Respecter Autrui Est Un Devoir

règle à suivre. La norme s’oppose à la proposition qui dit ce qui est. C’est un commandement à respecter, mais tous ne sont pas nécessairement des normes. En effet, si quelqu’un ordonne qu’on lui donne de l’argent, ce commandement n’est pas une norme, il n’est pas juridiquement valide et permet de refuser d’obéir. En revanche, si un percepteur émet un ordre semblable, il est obligatoire de la respecter. La différence entre ces deux commandements se trouve dans la validité. En effet l’ordre du précepteur

AUTRUI: L’homme n'est pas fait pour vivre seul, il a besoin des autres non seulement dans l'entre-aide et la coopération mais ceci et surement pour partager le sentiment d'exister avec ses semblables. En effet, son jugement, ses découvertes, ses sentiments et ses émotions n'ont de signification et de valeur que si d’autres peuvent aussi les confirmer ou les éprouver, que si d'autres peuvent en être les témoins ou les garants. Ainsi la communication avec autrui apparait-elle comme le premier besoin

parler des différentes normes, qui s’inscrivent dans une hiérarchie, norme inferieur doit respecter la norme supérieur (kelsen). Problème : la hiérarchie conditionne l’application de la norme, si la norme respecte pas la hiérarchie elle devra disparaitre Distinction entre loi et traité est délicate car l’une appartient à l’ordre interne alors que l’autre appartient à l’ordre internationale. C'est dire que le respect de la hiérarchie doit être contrôlé. I. Détermination de la hiérarchie entre loi

de ses actes. Partie II : Le devoir *Kant : « Par devoir, conformément au devoir » Différentes causalités peuvent conduire au même acte. Il discerne : -le devoir -l’inclination -l’intérêt + Le devoir. Nécessité d’agir par pur respect de la loi morale. La nécessité rend vaine l’idée de libre arbitre. On ne choisit pas son devoir mais on a la liberté d’agir. Le devoir ne doit avoir aucune finalité menée par le désir. L’action menée par devoir nous prive d’une orientation profonde

essayant en même temps de les comprendre et de les respecter, et en étant capable également de les juger et parfois les condamner ? Nous verrons donc tout d'abord que l'on est porté au respect et à la compréhension de ces autres cultures, à la différence. Puis, nous parlerons qu'il faut quand même aller, parfois, jusqu'à juger et condamner ces cultures étrangères. En premier lieu, en général, une certaine éthique nous pousse à respecter ces autres cultures. Ainsi, on peut toujours tenter

rt. 9Article 9 « Chacun a droit au respect de sa vie privée » Chacun de nous a le droit de garder secrète l'intimité de son existence, afin de ne pas être livré en pâture à la curiosité publique. Cette liberté a toujours été menacée et l'est encore plus aujourd'hui, avec l'accroissement de la pression sociale, la relâche de la contrainte morale et le développement des techniques de divulgation et d'investigation. Contre les intrusions des tiers, il existait traditionnellement une double protection

4) Autrui *Repères : Expliquer / Comprendre. Identité / égalité / différence. EXPLIQUER / COMPRENDRE : thermes complémentaires et non pas opposés. IDENTITÉ / ÉGALITÉ / DIFFÉRENCE : identité = rapport à soi ou à l'autre différence = c'est ce qui change sur fond d'identité ( je suis différent selon mon âge ) ou c'est une chose qui distingue une chose d'une autre. Égalité = c'est ce qui désigne une même mesure ( la taille par exemple ) ou le bénéfice des mêmes droits Autrui est un

LIBRE est celui qui, sachant les choses que sa force et son intelligence lui permettent de faire, est libre de faire celles qu’il a la volonté de faire. Beaucoup d’entre nous pense qu’obéir aux lois, c’est aussi renoncer à sa liberté, puisque le respect d’une loi, ne nous permet pas d’être totalement libres de nos choix. La loi est une série de règles générales qui indiquent le permis, le défendu et l’exigible. Elle précise la manière dont nous devons nous comporter, nos droits en matière de propriété

et à quel moment. Prenons l’exemple d’un homme voulant devenir musicien. Si cet homme a la réelle conviction de devenir un grand pianiste, il doit respecter un certain nombre de règles pour parvenir à son objectif. Si cet homme ne respecte pas les règles de l’art musical il ne pourra pas exercer ce métier. Il doit donc se soumettre à certains devoirs, à une discipline. Obéir n’a donc pas pour objectif d’entraver la liberté. Mais comment peut-on allier obéissance et désobéissance ? Est-ce une

s’interroger sur l’essence de la liberté ? Trouve-t-on pleinement la liberté dans le fait de ne pas causer de dommage à l’autre (« ma liberté s’arrêté où commence celle de l’autre »), et si oui, peut-on la réduire dans le simple fait de ne pas nuire à autrui ? La question semble d’emblée partir d’un présupposé qui nous pousse à dire qu’on ne doit pas empiéter sur la liberté des autres, qu’on est pas libre quand on fait le mal. N’est-ce pas bien au contraire une définition de la liberté donnée en vue