utopique 1) Claude Nicolas Ledoux: la Saline royale d'Arc-et-Senans 2) Etienne Cabet: une conception nouvelle

de similitudes entre 3 systèmes politiques qui ont marqué l’histoire du XXe s. : le régime fasciste italien (1922-1943), le régime national-socialiste – ou nazi – allemand (1933-1945) et le régime communiste soviétique (1917-1991), surtout pour ce dernier durant l’époque où Staline le dirige (1924-1953). ● L’adjectif « totalitaire » est utilisé pour la première fois en 1924 par le libéral italien Giovanni Amendola pour dénoncer le fascisme, ses pratiques violentes et son emprise sur la société. Le

En 1826, il écrit son premier essai littéraire Dell’amor patrio di Dante, publié l'année suivante. Après des études de droit et une licence de philosophie en 1827, Mazzini commence à affirmer, contre le pouvoir en place, que la « patrie d’un Italien n’est ni Rome, ni Florence ou Milan, mais l’Italie tout entière ». Il adhère à la charbonnerie, une association secrète à objectifs politiques, pour conforter ses idées et mettre en place un plan d'action. Mais il est poursuivi par la police piémontaise

A l’époque de Galilée, l’influence de l’Eglise est omniprésente il est donc très difficile de faire accepter des idées scientifiques qui contredisent les messages que font passer l’église. Au début du 16ème siècle, une bonne partie des Etats italiens sont occupés et entrent dans les mêmes conflits que l’Espagne ou la France, pour la lutte de la domination de l’Europe. L’Italie entre alors en guerre mais est rapidement dominée par l’Espagne qui exercera pendant plus d’un siècle et demi une domination

l’Europe, de mettre en place le « concert européen ». Les grandes puissances se donnent le droit d’intervention pour maintenir l’œuvre de Vienne, elles s’entendent pour surveiller la France, « la caverne d’où sort le vent qui souffle la mort sur le corps social » ( MetteRnich). Le but est de se concerter, de se réunir, de discuter sur les tensions ( en français, langue de la diplomatie européenne ), mais surtout de contrôler l’idée d’État-Nation et contrôler l’aspiration à l’unité ou à l’indépendance. Ainsi