Respect Différence

aussi visible dans les principes des Jeux Olympiques : les athlètes doivent s’associer à une trêve Olympique, durant toute la durée des jeux, tous les combats doivent cesser. La trêve olympique montre que les peuples peuvent mettre de côté leurs différences et travailler ensemble en harmonie. Le sport permet ainsi le dépassement de soi. Cependant, le sport n’est pas toujours synonyme de fraternité. Les moments de joie partagés lors des différentes victoires, ou différents compétitions durent le

ensuite le mot respect, respect personnel et collectif. Le vocabulaire est une composante de la langue. Il nous sert à l’apprentissage de la lecture et de l’écriture. Des personnes pour se parler empruntent un vocabulaire fait de mots. Pour communiquer on utilise deux à trois mille mots. Le respect personnel c’est le respect de soi-même. C’est le sens qu’une personne a de sa propre valeur, ainsi que la manière dont elle prend soin d’elle-même et se présente à autrui. Le respect collectif c’est

bien longtemps, la loi fût une notion approuvée pour certains et contestée par d'autres. Quelle ‎que soit la société, elle suppose un ordre dont le tenant est posé par des lois et dont la constance est assuré par un pouvoir qui contraint chacun au respect toutes ces lois. Dans cette éventualité, la loi impliquera donc nécessairement l'obéissance. Ne pas s'y soumettre annulerait sans doute la ‎loi et par conséquent '' l'ordre indispensable'' qui seul peut garantir une potentiel ''coexistence de tous

Paradoxalement, ce sont les restrictions, la précision et l’exactitude qui procurent aux acteurs une grande liberté. La forme devient le cadre à l’intérieur duquel l’acteur peut tester d’infinies variations et exercer sa liberté d’interprétation. Différence avec le cinéma : le moment doit être spontané et photogénique alors qu’au théâtre, il doit être reproductible. S’engager dans un choix est une action violente. C’est la sensation qu’on éprouve sur le grand plongeoir. Rencontrer un obstacle ou surmonter

Il s’agit ici de s’interroger sur les relations avec autrui. En effet, le respect de l’autre semble aller de soi. Spontanément je sais que je ne peux pas faire tout et n’importe quoi par rapport à autrui, je sais que je dois « respecter »l’humanité en lui. Cependant Qu’y a t-il en l’autre de respectable ? Sur quoi ce fonde ce respect et qu’est ce qui fait l’humanité de chacun? Est-ce un sentiment naturel que m’inspire autrui ? Mais alors, que dire du cas où l’autre a accompli quelque chose d’abject

Le respect de soi commence par l'acceptation de ce que l'on est, avec nos qualités et nos soi-disant défauts. Ne pas se laisser imposer des choix qui n'entrent pas dans nos valeurs ou ne correspondent pas à nos convictions. Savoir dire NON. Ne pas juger. Être capable de reconnaître et de se fixer des limites. Se respecter, c'est aussi avoir une bonne hygiène de vie, donner à son corps une bonne alimentation, faire de l'exercice et s'accorder suffisamment d' heures de sommeil. La souffrance

• Qu’est ce qui justifie le respect d’autrui ? « Dans la mesure où chacun est considéré comme une essence libre […], il doit être considéré par autrui comme une personne ». Cette citation issue de Propédeutique philosophique (Hegel), met en avant le concept de respect entre les hommes et donc envers autrui. Autrui, qui est « ce moi qui n’est pas moi » selon Sartre et qui fait l’objet d’un paradoxe constant entre proximité et distance, ressemblance et différence, est en fait une exigence morale

personnes, qui ne sont pas des choses, en sont nécessairement écartées. La distinction des personnes et des choses établit ainsi la première ligne de démarcation entre ce qui est soustrait du commerce juridique et ce qui, à l'inverse, ne l'est pas. A la différence de la chose, qui peut ou non être dans le commerce, la personne répugne toujours, par nature, à faire l'objet d'actes juridiques.Mais encore faut-il savoir ce qu'est la personne par rapport à une chose. A première vue, le rattachement à l'une ou

FAUSSE ROUTE D’Elisabeth Badinter . Au sein du couple conjugal, le partage des pouvoirs c’est la démocratie qui repose elle-même sur l’amour et le respect de l’autre. En 50 ans, le couple occidental a fait bien des progrès en matière d’égalité entre les hommes et les femmes. Le droit à la contraception en 1967, le droit à l’avortement en 1975 ont été des leviers de la libération des femmes. La grande bataille pour les droits à la contraception et à l’avortement visait tout autant

ensuite mettre en place une intervention éducative à laquelle la personne adhère et accepte. La base du travail d’accompagnement, réalisé par les éducateurs repose sur les trois principes fondateurs de la prévention spécialisée ; la libre adhésion, le respect de l’anonymat ainsi que le non-mandatement administratif ou judiciaire. Pour autant, il existe d’autres principes moins souvent évoqués mais permettant d’apporter un éclairage complémentaire ; le partenariat, la non-institutionnalisation des activités