Résidentialisation

Accession à la propriété (en ZUS) TOTAL LOGEMENTS Outils d’interventions sur l’habitat PRU de Meaux: réhabilitation Réhabilitations réalisées: - la réhabilitation de 143 logements sociaux, - la confortation de 3 121 logements sociaux - la « résidentialisation » de 1 983 logements sociaux: 11 immeubles résidentialisés. Réhabilitations en cours*: - Résidence Charcot ( SAIEM): 340 logements - Parc Joffre (SAIEM): 190 logements (hors ZUS) *Il s’agit des logements qui font l’objet de conventionnement

rurbanisation a eu et continue d'avoir plusieurs conséquences, l'implantation d'un nouveau mode de vie dans un milieu initialement rural crée des conflits d'ordre sociologiques entre ruraux et rurbains, en plus des conflits entre activité agricole et résidentialisation. Aujourd'hui, plusieurs raisons amènent à penser que l'étalement urbain va ralentir sérieusement dans les prochaines année. En effet, la prise en conscience collective des problématiques liés à l'environnement, et la politique actuelle de

diversité sociale. Trois points sous tendent la démarche du grand projet de la ville (G.P.V.). Replacer les quartiers dans la dynamique urbaine Renforcer l’implication des habitants Développer la résidentialisation Etude socio-économique L’urbanisme à Rouen 68 Enfin, le développement de la résidentialisation constitue le troisième axe essentiel de la démarche. Il s'agit, avec l'implication des habitants et dans le cadre de sous-ensembles d'habitat identifiés au sein des quartiers, de traiter

plan de rénovation urbaine, avec comme priorité les micros-quartiers Louvain/Bruges. Dans l'ensemble de la ZUP, 4000 logements Batigère et 1300 logements MMH sont réhabilités sur les cinq ans. Parallèlement est mis en place un programme de résidentialisation et de ravalement de façades des 2500 logements en copropriété. Entre 2000 et 2004, ce sont les quartiers Étoile et Vand’Est qui connaissent des changements avec la déconstruction des bâtiments. Les transports D'après l'observatoire

Le projet de territoire adopté dans le cadre du GPRU identifie trois secteurs d’intervention (Porte Montmartre, Porte de Clignancourt, Porte des Poissonniers). Sur l’ensemble des secteurs, des opérations de démolition, de reconstruction, de résidentialisation et de requalification des espaces publics sont en cours (ou à l’étude). Exemple sur la Porte Montmartre : recomposition globale du l’îlot Binet après la démolition de la Tour Montmartre et des équipements publics existants. Le quartier de la

faudra construire 250 000 logements locatifs sociaux, soit par la production de logements neufs, soit par la remise sur le marché de logements vacants, y compris dans les ZUS et dans leurs agglomérations. Il prévoit aussi la réhabilitation et la résidentialisation de 400 000 logements, contre la démolition de 250 000. Borloo pousse les collectivités, sur les ZUS lors de la destruction d’un logement, on en construit un et en réhabilite un (le un, pour un, pour un.) Un programme de 6 milliards d’euros est

Les Baux ». Une opération de reconstruction des logements individuels et semi-collectifs à cet endroit (actuellement suspendue à cause du Plan de Prévention des Risques d’Inondation de la Durance). La mise en œuvre de la réhabilitation et la résidentialisation des groupes HLM autour de la place Rameau. L’aménagement de l’avenue Monclar et la reconstruction du Collège Paul Giéra. Parallèlement un Plan de sauvegarde (copropriété Athénée) est à l’œuvre depuis 2004. Dans le cadre du Programme de Renouvellement

rénovation urbaine portant sur la période 2005-2008 sont signées, elles concernent 78 ZUS et 18 quartiers dérogatoires. Elles prévoient la démolition de 30 044 logements sociaux, la construction de 27 316, la réhabilitation de 53 669 et la résidentialisation de 50 155. Sont ainsi programmées, la démolition de 9 % des logements existants dans ces 78 ZUS et la réhabilitation de 17 %. Le volume des constructions représente 91 % des démolitions. L’ANRU n’est pas aujourd’hui en mesure d’indiquer le

maritime et au centre-ville et à le réintégrer dans l'agglomération, avec la mise en place d'un TCSP. Ce programme de rénovation urbaine comprend la construction de près de 800 logements (dont 50 % sociaux) pour 70 000m² de SHON, ainsi que la résidentialisation de la quasi-totalité du parc social (1 139 logements). Il s'agit de transformer un quartier défavorisé en le réintégrant dans la trame urbaine par des opérations de réhabilitation de logements, de requalification des espaces publics, de construction

implantés regroupe une majorité de l’habitat social de la commune. L’OPAC est propriétaire d’une grande partie de ce parc. Le quartier est classé en ZUS et fait l’objet d’une réhabilitation dans le cadre de l’ANRU. En lien avec les opérations de résidentialisation et dans le but de prendre un contrôle des parties communes pour réduire le sentiment d’insécurité des locataires il a été décidé de mettre en place un dispositif de vidéoprotection. La délinquance et les problèmes rencontrés dans ce quartier