Résidu

directe. Montrer qu’alors f est une fonction enti`re, et qu’elle ne e peut avoir de singularit´ essentielle ` l’infini. En d´duire que c’est un polynˆme, et que ce polynˆme e a e o o est de degr´ 1. e CHAPITRE V ´ ` ´ LE THEOREME DES RESIDUS Dans ce chapitre, nous d´finissons les r´sidus, d´montrons le th´or`me qui porte leur nom et en e e e e e donnons quelques applications au d´nombrement des z´ros et pˆles des fonctions et ` des calculs e e o a d’int´grales. e V.1. Le

1/09/08 c’est que l’UE impose que les denrées alimentaires produites ou importées dans un Etat membre soient plus sûres pour l’ensemble des consommateurs. Des valeurs identiques danstous les Etats membres pour les limites maximales applicables aux résidus des pesticides (LMR) ont décidé et cela supprime aussi les 27 listes de LMR nationales qui étaient une source de confusion. Cenouveau règlement couvre 1100 pesticides utilisés dans l’agriculture. Dorénavant, la Commission Européenne met à disposition

moisissure et la pourriture des fruits et des légumes L’un des fongicides les plus utilisés au monde Présent dans les agrumes, les pommes, les poires et les bananes choix de la matrice d’étude : les fruits Toxique et écotoxique LMR (Limite Maximale de Résidus): 5 µg/g (législation européenne) 2-(4-Thiazolyl)benzimidazole 3 Introduction : le cycle de vie 5 étapes • • • • • Production Transport Stockage Utilisation Recyclage 4 www.cg66.fr/environnement/pesticides/danger.html Plan I . Méthode

2nd World Conference on Biomass for Energy, Industry and Climate Protection, 10-14 May 2004, Rome, Italy PELLETS IN SOUTHERN EUROPE. THE STATE OF THE ART OF PELLETS UTILISATION IN SOUTHERN EUROPE. NEW PERSPECTIVES OF PELLETS FROM AGRI-RESIDUES Authors Fulvio Passalacqua*, Corrado Zaetta, ETA-Renewable Energies, Piazza Savonarola 10, 50132 Florence, Italy, Tel. +39 055 500 2174, fulvio.passalacqua@etaflorence.it Rainer Janssen, Maurice Pigaht, WIP-Munich, Sylvensteinstr.2, 81369 Munich, Germany

/*stockage des résidus*/ proc reg data=DMSTAT.Ue2score1; model ScoreHygienoM24=Sexe; output out=res_sex r=residu p=ypredi; run; proc reg data=DMSTAT.Ue2score1; model ScoreHygienoM24=Agei; output out=res_Agei r=residu p=ypredi; run; proc reg data=DMSTAT.Ue2score1; model ScoreHygienoM24=NivEtud; output out=res_NivEtud r=residu p=ypredi; run; proc reg data=DMSTAT.Ue2score1; model ScoreHyienoM24=IMCi_25 IMCi_2527 IMCi_2730 IMCi_30; output out=DMSTAT.res_IMCi r=residu p=ypredi; run;

préconisent d’effectuer un diagnostic du modèle pour savoir si le modèle choisi est bien spécifié, ce que l’ont appelle dans le jargon économétrique la validation du modèle. Cette validation se réalise via une série des tests statistiques sur les résidus. 1- Test de redondance Après avoir estimé un modèle ARMA, on vérifie que les polynômes d’opérateur de la partie AR et de la partie MA ne possèdent pas de racine commune. Lorsque c’est le cas, on dit qu’il y a redondance et les cœfficients estimés

hydrogène ne contribue que pour 12Kj/mol en moyenne a l’énergie de stabilisation de la structure d’une protéine mais le nombre des liaisons H dans une protéine est très élevé. Par exemple, dans les hélices 5 les groupes C=O et N-H de chacun des résidus participent a des liaisons H. L’importance des liaisons hydrogène dans la structure des protéines ne saurait être surestimée. 2/-LES INTERACTION HYDROPHOBES : Les liaisons hydrophobes, ou plus précisément, les interactions apparaissent

AUGCCCGCUAAUUUUCGCUAACCCGGC Protéine :Résidus : Ala Arg Asn Asp Cyn Cys Gin Glu Gly Hem His Leu Lys Met Phe Pro Ser The Trp Tyr Val Résidus : Ala Arg Asn Asp Cyn Gys Gin Glu Gly Hem His Leu Lys Met Phe Pro Ser Thr Trp Tyr Val Résidus : Ala Arg Asn Asp Cyn Gys Gin Glu Gly Hem His Leu Lys Met Phe Pro Ser Thr Trp Tyr Val Résidus : Ala Arg Asn Asp Cyn Gys Gin Glu Gly Hem His Leu Lys Met Phe Pro Ser Thr Trp Tyr Val Résidus : AC GT Résidus: AGCGU Résidus : Ala Arg Asn Asp Cyn Cys Gin Glu Gly Hem His

dans la pratique 1 Étude des résidus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.1 Diagnostic graphique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.1.1 Graphiques des résidus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.1.2 Graphiques des résidus pour les données CONSO . .

atomes, presque toutes Trans + courte que la liaison covalente important caractère de double liaison → empêche libre rotation ce caractère renforcé par longueur de la liaison entre groupes CO et NH Chaine peptidique résidu = acide aminé 2 résidus = dipeptide / 3 résidus = tripeptide Chaine carbonée : partie régulière : chaine principale ou squelette partie variable : chaines latérales spécifiques liaisons croisées = ponts dissulfures (souvent dans p! Extracellulaires, peu dans p! Intracellulaires)