Respecter Les Méchants

La critique A) La satire de l'éducation des maitres Rabelais n,e se contente pas d'écrire, il critique. Satire de l'éducation → La sorbonne peu etre visée Unique préoccupation est la nourriture ? Rabelais reduit le temps d'étude à « une méchante demi-heure » → enseignement sans contenu B) Satire religieuse Il s'attaque aussi à la religion (education scolastique) et dénonce l'absurduté de certains arguments d'autorité « ce que dit David ». Fantaisie de la religion « en dire + que 16

droit de salir des êtres avec un cœur comme vous le faites ? Non ! Un Homme naît libre et égale aux autres et doit le rester toute sa vie, l'avis des blancs ne doit pas être pris en compte. Ce n'est pas eux les maîtres du monde, la seule autorité à respecter est celle de dieu, or cette pratique est immorale, contre la religion, les lois naturelles, et tous les droits de la nature humaine. Dieu n'apprécie surement pas cette traite infâme des noirs et les blancs le payeront tôt ou tard. Regardez ce que

Molière - Dom Juan Extrait n°1 ; Acte I - Scène 1. Comment cette scène d'exposition rempli-t-elle son rôle ? I / Elle respect la convention de base en apportant des informations globales nécessaire à la compréhension : 1 ) Elle permet d'indentifier les personnages présents et absents en idiquant leur noms, leur catégories sociales, leur rang et leur relation sociales : - Les deux personnages présents sur scène : Chacun nomme l'autre ainsi, Sganarelle dans sa première replique nomme Gusman

hitlériennes est d’ailleurs à cet âge facultatif. Quant à Hitler, lui a les mains posées sur les épaules du jeune garçon, ce qui pourrait laisser apparaître un côté protecteur et paternel mais lorsque l’on observe son regard, il semble très sévère et méchant, un regard noir porté droit devant lui (on dirait qu’il nous regarde). A l’arrière plan on voit une foule acclamant Hitler et le membre des Jeunesses hitlériennes. 6) La propagande contribue au conditionnement des esprits. Les documents (livres

juste que ce qui est juste soit suivi, il est nécessaire que ce qui est le plus fort soit suivi. La justice sans la force est impuissante ; la force sans la justice est tyrannique. La justice sans force est contredite, parce qu'il y a toujours des méchants ; la force sans justice est accusée. Il faut donc mettre ensemble la justice et la force, et, pour cela, faire que ce qui est juste soit fort ou que ce qui est fort soit juste. La justice est sujette à dispute. La force est très reconnaissable

entre deux nations, les qualités des Tahitiens devant les défauts de la culture blanche. Nous verrons en quoi ce discours présente les méfaits de la civilisation, faisant un éloge sur la vie naturelle. Diderot qualifie les hommes civilisés de " méchants " (l ). Il utilise des mots forts pour souligner cette cruauté avec des verbes comme " enchaîner ", " égorger ", " assujettir ", " se haïr ", " asservir ". Ce champ lexical de la cruauté renforce l'attitude des Européens envers les Tahitiens. L'auteur

- nette ou + pure III) respecter la langue (25;32) Révérée, sacrée à voc de la religion la langue est comme une divinité, elle doit être impeccable. Diérèse mélodi/eux ; vici/eux ( 27, 28) à il faut le bon mot à la bonne place. 29 : pompeux : ennuyant / barbarisme : mot qui n’existe pas 30 : solécisme: mot mal placé, déformé Conclusion: L’auteur le plus divin est toujours un méchant écrivain. Boileau s’adressant aux poètes et aux écrivains les

moins sympathique du roman. C’est un séducteur : "Des yeux profonds et tendres » ... « Une éloquence passionnée » ... « une de ces figures heureuses dont rêvent les femmes ». Il épouse Jeanne pour l'argent et ne la respecte jamais. Il est hypocrite, avare, égoïste, paresseux, violent et méchant. Rosalie C’est la sœur de lait et la servante de Jeanne. C’est une "grande fille de chambre forte et bien découplée comme un gars". Elle est chassée de la demeure familiale après avoir été surprise avec le vicomte

mal en la vie pour celui qui a bien compris que la privation de la vie n’est pas mal». Et ceci n’empêche pas de bien vivre le temps présent. Au 19e siècle, Victor Hugo, à peine la trentaine, fait dire à Hernani: «Et vieux, on est jaloux, on est méchant, pourquoi? Parce que l’on est vieux». Mais, septuagénaire, ce même Victor Hugo écrira "L’Art d’être grand-père" où il se décrit plein de bonheur face à ses deux petits-enfants: «En me voyant si peu redoutable aux enfants, les hommes sérieux froncent

plus grands dommages -accusations contre les méchants- sont amenés par les dieux ; ainsi que les bienfaits »). *La religion populaire est impie : elle repose sur une fausse piété qui repose elle-même sur une fausse idée des dieux (« l’impie n’est pas celui qui supprime les dieux de la multitude, mais celui qui attache aux dieux les opinions de la multitude » ) : impie car attribue aux dieux des choses incompatibles avec leur nature (non respect donc de la majesté du divin) comme le fait de