Résonance

si l’ASP et l’échographie ne sont pas concluants. 4. Pyélo-urétéro-graphie descendante (PUD) : (2) N’est utile qu’en cas de non visualisation d’une partie de la voie excrétrice à l’UIV ou en cas de lithiase radio transparente. 5. Imagerie par résonance magnétique (IRM) : (4) Apprécie la fonction rénale. Utile en cas de tumeur kystique, de petite tumeur mal caractérisée, et des tumeurs chez un insuffisant rénal (moins néphro-toxique). Elle étudie surtout l’envahissement de la VCI (extension d’une

Assessment Program for Surgical International Therapies Dégénérescence cortico-basale Démence à corps de Lewy diffus Haute Autorité de Santé Inhibiteurs de la catéchol-O-méthyl transférase Inhibiteurs de la monoamine oxydase de type B Imagerie par résonance magnétique Lee Silverman Voice Treatment Montgomery and Asberg Depression Rating Scale Mini Mental State Maladie de Parkinson idiopathique Parkinson Disease Questionnaire Paralysie supranucléaire progressive Syndrome parkinsonien dégénératif

tout type (visuel, olfactif etc), la durée des réactions et la valence (réaction positive ou négative). Mais ne mesure pas l’état psychologique du participant et quels facteurs externes influencent ses réactions. Brain scanning : Imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (FMRI). Electroencéphalogramme. Mesure l’activation de certaines parties du cerveau, l’intensité des réactions et si elles sont positives ou négatives. Mais ne mesure pas l’état psychologique, ceque le participant pense

comme précédent les événements neuraux qui se produisent en particulier dans l’aire motrice supplémentaire. De nombreux travaux actuels issus des derniers développements de l'imagerie cérébrale (tomographie par émission de positons et imagerie par résonance magnétique fonctionnelle), ont confirmé le fait qu’imaginer un mouvement consciemment, ou même se le représenter implicitement, 3 4 Bernard d’Espagnat, Traité de physique et de philosophie, 2002. Neurobiologiste récemment disparu, qui a partagé

d’une molécule pour une autre ou prédire l’effet possible de mutations de la séquence. Deux méthodes sont actuellement utilisées pour déterminer les structures tridimensionnelles des macromolécules biologiques : la diffraction des rayons X et la résonance magnétique nucléaire (RMN). Plus de 80 % des structures connues à ce jour ont été déterminées (on dit résolues) par diffraction des rayons X. Contrairement à la RMN, la cristallographie ne souffre pas de limitations en taille de la macromolécule

Une innovation : l’imagerie fonctionnelle de l’émotion L’anatomie fonctionnelle des réponses émotionnelles a été déterminée grâce aux développements de l’imagerie cérébrale depuis 1990 : tomographie par émission de positons (TEP) et imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRM f). Ces méthodes [7] repèrent les zones cérébrales dans lesquelles le débit sanguin s’accroît grâce à la radioactivité de l’eau marquée à l’oxygène 15 pour la TEP et aux propriétés magnétiques de la désoxyhémoglobine

permet de suivre le décours temporel des phénomènes étudiés sur des zones réduites, - la TEP (tomographie par émission de positrons), injection de glucose radioactif => rayons gamma : montrent le cerveau en activité. - l’IRM (imagerie par résonance magnétique) permet de localiser les phénomènes sur une image détaillée des tissus mous du cerveau. Ces 3 techniques ont permis de mettre en évidence ou de confirmer différents résultats : - mise en évidence grâce à l’EEG d’une variation négative

ALTERNATIVES ..............................................................................................11 II.2.1. Tomodensitométrie (TDM) ......................................................................................11 II.2.2. Imagerie par résonance magnétique (IRM).............................................................11 II.2.3. Échographies..........................................................................................................12 II.2.4. Endoscopies digestives .....

Post-traumatique (ESPT). Plusieurs de ces éléments ont été examinés avec attention par le biais des techniques de neuro-imagerie structurelle (qui montre la structure du cerveau : CT-scan et Imagerie par Résonance Magnétique, ou IRM) et fonctionnelle (qui montre le cerveau en activité : PET-scan et Imagerie par Résonance Magnétique fonctionnelle, ou IRMf). Afin de bien comprendre ces recherches, il nous faut, au préalable, décrire les mécanismes de la peur et la régulation des fonctions neurobiologiques par

l'individu malade. En effet la médecine moderne s'appuie de plus en plus sur les examens paracliniques d'imagerie (radiographie et tomographie traditionnelles, tomodensitographie informatisée ou « scanner », échographie ultrasonore et imagerie par résonance magnétique) et de biologie multidisciplinaire. 1 Cet ouvrage doit donc être considéré comme un livre de séméiologie médi| cale, où de nombreux paramètres biologiques sont décrits, pour tous lesquels le lecteur n'est pas nécessairement familiarisé