Requisitoire Voltaire

XVIII siècle, conformément à l’esprit des Lumières, ils ont surtout vocation à provoquer une réflexion chez le lecteur et à dénoncer toutes formes d’injustices. L’esclavage est une des injustices majeures de ce siècle et a été également critiquée par Voltaire dans Candide et par Montesquieu dans De l’esprit des lois. Nous allons voir dans ce texte que derrière l’apparente démonstration logique qui chercherait à convaincre le lecteur, se trouve une virulente condamnation de cette pratique inhumaine. I

repérables : L'anaphore de « j'accuse » permet de dénombrer huit accusations. La division de cette première partie du texte en paragraphes, chaque paragraphe correspondant à une cible différente. 3) Zola exprime les valeurs qui sous-tendent son réquisitoire : Cela correspond à la seconde partie du texte étudié. De façon métaphorique le plus souvent, Zola laisse transparaître les valeurs au nom desquelles il ose remettre en cause une décision de justice. Le paragraphe allant de « Je n’ai qu’une

homme de Dieu atténue ses propos afin que la religion ne soit pas bafouée et qu'elle serve un bon chrétien. Néanmoins, ce ne sont pas que les idées des jésuites qui sont présentes dans ce texte, mais aussi celle de Voltaire. Ici, le pere Tout-a-tous représente les jesuites. Voltaire va donc, à travers ce personnage, procédé à une critique des jésuites. Effectivement, le père Tout-à-tous incarne non seulement, la caricature malfaisante pronant le fanatisme et l'intolérance, il est le vice et le mal

Pb? Candide ne fait rien pour le nègre. Pas de solution au problème du mal? ConclusionLa force du conte philosophique: Récit intègre des éléments descriptifs qui permettent au lecteur de "voir" la scène (vocabulaire concret, actions). Voltaire évite le réquisitoire théorique, joue sur les ressorts dramatiques d’un récit vivant. La portée critique du texte: une dénonciation qui passe par des procédés d’écriture qui font réagir le lecteur et mettent en jeu sa sensibilité et sa raison. | Distorsion

l'argumentation, l'apologue. QUESTION (4 points) Quels liens pouvez-vous établir entre le conte intitulé « Aventure indienne » (Document A) et l'article « Torture » extrait du Dictionnaire philosophique de Voltaire (Document C) ? Appréciez les différences de registre littéraire entre ces deux textes de Voltaire. * Vous traiterez, au choix, l'un de ces trois sujets (16 points) Sujet 1 : Vous ferez le commentaire littéraire du récit « Aventure indienne » depuis « Il avança avec la foule jusqu'à la place

38 pièces de théâtre, 7 romans, et de nombreux essais et article. Dans le combat idéologique qui oppose les Anciens aux Modernes,il est partisant des Modernes. En 1721, il fonde le journal « le spectateur français » et en 1742, il est élu, contre Voltaire, à l'Académie Française. Il aime la forme spontanée et fantaisiste du jeu des Comédiens Italiens, dont il s'inspire. La Colonie est une comédie sociale d'un seul acte et de 18 scènes, écrit en proses. Une comédie sociale est une comédie où les

siècle, dont on connaît aussi Guy de Maupassant avec par exemple, le roman Bel-Ami. Emile Zola est connu pour sa littérature mais aussi pour s’être mêlé de justice en soutenant le capitaine Dreyfus, accusé à tort d’espionnage. 100 ans auparavant, Voltaire était aussi intervenu dans la justice avec l’affaire Calas. Pour en revenir à L’Assommoir, ce roman fait partie des Rougon-Macquart, recueil regroupant 20 volumes et suivant une famille durant 4 générations. Ce recueil porte comme sous-titre Histoire

ne fait rien pour le nègre. Pas de solution au problème du mal ? Conclusion La force du conte philosophique : Récit intègre des éléments descriptifs qui permettent au lecteur de " voir " la scène (vocabulaire concret, actions). Voltaire évite le réquisitoire théorique, joue sur les ressorts dramatiques d’un récit vivant. La portée critique du texte : une dénonciation qui passe par des procédés d’écriture qui font réagir le lecteur et mettent en jeu sa sensibilité et sa raison. Distorsion

La justice est critiquée par la distance entre l’accusé et le portrait de l’accusé fait par le procureur. Le point de vu interne de cet extrait nous permet de comprendre le point de vue de Meursault et de pouvoir ressentir le décalage entre le réquisitoire et l’accusé. « Comme il le disait lui même » prouve encore une fois que le portrait qui est fait de lui ne lui correspond pas, et qu’il ne s’y reconnaît pas. Aux lignes 24à 36, il utilise le style indirect et il cite des expressions entre guillemets

et le fait que l'argumentation soit atténuée (permet éviter cencure, l'argumentation est indirecte donc plus facile à prendre...). Ensuite, tu vois les inconvénients de la fiction dont la lecture au 1er degres (ce qui est courant à la lecture de Voltaire, maitre en matière d'ironie, par exemple lorsqu'il fait dans Candide une description valorisante de l'armée lors de la guerre Abbares/Bulgares alors qu'il s'agit d'une critique de la guerre). Ensuite, lorsqu'il y a argumenation directe, c'est plus