Respect Dautrui

Ma mère m'a appris à respecter les gens, A rester polie, à dire merci et répondre gentiment, Mais elle m’a aussi enseignée que de tous temps, Par la justice il faut punir les méchants, les truands. Dans ton cas je ne te traiterais ni avec respect et encore moins politesse, Car comment pourrais-je le faire après ce que t’as fait ? Apprends à la considérer et lui parler avec délicatesse, Et tu comprendras que l’amour c’est bien plus qu’une histoire de fesses. J'en ai connu des infidèles

l'enseignant est là pour aider l'élève et qu'il le respecte. Les professeurs doivent être justes, c'est pour cela qu'un travail d'équipe peut aider à faire autorité dans toute une école, l'autorité se doit d'être la même pour tout le monde. Le texte 4 aborde le projet d'équipe en s'appuyant sur la pédagogie Freinet. Ce ne sont pas seulement les enseignants qui travaillent ensemble mais aussi les élèves à travers le conseil d'élèves. Il y a un besoin de respect mutel. Ce travail en commun permet la réduction

faut »). Selon Nietzsche, on ne dit jamais la vérité par respect pour la vérité, mais par intérêt et par commodité (mentir est plus compliqué que dire la vérité). Critique : ce perspectivisme ne risque-t-il pas de se transformer en cynisme ? III – Dire toujours mais pas toujours toute la vérité ? 1) Il faut toujours dire la vérité : il est difficile, voire contradictoire de renier ce principe ! Sinon, autant dire qu’il ne faut pas respecter la loi ! Simplement, l’universalité du principe n’implique

surveillants s’exerce légalement sous les fondements de la république de la démocratie au sein du lycée. Les élèves leurs doivent respect et obéissance. Tout cela est écrit dans le règlement intérieur de l’établissement. Le pouvoir de la CPE est égal à celui des surveillants mais un peut plus renforcé grâce à son rang hiérarchique et les élèves lui doivent donc respect et obéissance sous peine de sanctions. Le pouvoir entre la CPE sur les auxiliaires et l’administration sur la CPE sont les mêmes,

ainsi éviter tout comportement gênant ou tout trouble du comportement. Sur un panneau, à l'entrée, j'ai souhaité accueillir les maîtres avec ces mots : - observation - complicité - confiance - épanouissement - tolérance - écoute mutuelle - respect - micro-progrès - communication - humilité du plaisir partagé

parallélisme paix/guerre tout ce qui touche a l’attitude et aux comportements des rois peu être pris a contrario tout comme la liste de ce qu’il faut faire. A chaque défit correspond une qualité qui pourrait servir à maintenir la paix : générosité, respect des autres, soucis des sujets du pays. Les qualités humaines qui apparaissent alors sont celles qui sont nécessaires pour un bon roi. Le texte explique de manière implicite le portrait à contrario du monarque idéal.

réitération et la multiplication de ce type d’actes animent les débats en réunion d’équipe. Ces violences sont elles spécifiques à notre structure ? Sont-elles commises en réaction à l’enfermement ? L’état de délabrement du centre incite t-il à ne pas respecter les locaux ? Pourquoi les jeunes en arrivent ils à tant de véhémence ? Comment pouvons-nous contenir ces pulsions ? Peut-on les prévoir ? Toutes ces interrogations de l’équipe éducative, m’ont amené à faire un lien avec la montée de ces incivilités

le « respect ». « Respectez-vous les uns les autres », nous répète-t-on dans toutes les capitales d’Europe. Ce n’est qu’un mot qui bien souvent empêche chacun de progresser et dissimule un pauvre relativisme… Car enfin, ai-je à « respecter » la vision du monde que je ne partage pas, et que je considère comme fausse, voire rétrograde ? Il faut bien dissocier « respect de l’autre », de sa dignité d’être humain, et « respect des opinions », qui au fond s’opposent l’un à l’autre. Si je respecte vraiment

volonté plutôt que dans le corps humain. Cette tendance s’inversa lorsque l’on s’aperçut que la volonté n’apparaît que liée à un corps. « La loi assure la primauté de la personne, interdit toute atteinte à sa dignité de celle ci et garantie le respect de la vie humaine dés son commencement .» Cette loi bioéthique met alors en pratique ce principe. Elle fut insérée au code civil le 19 juillet 1994 par la loi n°94-653. Par sa valeur protectrice elle résout le problème de la défense de la personne

L’obéissance a beaucoup de sens. Respecter la Loi en est une, tout comme l’obéissance envers un être suprême, une divinité, notre religion. Ou encore l’obéissance envers la famille, écouter la personne dominante tel un animal pour le chef de meute. Obéir à la personne, à notre religion, à nos lois montre un signe de respect mais ce respect envers la loi, envers cet ordre nous laisse t’il notre liberté ? Nous donne-t-elle plus de contrainte que de plaisir à respecter des ordres qu’on a l’habitude