Resocialisation

condamnés avec bénéfice du sursis, les libérés conditionnels). Le législateur peut manifester son désir d'orienter l'exécution de la peine privative de liberté vers la resocialisation ou la réadaptation social du délinquant comme il peut aussi manifester plus de rigueur dans l'exécution des peines privatives de liberté. Cette resocialisation ou réinsertion dans la société est le but des "mesures de sûreté" qui recourent à un dispositif administratif, judiciaire voire répressif. Par ces mesures essentiellement

environnemental, social et économique au travers de 2 missions: Valoriser les personnes en difficultés d'emploi. Valoriser le recyclage de papier collecté auprès d'entreprises,d'administrations, de collectivités, ... LE PROJET: Facilité la resocialisation et l'employabilité par un encadrement technique, un accompagnement et une formation des salariés. VALEURS ETHIQUES: Humanisme, altruisme, respect de l'autre, confiance réciproque et mise en exergue des potentialités de chacun. Le Projet

La socialisation : intégration des valeurs du groupe * Le maintien : phase de stabilisation de l’individu, du groupe et des positions de chacun à travers l’ajustement et la négociation. S’il y divergence, on passe à La resocialisation. * La resocialisation : mise à l’écart de l’individu. Oblige à redéfinir son rôle et à développer des capacités d’adaptation. * Le souvenir : la personne est en dehors du groupe mais toujours souvenir de l’expérience b) La cohésion du groupe :

leurs problématiques. « L’espace accueil », un accueil de jour géré par l’ALRU apporta donc dans un premier temps des solutions techniques à leurs demandes (mise à disposition de douches, abris, collations…) mais aussi un lieu d’écoute et de resocialisation. L’Espace Accueil après un redressement judiciaire a été repris en 2011 par l’association ADES Europe2. Cette dernière a décidé de reprendre la gestion administrative de l’espace accueil car elle répond à ses valeurs : la solidarité et l’aide

traitement de resocialisation. Il faut prendre la personnalité en compte de manière beaucoup plus inductive (donc sans les faire rentrer dans des catégories préétablies) * Système des sanctions : il faut en finir avec le dualisme des sanctions et des peines (peines classiques vs mesures). Ce qui est la base de la peine c’est la rétribution (donc homme responsable) et de la mesure, c’est le traitement. Pour ANCEL, il faut un seul système unitaire de sanction pénal axé sur la resocialisation. * Il

que les grands marginaux de l'ancien asile, toutes les personnes seules et les familles incapables d'assumer leurs responsabilités sociales ou familiales - d'orienter ces différentes populations vers des structures spécialisées en vue d'une resocialisation et d'une réinsertion - de favoriser leur insertion par le logement: principe de baux glissants La gestion a été confiée au Bureau d'Aide Sociale, puis en 1981 à l'association Accueil et Réinsertion Sociale, créée quelques mois plus tôt. Ce

multirécidivistes ou réputées dangereuses. C’est un régime de détention axé sur la sécurité. Les centres de détention reçoivent les condamnés dont le reliquat de peine est inférieur à trois ans. Le régime des centres de détention est basé sur les actions de resocialisation et de réinsertion. Ces établissements ont tous le même rôle : * De protéger la société des personnes dangereuses. * De décourager les gens de commettre à nouveau des actes interdits par la loi. * De rééduquer le détenu de manière

s’observe avec l’attribution au juge le pouvoir d’individualiser la peine et par le biais des sentences indéterminées. D’abord, en mettant l’accent sur l’individualisation de la sanction par le biais des notions de  soins, de rééducation, de resocialisation, les idées nouvelles ont contribué au recul du principe de la légalité criminelle. Le juge ayant obtenu du législateur le pouvoir de fixer la peine en dessous du minimum légal, grâce au jeu des circonstances atténuantes,  il est paru souhaitable

| |- Suivi de plus de 250 personnes, |hospitaliers et associatifs | | |- Accompagner des projets de réinsertion et de resocialisation | |soit plus de 3.000 entretiens annuels | | | |- Rapprocher les personnes avec leurs familles

routière. Ainsi du travail d’intérêt général ou bien encore de la confiscation du véhicule. Ces alternatives à l’emprisonnement et à l’amende ont une nature hybride, puisqu’elles relèvent autant d’une volonté de sanctionner que d’un objectif de resocialisation. On voit donc que la diversification des sanctions au service de la prévention de la récidive a remis en question l’étanchéité des catégories de peines et de mesures de sûreté telles qu’elles étaient définies à la fin du XIXème siècle par les