Responsable Mais Pas Coupable

qu'il ressent envers ces personnes et ne porte pas beaucoup d'interêt à leur égard. Rousseau, dans cet extrait d'Emile, réfléchi en 2 parties. Il commence par décrire le ressenti qu'il éprouve envers ces « êtres » et rend par la suite la société coupable des actes des « méchants ». Rousseau fait alors une sorte de blâme envers les « méchants ». Mais l'auteur les connaient-ils réellement? Qui est-il pour les juger ainsi? L'auteur commence par affirmer une certaine inutilité à ce sujet: « Ne me

III de Phedre, Racine. Abecassis 2nd1 L'extrait faisant l'objet de ce commentaire est la scene III de l'acte I de Phèdre, tragédie ecrite par Racine en 1677. Dans cette scène, on decouvre un des ressorts principaux de l'intrigue; l'amour coupable que porte Phèdre pour Hyppolite, son beau-fils. Son aveu fait avec reticence à sa nourrice Oenone, se conclut par une tirade qui s'apparente un monologue. Deux thèmes présents dans cette scène d'antologie seront abordés : Le récit difficile d'un

démocratique du Congo et les Etats-Unis. Ces derniers détiennent le triste record mondial d’exécution de mineurs au moment des faits. Les erreurs judiciaires : Selon une enquête réalisée en 1987, entre 1900 et 1985, 350 personnes reconnues coupables aux Etats-Unis de crimes punis de la peine de mort étaient en fait innocentes. L’abolition de la peine de mort aux états unis : La peine de mort pourrait un jour être abolie aux États-Unis non parce qu'elle constitue une violation du droit

raisons de son geste atroce. Selon la psychologie des aveux (de M.Saul Kassin, psychologue au J.J College de New York), certaines personnes vulnérables et fragiles peuvent effectivement se mettre à avouer un crime dont elles ne sont pas responsables, afin d’obtenir, à plus ou moins longue échéance, une indulgence ou un bénéfice lié à leurs aveux : clémence du jury, des policiers, ou selon le principe de « faute avouée à moitié pardonnée ». Il est très probable aussi que Patrick Dils ait subi

Je crois qu’il est possible de réaliser une consommation responsable sur l’ensemble de la planète. Pour parler de  consommation responsable, on doit offrir les conditions de vie suivante au cercle consommateur/producteur:  ● Être bien dans sa tête  ● Être bien dans sa peau  ● Être bien dans sa société  ● Être bien sur la Terre    Le tout, sur le plan personnelle, mais aussi au sein d’une société, en charge de produire les produits issu à la  consommation, sans pour autant rendre le consommateur coupable de ne pas respecter ces conditions

il est explicitement mentionné dans le Code Civil, dans les articles 1382 et suivants : « Tout fait quelconque de l’homme, qui cause à autrui un dommage, oblige celui par la faute duquel il est arrivé, à le réparer » (art.1382) ; « Chacun est responsable du dommage qu’il a causé non seulement par son fait, mais encore par sa négligence ou son imprudence » (art.1383). Cependant, la distinction entre responsabilité et faute est faite dès l’article 1384, qui distingue le dommage qu’un individu cause

aléas de la vie ( on glisse on tombe etc) => Engendre un préjudice , mais il n'y a pas de geste fautif, comme il y a absence de faute, => résposabilité civile prise en charge par l'assurance . – Fait commis par « extrême négligence » => Auteur coupable de quelque chose. ( la justice considère que l'auteur des faits qu'il va falloir payer la faute par négligence ) Ex : alcool;ceinture;assurance etc jusqu'à 10 ans. Fait avec intention de nuire => intention de crée un préjudice, va jusqua la perpetuité

monstrueusement que ce dernier lorsqu'elle aide Thésée à tuer son frère ou quand elle fait dévorer son beau-fils par un monstre marin. Problématique : En quoi Phèdre est-elle une héroïne tragique ? I/ Phèdre : coupable et innocente à la fois a) Un aveu ambigu Le court hémistiche « Il n’était point coupable » annonce la sentence qui disculpe Hippolyte, et fait écho à son « innocence » énoncée un vers plus tôt. Cet aveu lave Hippolyte de tout soupçon et réhabilite sa mémoire. C’est un plaidoyer : Phèdre s’attache

seule personne en qui avoir confiance, Mamouchka. Et l’entourage qui s’éloigne. La découverte du journal de Jacques Desroches va agir, sur Emma, comme une révélation, un électrochoc. D’abord vouloir mourir devant l’horreur. Puis oser affronter le coupable. Et se libérer. L’histoire familiale : D’un côté, nous avons Emma, petite fille aimante, vouant à sa grand-mère Mamouchka, une admiration sans nom. Celle-ci représente pour la jeune fille, ce que sa propre mère n’arrive pas à être avec elle. Le

Elle l’est d’autant plus qu’Œdipe se fait par imprudence ou par orgueil, l’auxiliaire de la fatalité qui l’écrasera. Est-il, dans ces conditions, victime du destin ou responsable de son destin ? Les héros de la tragédie grecque et classique se devaient d’être innocents et coupables : innocents pour susciter la pitié, et coupables pour provoquer la terreur du spectateur devant leur châtiment. Cocteau reprend cette tradition, par le biais d’une réflexion sur la liberté. Celle-ci n’est- elle, en définitive